Billet d'Humeur
Nonobstant les principes qui accompagnent la pratique sacré du savoir quand ce dernier répond aux règles de son exercice, il appert une certaine manière à ne pas déroger de façon à reconduire toute la Connaissance, de sorte à respecter tout l'Origine de la construction de l'Humanité dont les dates vont de plus en plus reculées, comme l'exemple du site découvert dernièrement en Turquie ! Avril 2024.
En se référant aux écrits d'un auteur dont je ne peux vous citer le nom, ni le titre de ses ouvrages, prisés dans les salons philosophiques de l'avant guerre, lequel s'est attardé sur la question de l'époque posée dans un groupe, restreint, de penseurs déjà inquiets sur le devenir du monde, et d'un plus éminent, également, ayant longtemps réfléchi sur « La Fin de l'Occident », apparaît donc évident de nos jours que nous nous précipitons vers la disparition de nos modèles sociétaux, trop versés dans le consumérisme qui a fini, comme vous le constatez, par détruite la planète ! Qui est donc responsable, si ce n'est nous dont la singularité de l'espèce humaine conjugue le pluriel des civilisations ayant été aspirées par une modernité incontrôlable. Et l'on ne peut, sous prétexte de conscience appelée à secourir son prochain, dans une croyance dogmatique qui asservit la pensée par une morale spirituelle dévoyée de ses valeurs originelles dont le pouvoir est désormais vain ; on ne peut, au demeurant, on ne doit sacrifier sa personne pour ceux qui n'ont eu pour dessein que de tirer profit des matières dont nous nous sommes servis dans ce consumérisme, sans ne jamais avoir réfléchi sur les conséquences, provoquées par des controverses qu'il adviendrait inéluctablement sur nos civilisations entières. De surcroît, nous avons décimé les peuplades qui vivaient par les premiers principes sacrés que l'Humanité mit à la disposition des hommes. Notre responsabilité est non seulement évidente, mais pèse encore plus sur la vie en société entre gens trop différents sur le fond pour que les civilisation s'unissent pour la même cause. Les apparences que la partie adverse adopte, ne trompent plus les nouvelles entités qui manifestent leur profonde hostilité à leur encontre ; étant donné que le recours à la violence sera inéluctable afin de sauver ce qui pourra encore l'être, en un temps très proche. Tout concorde. Les conflits actuels attestent de la haine perpétuelle qui divise les peuples. Et à l'échelle de la société, l'individu, quand bien même tenterait-il de tromper son monde par des statuts correspondant aux normes de la vie genrée des classes sociales distinguées par on ne sait trop quel attribut professionnel, lequel serait sensé différencier icelui, la nature humaine ressort intrinsèquement de son enveloppe artificielle et, hélas, derechef révèle l'authenticité de notre personne. Lire la suite de La Chute.
Un billet relativement rédigé sur notre contexte politique actuel. Nous ne possédons plus de personnalités politiques, calquées sur les modèles des Rocard, Delors, Barre, et quelques rares autres capables de gouverner la France sans faire carrière ! La supercherie actuelle ne trompe que les idiots utiles à l'organisation du système politique en vigueur, entièrement dévoué à la cause personnelle de quelques arrivistes appâtés par les gains de cette vaste entreprise. Les résultats à soutirer du bilan à venir sont prévisibles dans les secteurs de l'enseignement et notamment dans celui de la Culture où une cure d'amaigrissement est donc prévue. La ménopause a tendance à faire grossir... Il y'a des signes qui font preuve d'improbabilité de l'avenir professionnel chez des personnalités soumises à l'usure de l'exercice ministériel trop répété. Comment préparer les prochaines présidentielles en faveur d'une Droite qui détrônera (pas) définitivement le RN, si ce n'est en avançant des pions sur l'échiquier national, dans une politique formatée à la demande. 16/01/2024.
«Fais pas chier Connasse !» Phrase composée à la forme impérative. Une analyse grammaticale révèle, en effet, une insistance par l'injonction qui caractérise un ordre sur l'intention donnée à la susnommée, anonymement précitée afin d'élargir la possibilité du nombre important auquel s'adresse cet ordre ! Mise en exergue moyennant les guillemets ouverts, suivis du point d'exclamation !, le seul nom commun utilisé appartient au registre de la vulgarité pas que populaire, selon le contexte où elle est prononcée. Le verbe « chier » est une pure métaphore : c'est-à-dire qu'il doit être interprété au sens figuré, de sorte à libeller l'image métaphorique qui illustre la situation..! La locution adverbiale de négation, privée ici de la seconde partie de sa composition orthographique officielle, accentue l'insistance sur la formulation de la supplique «Fais pas chier». Qu'est-ce qu'une connasse pour une femme qui subit cette insulte, la plupart du temps injustifiée ? Tout simplement une femme dont la seule présence non seulement ne mérite pas ce titre, mais qui pis est dégage une gène par sa son entité à celui qui la prononce (l'insulte)! Nous en resterons-là. 8 octobre 23.Jean Canal Curriculum Vitae
L'OPTION DÉMOCRATIQUE EN GUISE DE LIBERTÉ. Durant une période post révolutionnaire dans un vaste monde y prétendant, cette option politique fut retenue comme celle qui conviendrait le mieux aux populations pouvant y prétendre. Les moyens pour y parvenir furent parfois émaillés de méthodes dictatoriales appelant aux répressions exercées sur les peuples eux-mêmes, ayant aspiré à un idéal humaniste instaurant des libertés plurielles, inscrite dans l'esprit démocratique. Jusqu'au Contrat social, de Jean-Jacques Rousseau, la conception d'une société fondée sur l'abolition des hiérarchies séculaires imposées par les monarchies, apparaissait comme une utopie populaire impossible à réaliser dans un contexte où la royauté fut considérée même par le peuple le seul moyen de gouverner ! C'est ce même peuple qui la fera abolir, conduit par les héritiers eux-mêmes de ce système d'état que les civilisations modernes adopteront en mettant en place un système de reconnaissance de chaque individu moyennant les urnes ! Le modèle le plus représentatif de la dictature du prolétariat à l'heure actuelle reste la Chine ! Les Occidentaux, eux, surent se dégager des contraintes de l'oligarchie, une et indivisible, afin de bénéficier d'un libéralisme d'état contrôlé par ce peuple qui choisirait régulièrement ses représentants politique pour gérer le pays. A l'aune de la fin de ce quart du XXI° siècle, la démocratie est disputée sur ses principes inadaptés aux urgences politiques de la souveraineté des peuples. Ces derniers souffrent d'un manque de rigueur dans l'application des textes constitutionnels que les démocraties diverses et variées et quelquefois de façade, de sorte à provoquer des réactions dictatoriales appelées par les citoyens spoliés de leurs libertés remises en cause sur certains points relatifs au fonctionnement des sociétés.
"On a beau vouloir confondre l’indépendance et la liberté, ces deux choses sont si différentes que même elles s’excluent mutuellement. Quand chacun fait ce qu’il lui plaît, on fait souvent ce qui déplaît à d’autres, et cela ne s’appelle pas un état libre. La liberté consiste moins à faire sa volonté qu’à n’être pas soumis à celle d’autrui ; elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d’autrui à la nôtre." Jean-Jacques Rousseau.
La Démocratie ne fait plus recette face aux abus qu'elle a suscités chez ses commanditaires, en quelque sorte. L'éclatement de l'Occident incarne cette débâcle que seuls quelques uns parmi le monde intellectuel du XX° siècle (contrairement à l'usage, nous ne citerons, ici, aucune source afin de na pas éveiller vos consciences, vaines en pareille étude). Le constat sous forme de bilan visuel atteste effectivement un malaise dans l'ambiguïté de la liberté démocratique dont les fondements furent captés par des pouvoirs politiques avares en équité sociale ! Les guerres en furent la résultante directe des politiques exercées à l'encontre des populations pacifiques et aspirant à une paix universelle. Le mode dictatorial revient, sans coup férir, en filigrane des urnes, ouvertes aux tendances les plus rigoureuses. Novembre 2023.
DE LA REALITE EXISTENTIELLE. En évinçant du discours politique les impératifs écologiques qui reposent particulièrement sur des questions traitant de l'adaptation des sociétés futures dans des secteurs comme les transports, l'agriculture débarrassée de ses polluants, entre autres des nombreux facteurs, responsables de l'état délétère du climat, les représentants de l'Europe condamnent les populations de l'espace Schengen à subir des conditions d'existence incommensurables à des changements radicaux dans notre manière d'appréhender la vie ! Les exemples les plus négatifs restent probants dans les habitudes consuméristes reconduites, malgré un contexte qui appelle à plus de mesure dans les aménagements du territoire, notamment, et de la consommation globale des produits manufacturés. Les efforts envers les transports en commun praticables au moindre coût sont pratiquement inexistants, quand bien même des effets d'offres succinctes tendent à en démontrer le contraire ; le temps de se rendre compte des supercheries militaro-économiques pratiquées. Le train demeure la seule version qui permet encore de s'émanciper loin des villes, et d'assurer un voyage minimisé en pollution (l'idéal eût été d'opter pour un prix forfaitaire général). L'énergie électrique au service du transport individuel ne couvrira jamais la totalité des demandes, à moins de continuer à piller la planète, jusqu'à une totale extinction de ses richesses non renouvelables (c'est ce qui se produit actuellement). Il est facile de comprendre alors que notre situation actuelle est en sursis. Comment vont réagir l'ensemble des populations quand elles auront réellement compris le leurre existentialiste dans lequel les états les ont précipitées ? L'étau se resserre à un rythme suffisamment continu qu'il est impensable de na pas en comprendre se sens. Le climat dicte d'ores et déjà notre attitude face aux caprices du temps, au demeurant des dommages causés. Il semblerait pourtant, en constatant l'ineptie des élus de vouloir s’entêter à construire une nouvelle autoroute pour gagner quelques minutes sur un parcours suffisamment bref : Toulouse-Castres ! Dénoncés comme fléau dans les modes de pollutions industrielles, le béton et le goudron exigent la destruction d'espaces naturels devenus, désormais, indispensables à une existence avérée en danger. L'exploitation frauduleuse de l'eau n'est pas en reste des exactions commises en ce domaine. Restriction générale dicte l'état. Nous sommes piégés par nous-mêmes. Notre avarice à vouloir consommer au possible de notre économie, attente à cet équilibre que nous détruisons chaque jour. Une controverse existe pourtant, celle de considérer le chamboulement climatique et les catastrophes qu'il génère, une opportunité pour l'humanité de repenser l'existence à une échelle identique à celle du respect que l'humain doit lui porter. 17/10/2023.
NOTRE PROPRE SOCIETE. Il serait vain d'essayer d'apporter une once de modification dans le fonctionnement sécularisé de la société française. En ce mois de septembre qui reflète parfaitement l'état des lieux d'un système sociétal à bout de souffle, il est du devoir des citoyens de s'inquiéter de l'avenir de leurs progénitures au demeurant des effets climatiques constatés un peu plus chaque année. Les catastrophes ne font qu'en attester la réalité, maintes fois contestée par les Septiques d'un genre humain intentionnellement dubitatif pour ne pas remettre en question notre vie sociétale en vase clos ! Le consumérisme ne constituerait donc point un danger, selon des statistiques constatées tout simplement aux pieds des vide-ordures des villes, campagnes et lieux de villégiatures touristiques où abonde un rejet des marchandises pestilentielles ! La société pue, jusque dans les recoins de ses ruelles en ville ! Urines de chien imprégnant les trottoirs jusqu'aux endroits des rues infestées de déjection canine ; ce phénomène ne dérange personne, pas même les municipalités qui arguent sur des moyens mis à la disposition du propriétaire ne respectant pas les codes de civilité, rappelés par des affichettes exhibées en guise de prévention contractuelle : de la poudre aux yeux ! Il n'y a, en France, aucune ville propre ! Pas un endroit qui ne soit dédié à l'ordure proprement dite. Quant aux jardins et lieux de détentes destinés aux citoyens proche de la nature, ils cachent toujours un petit papier, un mégot ou bien un emballage illustrant ce consumérisme inclusif de la gentrification des villes. La saleté fait partie intégrante des villes, les plus représentatives de l'étique d'un pays, en Europe ! Les rats de Paris croupissant au pied de la Tour Eiffel sont une image véhiculée à travers les réseaux sociaux qui desservent le patrimoine de la capitale, gérée par un Âne. Il y a pléthore des déchets dus à cette consommation impossible à réduire chez l'habitant qui tant à préserver ses mimétismes. Les industriels, toujours sans scrupule, de l'agroalimentaire ne daignent guère modifier leur production en faveur de la disparition du plastique et de l'emballage ! Pour contrecarrer ce fléau, la société a donc conçu le recyclage en tout genre (excepté les Cons impossible à recycler), de sorte à déresponsabiliser le citoyen lambda, restant ainsi fidèle à ses marques. Des dépôts de proximité furent mis en place afin de responsabiliser le citoyen et de le persuader que sa consommation ne présente plus de danger au niveau de la pollution générale, parce que toute la matière qui en découle est recyclée ! L'habitude de consommer des produits historique se doit de constituer une manne économique sûre. Une façon relativement constitutionnelle à l'éthique qui garantit aux idiots utiles de la société, une exonération de leur entière culpabilité sur ce principe adopté à l'unanimité ! Ajoutons une fin de non recevoir dans les mairies qui font l'autruche en ne voulant pas retraiter le problème à la base, nous avons jusqu'ici dévié le consumérisme de sa destination, tout en l'édulcorant de sorte à le rendre acceptable. La pollution des villes continue de sorte à se multiplier par ces principes de gestion qui apaisent le con-citoyen sur le choix des pesticides de son assiette ! Et si vous osez constater ce détail de la vie en société, entrez dans une demeure privé d'un écolo con-firmé afin de constater le nombre impressionnant d'appareils électriques en activité quotidienne... Le cas social, lui, est moins responsable que ces cons sociaux qui sont coupables d'avoir conscience de leurs actes : le con social, lui, jette son papier sur le trottoir, sans acquis de conscience, comme il consomme au moins cher ! Grace au chamboulement climatique et l'incidence de ses effets sur les sociétés, nous allons droit dans un mur ! Et c'est tant mieux ; puisqu'il faut que de violentes catastrophes se manifestent pour éveiller la raison de l'homme. 12 septembre 2023. Jean Canal.
Un premier jour du mois d'août, dédié à la réflexion contextuelle qui frappe le monde.
Sans spéculer sur la thèse imaginaire du Grand remplacement, intentionnellement soutenue pour des convictions évidentes d'idéologie, il est évident pour tous ceux qui seraient concernés par ce phénomène, plutôt classé dans la rubrique géopolitique, que l'Occident souffre gravement dans son hégémonie planétaire. Les deux pôles culturels du monde s'opposent effectivement aussi par l'identité revendiquée en tant que telle dans sa suprématie. Néanmoins, il semblerait, en s'appuyant sur des lectures appartenant déjà à près d'un siècle d'existence (nous ne fournirons aucun référent sur ce sujet), que l'Occident accusât un déclin, dû, essentiellement, à sa forme de décadence pratiquée depuis le développement industriel du XIX° siècle, ayant favorisé l'épanouissement des sociétés âpres au consumérisme, aujourd'hui faisant preuve d'excroissance dangereuse pour l'ensemble de la communauté humaine ! Détail de l'évolution des espèces, notamment humaines, vouées à reproduire les découvertes de son semblable qui produisit outrancièrement, autant que faire se put, sans tenir compte, évidemment, des conséquences à venir. Personne donc fut là pour prévenir des risques encourus ? Si, bien sûr ; mais la surdité apparut soudainement chez des politiciens véreux, envieux de concourir aux carrières opportunistes des époques en question. Le bilan est donc désastreux au regard de l'incapacité à apporter une réponse nette et décisive sur l'évolution climatique : enjeux de l'avenir dont dépend la production économique, en l'occurrence. Il existe donc une phobie de voir disparaître tout un peuple qui eût été à l'origine de la conquête du monde. Cette idée fera sans doute son chemin chez les plus crédules, ayant cru être les meilleurs du monde. Il y a longtemps que les peuples se distinguent entre eux par des schèmes typiquement organiques, issus de leurs origines dont on ne peut gommer les stigmates évidentes. Tout demeure encore dans l'esprit qui les anime ! Le mélange a du bon, dans la manière de le conditionner savamment à son environnement, de sorte à en tirer une polyculture adjacente aux sociétés existantes en tant que telle. Le vieux rêve du vivre ensemble s'est peu ou prou étiolé au fil du temps passé de croire à sa réalisation. Son avènement pourrait bien se produire, inopinément des avatars présents qui ne présentent guère de garantie pour un vivre ensemble parfaitement à l'image de la création qui n'eut cesse de diviser ses créatures : cet idéal jamais autant cultivé au XX° siècle, peine à se formaliser, plus aujourd'hui, face à des clivages religieux accentués par une volonté de s'imposer, que celle des origines, fondée sur la conquête de l'esprit, ayant fait preuve du bien que l'idéal renferme en ses tréfonds ! En s'opposant sans cesse sur des points d'achoppement créés de toute pièce pour des circonstances de pouvoir à exercer sur son semblable, les deux pôles idéologiques du Monde se sont effectivement combattus, pour des raison de pouvoir. Malgré les conflits encore intactes par leur activité incessante, le phénomène climatique qui s'immisce de plus en plus dans les affaires politiques, crée des problèmes majeurs au cœur de civilisations à la recherche d'unité humaine, avec l'espoir d 'une paix éternelle. Jean Canal. 1 er août 2023.
Anne de Pélisse : fiction littéraire sous forme pamphlétaire exploitée au vu des circonstances actuelles à attribuer à la Maréchaussée du coin...
BILLETS D'HUMEURS ARCHIVES
Un vent de révolte soufflera-t-il sur l'Europe, en 2023 ? Tout laisse croire que les manifestations s'enchaînent dans l'Espace Schengen. Les crises successives sont de moins en moins supportables aux européens qui se plaignent de l'inflation. De plus, des mouvements pseudo pacifiques se multiplient dans des domaines écologiques dont les procédés mutilent les manifestants ! Peut-on parler de pacifisme ? Des actes déplacés dans un contexte aux conséquences inéluctables, lesquels ne résoudront aucun problème inhérent au processus irréversible du chamboulement climatique, et n'infléchiront les pouvoirs politiques ! Une situation acculée à des années d'inaction qui se soldent aujourd'hui par des phénomènes naturels récurrents, difficilement compris par l'ensemble de la communauté humaine, effectivement confrontée à cette impossibilité d'alternatives pérennes, dans un avenir compromis par nos attitudes. "Nous allons droit dans le mur" fut longtemps le slogan des pessimistes, engagés dans des luttes, de nos jours épuisées ! Plus rien ne fonctionne comme aux époques bénies entre deux guerres. La mutation des sociétés vers un monde aspirant à une épure constante dans son mode de vie, semble pourtant se dessiner dans un paysage urbain en proie à son consumérisme : la démographie exponentielle qui dévore le bitume en sera le facteur de demain ! Notre situation n'est plus enviable, quelle que soit la place que vous occupez au cœur de la cité : vous dépendez, hélas !, d'autrui pour pouvoir avancer dans vos démarches. Le communautarisme observé au cœur des villes, traduit un des nombreux malaises qui mine l'individu : le vivre ensemble qui ne sait jamais aussi mal porté ! L'horizon marque une limite avec des dates d'évaluation de grands changements attendus, à l'aube de 2050 ; c'est-à-dire demain ! Les seuls espoirs encore crédibles dans ce monde d'illusion, reposeraient sur la capacité de l'être humain à devoir s'adapter, sans compromis, aux risques conséquents de la fin des rêves qu'il a cultivés, à l'escient de ses ambitions...déchues, évanouies dans un frêle désespoir de devenir le maître du monde ! La nature reprend non seulement ses droits, mais impose de nouvelles lois, inaliénables aux conditions de vie sujette à une stricte résolution à se conformer à ses exigences planétaires ! L'humilité devient, d'ores et déjà, de rigueur, plus particulièrement pour ceux qui crurent maitriser, le temps d'une vie, une ou toute une partie d'un idéal sociétal entièrement artificiel à l'existence. Il faut d'abord avouer sa défaite, non pas par manque d'expérience, mais plutôt par excès d'orgueil ! Jean Canal. 10/11/2022. "Et là, Ducon : tu la sens ma Verve ?!"