CHRONIQUES

By | 4 avril 2024

   De par la « hiérarchie » des normes et des juridictions, l’arrêt de la CEDH s’impose à la France qui doit en tirer toutes les conséquences. Par son arrêt du 11 juin 2020, la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a statué de manière très claire sur le droit d’appeler au boycott : l’appel au boycott de produits issus d’un État relève de l’expression politique, protégée par l’article 10 de la Convention Européenne des droits de l’Homme, et ne peut pas, en lui-même, être qualifié comme un appel à la discrimination. La CEDH a ainsi donné raison aux 11 requérants qui l’avaient saisie pour contester leur condamnation par la justice française à la suite d’actions d’appel au boycott menées dans la région de Mulhouse en 2009 et 2010. La France a été condamnée par la CEDH, et a dû s’acquitter d’une « satisfaction équitable » versée à chacun des 11 requérants. Avril 4 2024.

Une guerre ! Encore Une, sans doute la dernière qui mettra fin à des décennies de conflits entre les peuples ou leurs dirigeants ? Dans le fond, si l'on y regarde de près, les populations n'aspirent qu'à vivre en paix ! Les intentions malveillantes à l'encontre des Français dont beaucoup ne sont pas hostiles à Putine, ou bien n'ont cure du conflit actuel qui les oppose, ne se formulent pas directement au peuple français, mais bel et bien aux politiques. C'est ce dont il faut tenir compte, si un conflit meurtrier éclate en Europe. Personne ne l'envisage vraiment. Seules les spéculations politiques alimentent la polémique qui risque de contribuer à créer un contexte délétère entre les populations européennes. Quel état cultive le favoritisme russe ? mars 2024. 

Le nœud politique France 24, le lien avec l'Afrique C'est un classique en soi, qui se pratique en Politique : On vous prend pour des cons..! Certes vous n'êtes pas les seuls ; mais arrivée à plusieurs mandats présidentiels, cette situation qui ne paraît pas désagréable pour certains, accoutumés à la paresse du changement, 'grève' considérablement les ressources financières de la France, pénalisant les plus vulnérables, parmi ceux qui se lèvent tôt (c'est l'illustration par une image devenue célèbre d'un des Républicains -le plus remarquable- d'entre les anciens patrons de la Présidentielle soulignée par ce phénomène, en 2007), pour accomplir leurs tâches professionnelles, indispensables à l'économie ! Mars 2024

 Que vous le compreniez ou pas n'a guère d'importance d'ailleurs d'un point de vue du lectorat ; c'est-à-dire du chiffre escompté des visites du site et de l'éventuelle lecture des articles concoctés négligemment dans une intention de souligner le peu d'importance apportée à des événements d'une actualité rébarbative dont les acteurs du Politique ne font que jouer le rôle assigné par leur mandat ! Les faits divers ne sont davantage une thématique disputée à l'actualité qui foisonne en ce genre sensationnel, s'étant tellement banalisé que la victime précédente est consignée dans les annales de la presse afin de primer la nouvelle affaire criminelle du jour. Quant à la Justice et ses organes sécuritaires qui lui sont subordonnés, ils sont de plus en plus confrontés à des affaires criminelles auxquelles ni la police et encore moins la Gendarmerie soudainement empreinte de susceptibilité, ne parviennent à élucider les cas de disparitions d'enfants et de jeunes-filles, femmes jeunes encore, également, dans un espace Shengen, devenu le vaste terrain de délits malins attribués à des prédateurs. La technologie hautement développée de la surveillance utilisée ne sert que les villes, sans pour cela freiner le Crime. Il aurait peut-être fallu, au sein même des grandes instances (car il y a toujours des Responsables assis derrière un bureau) de la pensée puérile des dirigeants européens, tenir compte de la nature humaine, de plus en plus perturbée par une condition inhumaine de l'être, soudainement délivré des "interdits". Si les parents démissionnent de l'éducation de leurs enfants et de leur devoir familial, alors ils contribuent à faire de cette société ce qu'elle est en train de devenir : un échec ! Revu, corrigé  et augmenté le 11 février 2024.

Darmanin envoie les troupes. Des blindés contre des tracteurs. Le moment pour une insurrection nationale est enfin arrivé.  Les Français sont-ils prêts pour sacrifier leur vie à la faveur de leur cher pays ?! Non!, tout le monde sait pertinemment que les Français ont peur du gendarme...même ceux qui collaborent avec eux (la rumeur européenne vehicule des chiffres à ce sujet allant jusqu'à 75%, autant que sous l'occupation). Ils sont toujours au même point d'une situation politique étouffée par Bruxelles qui passe des accords d'échanges commerciaux avec le monde. Le Mercosur en est le signe extérieur de la politique feutrée des ambitions de l'Union Européenne : s'étendre au-delà des frontières de l'Europe. Ne devrions-nous pas vivre ensemble, en famille européenne, quand le marché commun fut lancé en 1958 ? Quand les promesses des uns ne sont pas tenues par les autres, les conflits internes aux États membres implosent : et l'addition se règle en famille. 1er février 2024.Un année selon les sources d'informations reçues, inscrite sous les signes de l'inflation générale. Du prix des carburants à ceux des produits alimentaires qui se maintiennent à la hausse depuis la période du iCovid (pourquoi abandonner les bonnes habitudes quand le système fonctionne ?), l'état reconduira une politique de fermeté dans tous les secteurs marchands qui lui rapportent des sous ! 1,29 le prix du timbre est déjà l'indice de référence pour un peuple qui n'envoie plus de courrier...mais des mails... Ajoutons les avarices administratives qui rognent sur des avantages quotidiens, dans un usage outrancier pratiqué dans les fonctions publiques (nous sommes forcés de rester absconds pour la censure...), la consommation globale diminuera au prorata de ses besoins vitaux. Fini le petit café du matin au bistrot avec les amis et adieu au croissant du boulanger de la rue. Il faudra bientôt terminer les restes et gratter la croûte du fromage plutôt que l'élaguer au couteau. Êtes-vous prêts à conditionner votre existence de sorte à éliminer toutes vos merdes ? ! Ici, aucune censure possible, parce que, non seulement c'est le mot de Cambronne... et de surcroît, nous sommes ici, précisément, dans l'exploitation de la langue française à l'endroit même où la grammaire permet de détourner le sens originel d'un mot, dans le cadre des tropes (figures de style propres à la Rhétorique) en lui assignant un sens figuré : creant ainsi une simple métaphore. Salut ! 20 janvier 2024.

Le Conseil de Sécurité de L'ONU exige un cessez-le-feu immédiat. L'aide humanitaire doit être appliquée. GAZA est dans la détresse. Un pays dévasté dont l'avenir n'a pas de perspective autonome. ISRAËL veut mettre sous haute surveillance Gaza en instaurant une tutelle à son encontre. Un moyen carcéral de plus dans la privation des libértés allouées aux palestiniennes. 23/12/2023. Et l'Ukraine tomberait-elle dans les banalités de l'information, elle-même soumise aux plébiscites populaires qui, âprement, en suggère l'audience au gré de son appétence du moment ? Le peuple demeure ingrat envers ceux qu'il a élus pour le gouverner ; toujours prompt à le démettre frauduleusement de ses fonctions politiques, décriées en leur fond. Ingrat, complice des pires exactions meurtrières à l'encontre des siens, il reste pitoyable aux yeux de la justice qu'il accuse de complicité.  Mise à jour à 13h le 23/12/2023.

LE RN AU POUVOIR POPULISTE : une conquête démocratique des idées européennes. Hongrie. Italie. Pologne. Allemagne. Suède, etc., -l'Allemagne en caresse l'opportunité- aspirent à leur souveraineté, tout en demeurant dans l'Europe. Un dilemme que le RN revendique, contre la volonté de l'UE de siéger sur les 27, en une seule présidence !

"Tout ce qui brille n'est pas or" Violences : pourquoi les gendarmes sont-ils différents des policiers ?* Jean Canal tente vainement de répondre, tout en apportant, lui aussi, la réponse à lui-même. -Euh... C'est parce qu'ils sont intelligents ? -Non abrutit ! -Ah mince ! C'est parce qu'il n'y a pas de délinquance dans la gendarmerie ? -Non imbécile ! -C'est parce qu'ils sont plus bêtes que la police ? -Impossible, Idiot ! -Je ne trouve pas ! Je donne ma langue aux chattes... "C'est parce que c'est la Gendarmerie, Ignare !" *Post-Scriptum : ce n'est pas une blague, c'est une vraie-fausse question, typiquement gendarmesque... L'auto questionnement repose sur une méthode typiquement pratiquée dans cette "arme", soit : "Je me pose une question afin d'en donner une réponse sûre et chassée de toute ambiguïté dans mon rôle professionnel, en tant que gendarme." Autant ne pas poser de question et se contenter de ce que pensent les manifestants qui eurent recours aux gendarmes, ce serait déjà faire preuve d'objectivité ! L'uniforme n'est plus un signe de sécurité : il fait peur ! Les citoyens en ont fait les frais depuis une dizaine d'années.  5 août 2023. » Mon cher Hervé, toi et moi nous savons qui est ce fameux “X” qui ne voit que sa carrière personnelle en oubliant de servir cette belle Arme qu’est la Gendarmerie Nationale. Je suis certain que beaucoup de nos camarades savent qui est “X”. »

Le culte de la guerre cultive-t-il son apogée, quand la commémoration nationale en rappelle les douloureux souvenirs, évoquant les sacrifiés de l'histoire ?! 14/18 fut, selon les historiens, la plus meurtrière et sans doute le plus avilissant échec des militaires français. 1914 : début de la boucherie de milliers d'hommes, sacrifiés pour des méthodes militaires irréfléchies de la part des généraux. Plus de cent ans après ce qui est considéré comme la première guerre mondiale, la mémoire nationale s'étiole, au profit d'autres conflits qui ont couvert le XX° siècle et ce quart de XXI° siècle dont les politiques garantissaient une paix universelle ! Les conflits meurtriers occupent toujours la scène géopolitique des pays en lice de modifier leur infrastructures. Des belligérants prompts à mettre en œuvre une puissance de feu inégalée depuis les guerres mécaniques, menace le monde : Russie. Corée du Nord et Chine sont les plus à craindre, et cela quand bien même les forces occidentales répondraient-elles rapidement aux velléités des adversaires potentiels. Ceux qui a donc changé, depuis 1914, sont les moyens techniques de faire la guerre, basés sur des méthodes plus meurtrières. Le bilan est désœuvrant pour les populations qui sont les premières victimes des conflits armées. La commémoration européenne de la première guerre mondiale est-elle encore d'actualité quand l'homme semble en avoir oublié le sens !? 11 novembre 2023.

Michel Onfray modifie sa façon d'analyser un contexte politique, en usant, proportionnellement aux événements actuels, d'une objectivité qui exonère, de sa critique, une prise de conscience trop engagée dans les idées philosophico sociales qu'il défend, entre autres des allusions intellectuelles adressées à l'ensemble de la doxa, sous-jacente à sa pensée ! Une prise de parole donc qui sert l'intérêt commun des peuples desquels il demeure le porte-parole ; en l'occurrence ce compliqué peuple français qui devra seul se sortir de cet imbroglio social. C'est la raison pour laquelle nous diffusons cet interview. Un choix délibéré de la Rédaction qui engage encore sa prise d'opinion. Novembre 2023.

NOUVELLES DE GAZA, EN DIRECT DE ISRAËL Le leader de l'extrême droite israélienne, brandit la menace nucléaire pour Gaza et tout autre belligérant voulant en découdre avec Israël ! L'Iran est visé par cette menace aussitôt sanctionnée par l'ensemble des chefs politiques israéliens et condamné par le Premier Ministre qui a évincé la présence de l'intéressé. La science fiction est un moyen d'impressionner ses adversaires, dans un contexte durci par l'adversité de ces derniers. Tous les états connaissent les effets de causalité politique qu'une telle initiative occasionnerait de la Corée du Nord, à la Chine et jusqu'en Russie ! D'autant plus que Poutine reprend du poil de la bête, au sein de ses relations avec des états qui aspirent à quitter la Communauté internationale et ayant des intentions de fonder les Etats Unis des pays, hostiles à cette Communauté internationale. 8 novembre 23.

Une guerre des marchés dans le cadre économique est donc déclarée, entre la Chine et L'Union européenne, dont certaines entreprises se plaignent du management déloyal pratiqué par les Chinois. Une méthode complaisante aux adversaires de l'occident, dont la Russie retire un avantage pour ses propres ressources au faîte de la gloire ! L'impact est direct dans la zone euro qui gravit les échelons d'une inflation inquiétante. Comment résoudre cette adéquation complexe qui semble compliquée pour tous les dirigeants européens. Préoccupés par les flux de migrations successives, intensifiées avec les conflits et catastrophes naturelles, les états européens directement impactés par ces vagues humaines, recherchent une sortie de crise, sans encombrer les priorités politiques de la zone euro en difficulté économique, désormais globalisée. La réflexion du Monde Diplo du mois d'octobre, définit en fait un préambule pour une fin de siècle croulant sous les catastrophes naturellement humaines, en posant la question, des futures puissances asservissant les anciennes qui les avaient mises en esclavage. Pours lors, la fin du pétrole inquiète plus les pays producteurs que les consommateurs qui finiront par en faire une infime consommation. Les transitions en tout genre, issues d'initiatives intelligentes permettront de redessiner les moyens de transport mondiaux ; sinon, le genre humain devra d'abords se soucier de son propre avenir, déjà fort compromis ! 26 octobre 2023. 

ENSEVELIE DANS UN PROFOND SOMMEIL : l'Afrique s'éveille enfin ! En ce qui concerne l'Afrique, la France en est définitivement bannie ! Un exil forcé, infligé à la France-Afrique (les Africains écrivent Françafrique : un néologisme plus évocateur que le mot composé) de Jacques Foccart. La politique de Macron ne fut pas à la hauteur des enjeux des partenariats attendus de la part des états en instance de changements politiques que les putschs ont savamment précipités. Les chefs d'états officiels en sont également la cause première par l'absence de leur devoir envers les peuples gouvernés, privés des retombés économiques directes. La manne issue des richesses dûment exploitées, entre autres par la France, fut engrangée, comme tout le monde le sait, pour des intérêts personnels des dirigeants africains, soutenus par l'état français. Seuls des coups d'état pouvaient et peuvent encore modifier ce procédé de prévarication d'argent appartenant aux peuples ! Une révolution est donc en marche et elle trouve sa légitimité dans l'Histoire ! Et si l'Algérie tend, itou, à rompre ses fausses amitiés avec la France, c'est pour, Elle aussi, se débarrasser d'un pays qui lui est hostile en son for intérieur (il suffit d'interroger la conscience des Français pour obtenir la seule réponse possible). Le contentieux africain demeure dans tous les esprits des peuples ayant été colonisés... Ni Sarkozy, ni Macron n'ont su respecter l'Afrique ! Lien connexe. 1er octobre 2023. 

"La quasi-totalité des départements a perdu des terres agricoles entre 2008 et 2018, à un rythme moyen de 0,2 % par . an. 57 000 hectares disparaissent sous le béton ou le goudron. L'étalement des villes et la transformation des sols agricoles en habitation, infrastructures ou zones commerciales en constituent la raison principale."  IGN 2023.

Le harcèlement des enfants à l'étude gouvernementale, après plusieurs suicides ! On se demande parfois à quoi sert l'état ! Quant à l'Education Nationale dont le Capes requiert moins d'exigence scolastique, on comprend que les "enseignants" ne soient plus au niveau social pour tenter de répondre aux problèmes générés par des années d'abandon politique ! Les Institutions ont démissionné de leur devoir d'éduquer le peuple qui s'est abruti par lui-même -en flânant dans nos villes, vous n'aurez pas de mal à remarquer cette carence. L'avenir sera encore plus conflictuel, entre citoyens prompts à "lutter" contre une main mise sur les libertés. On aura, par contre, remarqué la multiplication des intervention d'une nouvelle génération située entre 17/35 ans, soucieuse des prévarications exercées sur les espaces naturellement dédiés à la nature (l'axe inutile Toulouse-Castres est une opération politique pour les élus impliqués dans cette violation de biens publics). Pauvre pays ! Il ne méritait pas une telle déchéance... -Emboîtons le pas, pour une fois que la Rédaction vous convie à suivre ses opinions. Revue et corrigé le 29 septembre 2023. 

Vive le Roy. Sa majesté britannique, Charles III, s'invite au pays qui guillotina son propre Roy. Indéfectible amitié, contractée depuis la fin des de l'empire de Napoléon, l'Angleterre se révèlera être notre meilleur ennemie, à la fin de la guerre de cent ans, notamment caractérisé par la bataille d'Azincourt, quand la noblesse de robe perdit bêtement ses valeureux chevaliers, sacrifiés inutilement pour la gloire perdue de leur famille ! Le retour du nouveau Roy s'avère un signe du changement politique à venir : promu au boycott politique de certains britanniques qui affichent ostensiblement leur aspiration républicaine, le Roy Charles maintient la tradition anglaise, sans faiblir sur l'héritage de la royauté ancestrale qui lui confère le Premier titre de reconnaissance en Europe et dans le Commonwealth ! L'honneur rendu par la France à sa majesté, marque une volonté d'inscrire la VI° République française dans la pérennité historique de ses propres traditions hégémoniques, héritées de plus de mille ans de monarchie !  22/09/2023.

La question qui devrait apparaître positive pour cette future jeunesse, végétant dans l'instance d'entrer dans le monde du travail, repose plutôt sur le travail lui-même, de sorte à savoir si le travail est encore considéré comme une valeur ou pris comme un pis-aller dans l'esclavage moderne ?! Fondé essentiellement sur le consumérisme qui éconduira les prétendants aux postes éventuellement que le travail propose, la valeur originelle qui fit la fierté de posséder un métier, s'est étiolée devant celle de l'argent : gagner plus, beaucoup plus afin de répondre présent au système de la consommation qui a fini par rendre esclave un peuple libre ! 16/09/2023.

La réforme des retraites, obtenue par l'usage outrancier du 49.3, aura-t-elle un effet positif sur l'économie... Le Gouvernement va-t-il taper dans la caisse..? Comme il le fit pour la caisse des entreprises. Le PIB en baisse ne peut suffire à lui-même pour rééquilibrer les finances de la France, surendettée. La crainte des syndicats couve sur une éventuelle prévarication de l'état, exercée sur l'excédent des cotisations, lequel argent serait utilisé à d'autres fins que celles auxquels ces quatre milliards eussent été destinés, notamment à combler le déficit retraite... Paradoxe dans ces réformes :  le compte n'y est toujours pas ; il manque des sous pour couvrir les dépenses, effectuées depuis au moins quarante années. Et pourtant, tout semble impeccablement calculé, de sorte à satisfaire l'ensemble de la population active. La France vit-elle au-dessus de ses moyens ? Comme la plupart de ses partenaires européens qui, excepté la Grèce, lors de sa crise financiere, historique, gèrent parcimonieusement leurs frais en réduisant les surplus... Les dettes s'accumulent et ne se divisent pas ! Comment vivrons-nous un avenir, d'ores et déjà compromis par un climat très capricieux ? Revu corrigé à 18h. 29/08/2023. Pour en savoir plus. Hippolyte d'Albis : Les seniors et l'emploi (Presses de Sciences Po, 2022)sous la direction de Hippolyte d'Albis et Françoise Benhamou : Des économistes répondent aux populistes (Odile Jacob, 2022)

Un Variant nommé Eris ! La COVID ferait son entrée en septembre et annonce de gros risques de contamination. Le pic le plus élevé se manifesterait au cours des Jeux Olympiques de 2024 ! Le taux exact de mortalité en France depuis le commencement de cette épidémie, est impossible à obtenir avec exactitude... On meurt toujours du SIDA et du COVID ?! L'ancienne agence privée américaine des statistiques enregistrée dès les premiers jours de l'épidémie n'est plus opérationnelle (faute d'obtenir avec régularité les chiffres). Des chiffres qui se volatilisent dans l'espace ! Vous ne saurez plus rien concernant la véritable évolution du virus. Voir les liens à consulter, en amont de cette page. Il faut donc s'attendre à une nouvelle campagne de vaccination, dès la rentrée. Le masque redeviendra-t-il obligatoire ? Le prochain combat pour s'en préserver ne sera pas médical, mais politique ! Lundi 21 août 2023. 

AU PAYS DES MECHANTS. L'Iran, que Jean Canal nomme la Perse, comme pour la Turquie, quand il parle de sa capitale, il écrit Constantinople, l'Iran donc continue désespérément à pourchasser les femmes, faibles femmes soumises, qui refusent de porter le Hidjab ! Un manifeste naturel qui se doit d'être défendu, en Occident ! Et plus particulièrement en Europe où la mode féminine change pour un orientalisme désuet. Les mahométans en France sont moins rigoureux, cependant, et laissent libre choix à leurs femmes. Mardi 8 août 2023.

Pourquoi afficher la page de couverture d'un média tant décrié ? Valeurs Actuelles, est à l'actualité l'interview de Emmanuel Macron qui courrouça les susceptibilités intellectuelles ! Cette remarquable presse écrite qui présente des valeurs franco-françaises à l'écrit et diffuse moyennant un audiovisuel percutant via CNEW, notamment des sujets relatifs aux faits divers. Une presse qui ne manque jamais de commenter l'actualité, jusqu'à en analyser les tréfonds qui la font ! La raison pour laquelle, il fallait saisir cette opportunité de rédaction, tout simplement parce que le titre inclut intentionnellement "Tout le monde".

La banalité de certains féminicides regrettables, s'entend, dispenserait-elle certaines femmes de leur fessée hebdomadaire ou mensuelle pour les plus sages ? Autrefois, selon quelques témoignages coquins dont nous préservons l'anonymat, des femmes attendaient de recevoir une fessée bien méritée pour, ne serait-ce, avoir pensée à tromper leur mari qui assénait une correction avec mesure, en échange de cette mauvaise et bonne pensée ; de sorte que ladite y reviennent régulièrement et donc s'acquitte du pêché de chair avant de le commettre. Et si demain, les Cons foutaient la paix aux femmes tout en se demandant pourquoi leurs pensées se meuvent en rêve d'un Prince véritablement charmant et non envers l'abruti avec lequel, hélas !, elles sont encore obligées de supporter... 2 août 2023.

LA FIN D'UN MONDE. Le dernier Roi de l'Empire américain désormais déchu, acheva de régner, dès l'élection du 46° Président des États-Unis ! La suprématie de l'impérialisme occidental que l'Amérique incarnait par l’avènement du premier tartuffe de l'état Yankee, Donald Trump, s'est effondrée à la suite du séisme survenue à la Coupole. L'Amérique n'appartient plus qu'à elle-même, dans un protectionnisme qui s'avère, paradoxalement, le seul moyen d'occuper une place digne de son rang international, au cœur même de son espace territorial. Le contrôle de l'économie des marchés est en gestation asiatique. Lire la suite.

Les générations qui héritent de nos années complaisantes aux souhaits des besoins matériels du XX° siècle, sont au rendez-vous de l'histoire post moderne de notre "new" contemporanéité, élaborée sur les restes du consumérisme aseptisé, pour lequel optèrent les civilisations modernes, synthétisées par les nôtres. Les éléments conservateurs de nos aliments nutritionnels, injectés sous les formes d'agents essentiellement composés des E et une myriade de dangereux addictifs invisibles qui en garantissent les goûts originels reconstitués (c'est une image élaborée pour en visualiser la réalité présente), se sont dissous dans un organisme transformé selon les formules scientistes (la science ayant démissionné de son travail d'amélioration de l'espèce humaine) ! Quant à la culture, elle se résume à la maîtrise du téléphone portable, tactile, à des fins puériles de ses services consuméristes outranciers qui valorise les apparences existentielles. L'intelligence artificielle supplée d'ores et déjà à la pensée classique de nos aïeux, en l'espèce ! Lire la suiteLa Rédaction. juin 2023.

Le nouveau Club des Mauvais vient de rejoindre la Communauté internationale. C'est officiel ! Poutine, Bachar Al Assad et Ali Khamenei se joignent au nouvel ordre mondial, orchestré par la Chine. C'est une fiction ? A peine l'ébauche d'un scénario festivalier pour Cannes. Trois jeunes iraniens ont été dernièrement exécutés par pendaison en Iran qui décime sa jeunesse ! Peut-on pactiser avec les tyrans ? Le G7 s'est il posé la question ? Les populations européennes ont-elles réellement conscience des circonstances subies par une jeunesse iranienne qui ne veut plus de ce régime orthodoxe d'un islam qui ne se pratique dans aucun état du Maghreb ? Gouverner par la terreur appelle inéluctablement la révolte. 24/05/2023.  Les Pays arabes, eux, resserrent leur union historique, en un consensus diplomatique afin de renforcer leur idéologie commune du pouvoir. Une intention qui repose sur l'intérêt qui les rassemble autour de l'économie et de leur souveraineté au coeur de l'Occident. Aucune ingérence de l'extérieur, venue de pays condamnant leurs politiques n'est admise. Cette nouvelle donne s'inscrit dans les enjeux mondiaux à venir et qui orchestrent, d'ores et déjà, les nouvelles donnes de la future partie à jouer dans la souveraineté de chaque peuple. On aurait cru à une uniformisation de l'islam radicalisé aux extrêmes de son orthodoxie, il n'en est rien, au regard des événements iraniens que le peuple dirige face au dicta de l'oligarchie répressive. Quand un état tue son propre peuple, il doit s'attendre à ne pas durer. L'Occident et qui pis est l'Europe, ne peuvent plus ignorer l'importance que les Arabes représentent dans le monde. La question de la Palestine se fera récurrente ! Une nouvelle aire commence entre puissances équivalentes, sans en diviser les fondements afin de renforcer leur pouvoir. 4/06/2023. 

Comment appréhender les nouvelles perspectives climatiques qui seront les conséquences des changements d'orientation politique ? D'un point de vue, individuel, l'adaptation aux différents climats est le seul recourt au salut public ! L'idéal serait, évidemment, de bannir les constructions urbaines en béton et de chasser le goudron des centres villes ! Autant demander à un coq de pondre un œuf ! Les plages réduiront encore plus l'utilisation des douches sur les plages. Les centres villes appliqueront l'usage piétonnier, agrémentant les espaces de verdures issue de toutes les espèces résistantes aux variations des climats ! C'est déjà en cours, bien sûr ; quand bien même les platanes ont péri le long du Canal du Midi. Il fat reconnaître que les pays du Nord Est de l'Europe applique ces paramètres depuis fort longtemps, jusqu'à sanctionner les ordures dans les rues ; en France, c'est pratiquement impossible. Ni les caméras de surveillance, ni la présence d'agents assermentés, réduiront les déchets des villes et les excréments des chiens et hommes dans les rues ! (Faut-il réellement publier des photos ? Il ne vaut mieux pas...). Une ville comme Toulouse, n'est point encore parvenue à une propreté complète ! Le moindre détour dans une ruelle, révèle une réalité difficile à admettre ! Rassurez-vous, Âne de Paris a démontré au Monde que sa Ville est sale ! C'est un fléau qui ne dit pas sa véritable cause, essentiellement reposant sur l'individu lui-même. Et si vous vous promenez aux abords des centres, arborés et/ou verdis de plantes florifères, odorantes en leur saison, vous y découvrirez une minuscule crotte de chien, dissimulée sous une herbe verdoyante où viennent s'allonger les jeunes gens, dès le printemps venu. La France fut un très beau pays, jadis, avant les aménagements de territoires dont les villes cultivent la tendance de s'étirer de long et en large ; sur le modèle de la Grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf... A propos des bœufs, il n'y avait personne au Marché hebdomadaire du lundi, Place Maréchal Pétain ; le mauvais temps dissuada la gente locale de se ruer devant des étals pauvres en marchandise. Les gens sont de plus en plus difficiles et ne veulent plus manger n'importe quoi ! Est-ce un signe d'évolution sociale ? Nous sommes en droit d'en douter... 22/05/2023.

Une nomenclature non conforme aux règles des Institutions européennes qui ne peuvent maîtriser les directives des règles exécutives ! Comment en est-on arrivé à un tel comportement, dont les effets directs peuvent précipiter tous ces efforts d'unification européenne dans l'abysse d'un Brexit européen !? Un dilemme insoluble pour ceux qui furent à l'origine de l'Europe ! Les états membres cogitent sur une sortie de crise pouvant pénaliser le système monétaire de l'Espace Schengen. Le drapeau européen déchiré, et non brûlé, par des élus de la République française ! Le slogan tacite qui se dissimule dans cet acte : « la France aux Français ! » Soit !, la pensée est entendue du fond des âges. Néanmoins, qui sont les Français, aujourd'hui ? Mr. Dupont et/ou Mr. Durand ? Les patronymes à connotation étrangère, comme on nous l'apprenait dans le primaire, fut un temps, relativisent toujours une appartenance du terroir ! Exemple : Mr. Bouvier était autrefois une personne qui gardait les bœufs ! Mr. Canal était jadis un individu qui s'occupait des canaux ! Et ta sœur, Ducon ! Elle s'occupe pas de la braguette du voisin ?! Jules ferry avait drainé des morales à la con, notamment celle apprise aux petits africains colonisés, essentiellement par des étrangers auxquels la nouvelle patrie française faisait miroiter de s'enrichir sur le dos des "Indigènes" !, en leur rappelant que «nos ancêtres les Gaulois...» Quand on est noir de peau on aurait tendance à douter de cet aveu... Et aujourd'hui, parmi le nombre de cons en France recensés par une étude effectuée sur une localité rustique.., les statistiques sont formelles, nous avons atteint 80% des chiffres reconnus par 'les tas' ! Bon mercredi. C'est le jour où les enfants font dépenser un peu plus d'énergie aux parents, en leur faisant dépenser un peu plus d'argent...10 mai 2023.
L'opposition turque présente un candidat âgé de 74 ans ! Les élections de mai séduiront-elles l'électorat jeune qui sans doute espère un élu de leur génération ! Le pays a besoin d'un nouveau souffle pour gonfler les voiles de ce départ vers le troisième millénaire qui n'en est qu'à son quart de siècle, presque achevé. La Turquie devra se contenter de sa géographies existante et ne pas briguer des espaces autrefois ottomans : l'empire est bel et bien perdu, ainsi que ceux des Anglais, des Allemands, des Français, des Espagnols et Portugais, sans omettre les Belges et le Néerlandais. Une époque révolue qui donna naissance à de nouvelles nations, aujourd'hui partenaires des marchés économiques internationaux. Seule, la Russie semble reconquérir des territoires privés ! Kemal Kiliçdaroglu possède-t-il suffisamment d'arguments pour détrôner Recep Tayyip Erdogan, le 14 mai, lors de la présidentielle ? La question peut être posée, quand on comprend que à choisir entre deux âges communs, autant opter pour celui dont l'exercice du pouvoir a fait ses preuves, et cela quand bien même fussent-elles contestées ! C'est le citoyen lambda qui décidera si l'état islamiste de Erdogan convient toujours au peuple, restant néanmoins très indécis sur une décision cruciale à prendre pour l'avenir de la paix en Turquie. Pourquoi la Turquie, amie de Poutine, intéresse et devrait intéresser l'Europe ? Sa proximité avec le continent et ses frontières avec l'Asie mineure sont des critères impérieux pour l'équilibre européens. Les frontières de la Turquie avec le Moyen Orient, sont les garantes du filtrage des populations immigrant vers l'Europe. 4 mai 2023.

Si l'on en croit les différents auteurs d'une information crédible, références à l'appui, non seulement la longévité du travail n'est pas indispensable, mais les fonds que les cotisations des retraites représentent à l'heure actuelle, privés inclus, vont combler les déficits de l'état dans les domaines sociaux... Le déficit des dépenses de l'état pour couvrir cet argent "dingue" que les crises ont accentué, représente un budget considérable, cependant incompatible avec les lois du libéralisme qui régiront bientôt l'Europe. Le Social au sens propre appartient au passé. Les politiques qui furent menées jusqu'alors ne tinrent compte de l'évolution sociale qui justement dépassa l'exercice du Pouvoir. Le pire est en train d'arriver à un rythme lent qui s'insinue dans notre quotidien, insidieusement. Il appert une espèce de conditionnement relatif aux contextes qui semblent être contrôlés par un appareil politique éculé. Personne ne peut, à l'heure actuelle, apporter une solution à un phénomène dénué de moyens pour rétablir un équilibre qui favoriserait la paix entre les peuples. Nous avons atteint un seuil de dangerosité élevée qui ne parait pas visible. La Rédaction.  17/1/2023.

Les jeunes sont-ils réellement dépositaires de l'héritage culturel de leurs parents ? De plus en plus investie dans les mouvements sociopolitiques, depuis notamment les manifestations antigouvernementales à répétition de ces dernières années, cette jeunesse qui incarne les 16/25 ans, ne se définissant par aucun parti politique avéré, revendique d'abord le droit d'être entendue et, au demeurant de pouvoir exprimer ses Droits civiques, au demeurant de participer aux grands débats nationaux. Éprouvant le besoin de faire entendre la voix d'une génération numérisée au possible de son implication consumériste, cette jeunesse occupe une place majeure dans la société de classe où se retrouvent des engagements politiques ! Collégiens et Lycéens engagent leur responsabilité dans des manifestations où ils trouvent enfin l'occasion d'exprimer leur façon d'appréhender différemment la société, dénonçant ce qu'ils considèrent être préjudiciable à un avenir dont ils sont les héritiers directs ! Doivent-ils, eu égard à leur jeune âge, être épargnés par les conséquences des chaos sociaux qui ressortent des manifestations auxquelles ils participent activement, sans aucune animosité revendiquée ?! Paradoxalement, la ferveur dont ils sont porteurs, en guise de message, revêt une intention légitime de changement dans les événements qui se déroulent indifféremment à leurs opinions sur le système sociétal dont ils dépendent. Persuadés à juste raison d'être investis d'une mission institutionnelle, les jeunes refusent catégoriquement les politiques antinomiques que leur imposent les pouvoirs, ne tenant jamais compte de leurs avis ! Ne sont-ils pas prioritaires dans le choix de l'avenir à contracter, selon les nouvelles normes climatiques qui leur incombent aujourd'hui ? Le droit à la parole relève de l'acquis de conscience dont cette jeunesse fait de plus en plus preuve, en refusant le monde médiocre que leurs parents leur ont laissé.  4 avril 2023.  

201 voix pour la retraite à 64 ans, contre 115 ( soit 86 voix seulement pour la Réforme). Le Sénat s'est exprimé, sans coup férir, en donnant à l'article 7 tout le pouvoir que la Constitution lui confère ! La Droite domine la politique de la France. La France fut-elle réellement de Gauche sous François Mitterrand, lequel Président de la République élu en 1981, fut Ministre en occupant de hauts postes (celui de l'Intérieur), sous la IV° République ? Ce pays, nourri de mannes révolutionnaires, ponctuées depuis 1789, avec des dates clefs 1830, 1848 et 1871 qui ont tenté de faire valoir des droits inexistants attribués au peuple, cette France penche du côté de la chute inéluctable ! Comme il le fut signalé par nos plus éminents intellectuels, 2023 sera l'année préambulaire aux crises économiques de 2024. Nous sommes dans l'antichambre des restrictions ! 9 mars 2023. LIEN CONNEXE

En toile de fond, au large San Francisco et le Golden Gate... Sur son teeshirt on peut lire : presselibre.fr (son statut professionnel dans les hautes entreprises américaines de sa branche, ne peut la compromettre avec sa correspondance de notre média, strictement libre et indépendant...)."C'est pour cette raison que la banalisation des drogues dures en Europe incite la jeunesse à essayer cette stupéfiante expérience. Pas de condamnation pour les artistes cocaïnomanes. La France est le pays du permissif ?" Clothilde des States. Vidéo de Clothilde. 

Les règlements de comptes finissent toujours par arriver ; plus qu'hier et moins que demain en politique où les adversaires ne manquent pas ! Un contentieux ne peut demeurer éternel face à la vindicte ! La politique de Macron peut-elle le poursuivre après son dernier mandat ? Les uns après les autres, les derniers chefs d'état français « comparaissent » devant leurs pairs afin de répondre à une commission d'enquête parlementaire, sur les manipulations du pouvoir politique exercé durant leur quinquennat ! Un véritable tribunal se tient, désormais, devant une assemblée à minima de représentants de la République, auxquels il faut justifier de son séjour à l’Élysée...sont passés alors en revue les points les plus aigus de la gouvernance (Élisabeth Borne y apparaîtra un jour), afin de déterminer quelles alternatives eussent plus de chance d'être adoptées pour gouverner. Bref ! En temps voulu, Emmanuel Macron rendra des comptes. 22 Mars 2023.

Il faut espérer que les populations se regroupent autour d'idées communes, salutaires à une nation dont les valeurs soient propre à garantir l'identité de l'individu. Les partis politiques campent trop sur l'idéologie relative à leurs idées ; c'est scléroser l'esprit des divergences politiques qui divisent une volonté de vivre ensemble, sans aucune étiquette politique !  Aussi incroyable que cela eût pu paraître, en une autre période que celle-ci, la politique menée par Laurent Wauquier en sa région, classe cette dernière la moins endettée de France. Un exemple de gestion qui peut reproduire sa politique au niveau national. Seule la volonté manque, ainsi que les finances... C'est une "rupture d'égalité entre les territoires", qui fit le président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes réagir contre le désistement de l’État qui refuse d'apporter son aide à la région. Sur quel critère repose donc les dépenses régionales ? Les désastres sociaux provoqués par des choix politiques imputés à des Gouvernements se retirant des devoirs d'assistance à son peuple, ont causé la désolation dans des régions abandonnées au déclin social. 12 mars 2023.

Un conflit Ukrainien incité par les États-Unis qui auraient provoqué suffisamment de circonstances pour que la Russie réagît avec une violence inouïe, que l'actualité dévoile au quotidien depuis plus d'un an déjà. Cette thèse, c'est celle de Michel Collon qui s'est maintes fois expliqué sur ce sujet, avec une rare clairvoyance sur les raisons de ces événements. Les États-Unis bénéficient indéniablement des avantages de cette guerre, tout en s'impliquant à distance, via les relations européennes et cela sans en subir de dommages. Selon Collon, l'Axe que souhaiterait former les États-Unis reposerait sur une alliance Paris, Berlin, Varsovie et Kief  (l'Europe incluse) ! La Russie serait ainsi définitivement isolée et deviendrait vulnérable. Néanmoins, il semblerait que la Chine soit du côté de Poutine pour des raisons évidentes ; à savoir la lutte éternelle contre l'impérialisme Yankee ! Si les explications de Collon sont pertinentes, elles laissent l'analyse contextuelle perplexe au regard d'un avenir donc voué à une troisième guerre mondiale. La Rédaction. 21/02/2023.
L'OCCITANIE en tête dans l'agriculture biologique développée en terre occitane. Les départements classés parmi les mieux placés dans la production biologique : le Gers & l'Aveyron. Seulement 10% des terres arables en France, sont consacrés à la biodiversité. La majorité des produits biologiques que l'on retrouve dans les boutiques affichant des logos bios dans leurs rayons, proviennent de l'étranger : Maroc. Espagne et la Communauté européenne. Le slogan "manger français" à un coût que les producteurs peinent à cultiver. La culture biologique dans son éthique recule et les gens composent un entre deux pour se nourrir. Le Politique ne participe guère aux transformations des terres et aides réelles aux agriculteurs. Par contre, une jeunesse aspire à entreprendre un investissement agricole local, bio au possible des prix d'achat des terres disponibles pour cet effet. La Rédaction.18/2/2023.

Les Médias d'état existent bel et bien en France. La Radio télévision française vous présente un panel de chaînes au service du public. L'objectivité doit rester de rigueur. La Radio semble plus libre que l'audiovisuel, plus courtisé que les ondes. Public Sénat et La Chaîne Parlementaire sont deux nouvelles chaînes fraichement émoulues de l'avènement de l'Europe ! Presselibre.fr a sélectionné les meilleures en lecture sur son site, avec l'inégalable France Culture, s'entend. 28/2/2023.

Le pouvoir public a t-il une incidence sur le cours de la criminalité enfantine ? L'univers de la petite adolescence peut faire preuve de cruauté à l'encontre d'un des leurs dont le genre ne correspond pas à la "norme" fixée par une majorité devenue crétine, s'arrogeant le droit de juger la différence. Un suicide acheva violemment cette confusion de valeurs. Cette tragédie est l'apanage sociétal des idiots inutiles. La Rédaction. 5/2/2023.

Ĺe CPI agit hors des frontières en accord avec les états soucieux de justice. La Libye et l'Éthiopie ont dernièrement contribué à l'arrestation d'individus poursuivis pour crimes. Une victoire pour une justice internationale qui est cependant restreinte dans des pays qui lui sont réfractaires. La Rédaction. 16/1/2023.

Quand une magistrate est menacée par le grand banditisme ! C'est la justice qui est mis en danger et donc notre liberté ! Le droit à une protection rapprochée n'a pas été retenu par la justice qui ne voit pas la nécessité de protéger l'une des siens ! Le paradoxe est évident ; ce qui l'est moins est qu'un magistrat n'est plus à l'abri des menaces verbales considérées donc comme mineures. Faudra-t-il qu'une magistrate soit assassinée pour affermir la sécurité en France ? Avec le management de la Police Judiciaire dans tout son fonctionnement, le crime a encore de beaux jours devant lui... La Rédaction. 12/10/2022.

Nous n'allons pas renchérir sur les faits divers qui se sont déroulés en France, dans la rubrique criminalité, tout simplement parce que des médias s'en chargent et la presse fait de son mieux pour traiter ces sujets, allègrement débattus par les politiques dans les hémicycles appropriés. En outre, ceux sont de thématiques qui dégagent une atmosphère nauséabonde difficilement respirable quand on s'investit entièrement dans le domaine du crime ! Le plus atroce reste la mort d'enfants et pour ceux qui n'en n'ont pas, il pourrait s'avérer difficile de comprendre le ressenti éprouvé pouvant se traduire par une forte animosité à l'encontre des coupables. Les derniers en date, inquiètent la population sur l'efficacité non pas de la police, mais de la Justice qui semble rempli de mansuétude à l'égard des multirécidivistes et de meurtriers potentiels dont les pédigrés infirment la dangerosité ! Il semblerait donc qu'il y ait une nonchalance dans le traitement de dossiers en instance et d'affaires complexes. La Sécurité, elle, met un point d'honneur à multiplier les investigation pour extraire la vérité et retrouver rapidement et les victimes, le cas échéant, et les coupables. Alors d'où vient ce mal qui fait de notre société une des plus violentes à l'heure actuelle ? La Rédaction. 7/2/2023.

Nous hésitons toujours à nous investir dans l'actualité quotidienne traitant de faits divers considérés comme séditieux dans la manière dont il sont mis en œuvre par cette actualité. Dans le cas qui nous affecte et nous révolte, il est difficile de ne pas synthétiser le phénomène qui se présente à nous. "Pourquoi les parents n'ont-il pas réagi immédiatement en retirant leur enfant du collège pour éviter le drame ?" La Rédaction. 29/1/2023.

Dédaignons l'argent sale de ces élus reconnus par la Communauté européenne comme des émissaires de l'Europe, et orientons notre attention, non pas sur l'état sociétal de la France qui se délite, mais sur les lignes conjoncturelles du monde actuel, livré à des controverses économico politique (rien ne change) qui plieront aux injonctions des peuples spoliés de leur souveraineté ! Hélas ! Ni le XX° siècle, plus meurtrier que les précédents pourtant livrés aux barbares, ni le XXI° siècle ne présentent de garantie pour un apaisement international des conflits qui perdurent encore en des foyers. Décembre 2022. Jean Canal.

INSTRUIRE LE PEUPLE n'est plus un signe de priorité pour développer les potentiels intellectuels d'une éventuelle élite. Jean-Claude Michéa nous donne un aperçu de ce qui se fait de mieux dans l'enseignement depuis un demi siècle déjà : "L'enseignement de l'ignorance." Vous avez choisi un moyen de rester au plus bas de l'échelle sociale : celle qui entraine vers cette décadence consumériste. Votre condamnation est sans appel. Extrait. Jean Canal. 08:09:2022.      On avait pu assister à la régression de l'éducation nationale avec des enseignants au-dessous du niveau requis, notamment dans le primaire. Avec 12,500 milles élèves à la rentrée de septembre, la France ne peut plus faire face à une situation sociale qui dépasse le gouvernement ! Cette fois-ci, c'est la chaîne entière de la connaissance du savoir qui est touchée ! L'Enseignement recrute au plus bas de son niveau traditionnel ; l’Éducation nationale est morte ! Il faut absolument revenir aux cours par correspondance dispensés par des retraités et enseignants établis dont la richesse puise ses sources dans le passé : Auxilia en fut un élément fondamental. Les classiques resurgiront dans les programmes de sorte à disséminer ce savoir abandonné au profit du consumérisme.

LA CHINE devenant le premier pollueur de la planète, il suffirait de ne plus avoir recours à son industrie pour ne pas cautionner le consumérisme global ! L'effort devrait déjà venir de la part des occidentaux qui font l'autruche devant une des premières forces militaires de la planète ! On le sait : les Chinois subissent également la dictature du Parti Communiste chinois. La pollution les frappe directement. Si le système de la consommation ne se réduit pas, nous sommes donc en sursis ! 21/11/2022.

QUAND DES ETRANGERS s'emparent, eux aussi, de l'affaire concernant le Racisme, à partir d'une phrase condamnable par l'injonction qu'elle représente : Qu'il(s) retourne(nt) en Afrique !, la langue de bois pratiquée à l'Assemblée Nationale et ailleurs dans des Hémicycles académiques dignes d'un théâtre, implique l'emploi d'un ton plaidant pour une critique accentuée de vérité brute et pénible à accepter comme toute vérité d'ailleurs ! C'est plutôt la politique de la France qui est profondément frappée en son cœur, par ceux qui analysent également les contextes inter conjecturels qui détruisent les origines institutionnelles qui firent sa grandeur : celle de 1792 ! Nous sommes dans une situation de délitement du tissus social qui dégrade l'identité de ce pays, dans lequel se retrouvaient, jadis et naguère, des étrangers fiers d'être français ! Ce n'est plus tout à fait le cas ; puisque les faux étrangers d'aujourd'hui aimeraient plutôt que ce soit la France qui devienne étrangère à leur identité...Et l'argument incarné par le simple usage du mot racisme réveille les vieux démons que l'on croyait morts ! Jean Canal. 7/11/2022.

"La minorité d'emmerdeur." Peut-on soutirer une idée politique conclusive des propos du Ministre de l'Intérieur qui, effectivement, met le doigt dans l'engrenage duquel ne peut plus se défaire la France ! ? Pourquoi ces éventuelles mesures à prendre indéniablement, arrivent après tant d'années de laxisme sur le dos d'une population épuisée des violences urbaines et rurales ? L'état veut-il une guerre civile qui en une conjoncture déjà imbriquée dans la guerre en Ukraine s'avérerait désastreuse pour le pays !? Les gens sont fatigués des politiques aventureuses de ces hommes possédant le pouvoir de décision et qui pratiquent le clientélisme économique. On ne brade pas un pays comme la France qui fut en 1789 un modèle exemplaire pour les peuples opprimés de la terre ! On ne méprise pas des populations dont les aïeux se sont battus sur les champs de bataille, à l'exception des conquêtes coloniales, s'entend. Personnellement, ma familles depuis des siècles !, a contribué à l'évolution de ce pays dans sa forme et ses fonds politiques ! Aujourd'hui, je vomis sur les politiques de sorte à n'en policer aucune ! Ce pays est perdu par la cause d'amateurisme cultivé au fil du XX° siècle et encore aujourd'hui, on assite à l'impuissance des dirigeants entièrement responsables de l'état des lieux désastreux de la France ; lesquels briguent des postes aux retombées européennes. Peu importe que la France se modifie en des genres différents de ses origines ! L'avenir est lui aussi voilé dans son horizon sombre !  Jean Canal. 02/11/2022. Lien du Tweet de Gérald Darmanin.

Darmanin et le casse-tête des migrants qui ne cessent de briser les initiatives de la collectivité européenne, confrontée à une situation conflictuelle entre états de l'Espace Schengen ! Hongrie et Italie, sans omettre la position de la Suède, autant d'états qui renforcent leurs lois face aux vagues successives d'une migration incontrôlable ! Il faut désormais attendre "l'accueil" de ces nomades, dans la France profonde, où les villages cultivent la carte identitaire avec outrecuidance. Dans le Sud Ouest, durant la période Cathare qui dura jusqu'à la Renaissance..., les Français qui avaient pillé, violenté et, dans le même élan, violé en terre occitane, furent considérés comme de véritables étrangers ! Le paradoxe qui s'impose comme un pied-de-nez à l'Europe des blancs, repose dans le refus des femmes italiennes et allemandes de procréer dans un but de pérenniser "la race." L'Italie de Giorgia Mélonie se colorise et voit ses souches sous forme de couches rejoignant les gloires de Rome : la ville immortelle ! L'Allemagne vire aux bruns foncés, mat de peaux ! Quant à la France, sa jeunesse se casse et va voir ailleurs si c'est mieux ! Jean Canal.

La dernière interview de l'ambassadeur de Chine, en France, sur une plate-forme audiovisuelle a permis de mesurer la susceptibilité des Chinois transcendée à travers un des dignitaires les plus significatifs de la culture chinoise. Monsieur Lu Shave évoqua les griefs qui préoccupent les relations chinoises avec l'Occident : deux esprits strictement différents qui ne convergent éventuellement que sur le commerce. Une culture qui n'admet aucune ingérence occidentale et une gestion des affaires politiques réduites à un seul homme qui vient d'être réélu. Xi Jinping connaît sans doute mieux la France que d'autres états dont les relations sont d'ordre uniquement pratique. La philosophie chinoise fondée sur l'ascétisme spirituel de Confucius et Lao Zi échappe complètement à nos dirigeants et évidemment journalistes qui ont la sale habitude de s'immiscer dans les affaires politiques des Chinois. Jean Canal. 3/11/2022. Interview de l’Ambassadeur LU Shaye.Emmanuel Macron est-il à la recherche d'une alternative politique située à Droite. Les Républicains sont-ils toujours dépositaires de la Droite traditionnelle française ? Les résultats de la dernière présidentielle en démontre le contraire, avec l'avènement du Rassemblement National dont la présence à l'Assemblée Nationale se comptabilise avec quatre-vingt-dix députés siégeant dans l’Hémicycle. Nicolas Sarkozy aurait conseillé le Président de la République de se rallier à l'ancienne Droite qui souffre de sa dépréciation auprès des anciens adhérents qui ont rallié le RN ! Un malaise évident déjà observé, au cours des législatives, confirme une politique française malade de la culture entretenue durant plusieurs mandats présidentiels. Les grands partis emblématiques, y compris le PC, ont vu leur électorat partir à la recherche d'idéologues appelés à changer la politique. En franche minorité, le nouveau parti de Emmanuel Macron, « Renaissance » ne glane guère d'adhérents qui eux également cherche une porte de sortie d'un imbroglio européen qui nous amènera à un durcissement du conflit Russe ! Jean Canal. 2/11/2022.

NICOLAS ET EMMANUEL. Voilà un sujet riche d'expérience professionnelle qui ont porté leurs fruits en un temps où la France vacillait dans la déroute financière de son économie ! Le voici ! IL revient pour un sacré coup-de-main à donner au pays ; car ne croyez pas que Nicolas rend visite à Emmanuel pour un chèque, étant donné que l'actualité nous rabâche que les fins de mois sont difficiles pour tous. Menteurs ! Il s'est attribué, moyennant rémunérations consistantes, des capacités de conseillé à la personne, au même titre que ces "Aides à la Personne" qui assurent des tâches subalternes dans l'organigramme sociétal [ SIC ]. La situation politique actuelle de Emmanuel est critique et à de doigts (2 seulement) de basculer dans les abysses violentes d'une Révolution guerrière -les français sont à bout de force et veulent recouvrer la France d'Hier, où tous vivaient dans la concorde et une relative paix sociale. Nicolas aimerait que Emmanuel rejoigne le camp de l'Ancienne droite dont il fut le Président, afin d'éviter une catastrophe politique qui bénéficierait aux tribus de la Gauche disséminée dans des partis fantasques qui ne parviennent plus à s'accorder ! On sent, effectivement, que l'aire de "la Collaboration" est arrivée ; certes, à brûle-pourpoint ; mais...vaut mieux tard que jamais. Salut ! Et courage...Le pire est à venir.

L'ULTRA DROITE EN LICE AU Brésil ! Deux candidats aux opinions diamétralement opposées clarifient une situation politique digne d'un chiasme arraché aux figures de style pour synthétiser l'esprit brésilien. il y a les blancs et les gens de couleurs qui représentent une majorité de pauvre, la plupart aculturés et privés du savoir : Lula les représente, en partie d'un électorat de Gauche. Bolsonaro, Lui, cultive le national à la mode consumériste, en ayant libéré les droits aux exploitations forestières, entre autres des mesures sociales appliquées ! En Bref ! Il semblerait que les minorités de la forêt amazonienne eussent été intentionnellement oubliées. L'Europe se fâchera-t-elle avec le Brésil, le pays du Roi du foot ? Nenni ! Jean Canal. En ce lundi trois du jour de grâce de l'an deux mille vingt-deux.

LE MEDEF EST FORMEL. Son patron, Geoffroy Roux de Bézieux, l'atteste, le trou financier des retraites est provoqué par l'argent de la fonction publique ! Les fonctionnaires coûte cher à l'état et donc au contribuable, la vache à lait du système ! Faudra-t-il revoir ce statut envié par certains qui y voient une planque professionnelle avantageuse en émoluments & nature..? Considérés dans son ensemble comme les fainéants de la société, certaines corporations devront être soutenues et maintenues pour le plus grand bien social. La protection des villes ne peut se réaliser qu'à partir de professionnels, quand bien même ces derniers multiplient-ils des dérapages fréquemment. Déléguer la protection citoyenne à une engeance privée serait la porte ouverte aux bavures en tout genre. Une fonction publique indispensable qui s'inscrit donc dans un processus sociétal hérité des acquis de 1936 et après guerre, avec la création de notre chère Sécurité sociale ! On ne touche pas aux valeurs républicaines ! Le privé à suffisamment sa part de marché pour ne pas convoiter la société du travail public ! Jean Canal. 16/09/2022. 

LA CHOA vu par les élèves français  ne présente  aucune ambiguïté sur son existence. Le négationnisme  ne prévaut  plus et personne de sensé ne remet en question l'élimination des six millions de victimes. Par contre, les reproches se dirigent vers son exploitation à des fins israéliennes au détriment des Palestiniens. En ce jour commémoratif, il est crucial de rappeler un phénomène qui pourrait être récurrent.  Jean Canal 18/09/2022.

PROCES DE NICE. Où sont les coupables ? Hormis une association de malfaiteurs de seconde zone, les véritables coupables de cette vindicte à l'encontre de la France seront absents ! Un jugement qui trouvera sa raison d'être dans la volonté de l'opinion publique d'obtenir des coupables. Le conducteur du camion, lui, est mort ! La sécurité de Nice, dans ce drame, fut mal gérée. Tous les responsables seront-ils dans le box des accusés ?! Jean Canal. 5 septembre 2022. à suivre.

L'IGNOMINIE GUERRIERE.  Aucune limite n'est fixée à l'humain pour mettre à exécution ses pulsions meurtrières, quand le paroxysme a atteint son plus haut degré de haine ! La guerre deviendrait-elle internationale ? Des américains engagés volontaires dans ce combat contre l'armée russe, assistent à des scènes barbares ! Confrontés à des actes de pillage des corps de soldats russes, les américains sur le terrain mesurent l'ampleur d'une guerre qui fait preuve de sa sauvagerie. Jusqu'à présent, seuls les disciples du terrorisme islamiste avaient adopté des comportements de barbares ! Viols, pillages, tortures, meurtres, ect. Jean Canal. 30/08/2022. lien du reportage.

Esprit     Médias hybrides

Eric Berti & Jean-Maxence Granier

Les médias contemporains évoluent désormais dans un régime d’économie de l’attention, imposé par la multiplication des acteurs et par le rôle croissant des algorithmes dans la valorisation de l’information. La confusion générale qui s’est installée, entre les rédactions traditionnelles et les plateformes socio-numériques, entre l’information, la connaissance et le divertissement, appelle un travail d’éclaircissement conceptuel.

En fait, l'entrecroisement des médias en ligne, quelle que soit leur teneur en information, se sont fixés des buts reposant sur une production d'informations à diffuser en continue, sans égard pour la véracité des nouvelles. Un résultat chiffré en donnera une suffisante valeur marchande qui se devra d'être encensée par des invité de marque dont les références ne se peuvent remettre en cause l'authenticité de l'information diffusée en image.

Ne serait-ce pas plus conséquent d'exiger du lecteur un esprit critique acéré ?

Jean Canal. A la lecture de l'article de la Revue Esprit.

AU VU DES RELENTS QUI EMANENT DU CONTEXTE CONJONCTUREL ACTUEL, apparaît une évidence ne laissant augurer rien de positif pour les années à venir. A moins de refuser la réalité qui se déroule sous notre impuissance, les catastrophes prennent de l'ampleur de façon empirique pour notre avenir commun. Aucun pays, aucun continent ne sont épargnés par ce nouveau fléau qui frappe la planète. Néanmoins, le constat aggravant de l'état d'une situation inextricablement dépendante de notre consumérisme, ne semble toujours pas sensibiliser les populations prises aux pièges de leur attitude. Quarante années que l'information circule à travers des constats scientifiques, intellectuels et d'associations ayant sans relâche alerté les politiques des risques encourus. La priorité ne fut jamais d'améliorer la qualité de vie des civilisations, mais de maintenir leur conditionnement de manière docile à un système d'aliénation via une consommation surenchérie. Nous sommes devant le fait accompli, sous forme de destruction de notre propre patrimoine, notre avenir proche, contrairement aux messages officiels des politiques, est compromis. Les efforts déployés pour résoudre les problèmes du chamboulement climatique sont vains et les politiques le savent depuis le début de cette hécatombe ! Sauve qui pourra en un lieu loin des chaleurs torrides qui séviront sur l'Europe géographique. Jean Canal. 27/08/2022. 

La fin de l'abondance. Le terme est dans toutes les pensées politiques ; quand bien même ne feraient-elles que traverser les esprits demeurant dubitatifs sur ce propos. Emmanuel Macron qui est quand même le Président de la République élu en juin par une majorité relative, cita la formule au cours d'une réunion ministérielle. Qu'elle conclusion retirée de cette situation inhérente à notre comportement général qui ne semble toujours pas se modifier. Les quelques solutions qui pourraient réduire notre voracité, ne se peuvent être appliquées au demeurant d'un système de productivité aliéné à notre dépendance consumériste. Le piège se referme lentement sur nous, sans aucune alternative salutaire en matière de reconversion économique immédiate. Il est trop tard ! Les prédictions des scientifiques qui alertent depuis maintenant un demi siècle, sont tombées dans la casuistique de l'utopie politique qui consiste à entretenir de l'espoir chez les plus idiots qui s'ignorent. Et ça marche. A bientôt... Jean canal. 24/08/2022.

Exemple historique : Gaza attaque Israël et vice-versa. Ce conflit ancré dans les annales de la Palestine, n'émeut plus personne. Aujourd'hui, on peut mourir sur le petit écran, en direct, le repas de l'heure sacrée à laquelle il est dédié, ne sera perturbé par aucune scène de violence tombée dans la familiarité ! On passe facilement d'un attentat meurtrier perpétré à un endroit quelconque de la planète, à une coupe du monde de foot, sans sourciller et interrompre son activité pour compatir aux malheurs du monde ; soit-il le nôtre ! On peut donc se demander, tout en ayant compris que toutes les démarches jusqu'à ce jour n'ont jamais répondu aux doléances des peuples (l'exemple de la modification de la production consumériste qui n'a jamais abouti, en est très significatif), confrontés à des problèmes majeurs comme le chaos climatique advenu, que l'actualité entretient une information dans un sens qui n'est pas positif. Le public devient complice de l'info, englué dans un système d'aliénation duquel il ne peut se soustraire sans encourir une perdition de son entité ! Ouvrir sa gueule pour ne rien dire de bien instructif pour l'ensemble d'un pays (l'Assemblée nationale en est devenue le théâtre), revient l'audience dans une position de faiblesse qui le rend dépendant de son comportement (il s'agit du public, s'entend). Jean Canal. Revu et corrigé le 08/08/2022.

Les idiots inutiles à la con-somation, spécifique aux marchandises intello-culturelles, sont appréhendés par le processus qui les a engendré, en amont des formations universitaires et/ou en centre d'intéressements relatifs aux études excipées pour prétendre à ce statut, quel qu'en soit le poste ! Il ne s'agit plus d'énumérer les cons qui ont dépassé la norme nationale, en France qui en compte, effectivement de sa population ; mais de distinguer une nouvelle classe sociale de laquelle sont issues les têtes pensantes de cette loge, strictement incluant des adeptes con-firmés -l'actualité nous en révèle à chaque événement un peu plus ! Avec 3,5 % d'augmentation, les fonctionnaires ont obtenu l'orgasme féminin tellement espéré, devant l'impossibilité de développer une satisfaction organique de leur constitution -dans certains cas, l'uniforme à pâli de honte... Vous semblez l'avoir enfin compris (en toute apparence, s'entend), il ne s'agit pas de l'agroalimentaire qui pourtant est responsable du degré d'incapacité à notre dernière génération de déduire de bonnes analyses des contextes socio-politiques en vigueur, mais plutôt de l'assimilation intellectuelle découlant des données dispensées devers un lectorat de fans, voués inexorablement à la connerie publique. Jean Canal, Rédacteur en Chef de presselibre.fr (et le Patron emmerde ceux qui le contestent afin de l'en discréditer) prend la parole : J'explique ! Quel que soit le milieu auquel les con-cernés sont rattachés, intellectuel, fonction publique, politique et dérivés syndicalistes, etc., il est observé une recrudescence de maniérisme corporel chez des personnes à haute responsabilité civique, si l'on se rapporte à ce que le Code de déontologie implique comme règles à respecter strictement dans l'exercice d'une fonction établie selon le code précité. La France en a définitivement perdu sa réglementation tombée dans les abysses des abus en tout genre. L'actualité nous en a fourni un panel effrayant, enseignant au quotidien ce dont des gens soi-disant de confiance pouvaient commettre comme exactions à l'encontre de la République, bafouée en des circonstances aux pénalités aggravantes. Une espèce de laxisme s'est insinué au fil des successives politiques en exercice depuis l’avènement de 1981. Paradoxalement, ceux ne sont point les entités politiques qui seraient mises en cause, mais ceux qui en ont détourné de leur propension propre, les originelles idéologies qui les ont fait naître ! Le chaos actuel en découle de fait par la perte de valeurs humanistes auxquelles les peuples ne sont plus attachés, parce qu'ils furent forcés de s'en détacher pour adorer cela-même qu'ils auraient dû brûler ! Le bilan est plus catastrophique que l'appareil audiovisuel le laisse, évidemment, paraître. Et ce n'est toujours pas l'intérêt d'un pouvoir de faire une mise à jour d'une situation contenue dans un contexte qui vacille sur les fondements qui l'élèvent au-dessus du doute. Jean Canal. 10/07/202. En direct de Arles : les Rencontres e la photographie.

LES MOTS CLEFS DE LA FRANCE : la conférence sur l'avenir de l'Europe ou prendre des vessies pour des lanternes ! Il va falloir trouver rapidement des alternatives aux contextes actuels de l'Europe, si, entre autres des problème inéluctables à son existence dans son espace, les peuples européens ne veulent pas trop souffrir des conséquences néfastes du climat qui manifeste de plus en plus ses effets naturels dévastateurs (les chercheurs du GIEC sont formels : vers 2050, les glaciers européens auront fondus...). Comprennent qui voudront l'admettre : la réalité du chamboulement climatique est avérée ! Les septiques ont droit de penser... tout et son contraire : ceux qui vivront, verront ! 4/07/2022. Jean Canal. 

MORALE INSTITUTIONNELLE. La re-moralisation de la société est-elle réellement nécessaire pour freiner les décadences de la profanation de sa constitution actuelle, au demeurant est-elle encore possible face à la controverse des militant(e)s favorables à l'IVG qui revendique un droit inaliénable au corps ! ? Là où les religions ont échoué, en donnant comme exemple des abus sexuels chez des prêtres pédophiles également perpétrés sur des religieuses, la société est-elle légitime pour légiférer sur des lois devenues iniques aux États-Unis, et qui tendent à être remises en question, en Europe, en invoquant les droits de l'Homme, comme argument de légitimité ? Des mouvements renaissent au fur et à mesure que la liberté enfreint les limites de la bonne conduite : celle inculquée par les classes sociales appartenant aux gains retirés des privilèges réservés à ceux qui en ont toujours joui. La Morale, guindée de sa majuscule, s'érige au-dessus des lois nouvelles qui libèrent l'esprit de ce corps qui manifeste incessamment sa volonté de modifier les comportements naturels à sa constitution. Pourtant, la morale n'est mise en cause par personne. Elle se pratique en milieu clos, où les actes qui lui sont alloués ne font qu'enrichir la nature humaine, effectivement appelée à sombrer dans la vacuité abyssale de sa décomposition corporelle. Le temps de la culture de l'esprit ayant été dissolu dans la valeur de la marchandise qu'il représenta au regard de sa spéculation, il demeure toujours l'horloge des décisions soumises à une morale, qu'elle soit politique ou bien religieuse. Jean Canal. Sur l'idée de morale des gens de biens. Juin 2022.

L'Ordre. Lequel serait le plus approprié dans nos sociétés actuelles où les classes sociales, le population plus exactement aspire à plus de liberté d'exécution de ses aspirations individuelles. La marque de la religion laïcisée en France parvient à s'exprimer, contre des opinions hostiles à cette idée. Un corps vêtu, cachant les parties considérées comme étant intimes et réservées. Voilà le dernier grief apparu dans une piscine grenobloise dont le maire de la ville fait son nouveau combat pour la liberté ! La laïcité surgit alors pour rappeler les contradictions de son édit de 1905, contre l'avis de l'Idylle qui souffle sur les braise de ce qui devient une lutte démocratique en un pays qui ne peut renier ses Droits de l'Homme. C'est donc le préfet qui fait valoir son autorité au nom de cette laïcité bafouée. Vous remarquerez qu'il s'agit toujours du corps ! Alors que nous vivons où la pensée devrait primer sur les apparences trompeuses sur des comportements trompeurs dans leur manifestation ! Un maillot à deux pièce vaut-il celui porté autrefois à une pièce ?Au début du siècle dernier, les bains se prenaient habillés... L'évolution en fit un effet de mode obsolète aujourd'hui. En Algérie, les filles se baignent majoritairement en maillot deux pièces ! Quelle forme prendra cet ordre attendu par tous pour que l'ensemble de la société vive en paix cordiale, sans mélanger les genres ; puisque nous allons vers une fragmentation des classes communautaires... Jean Canal. 26/05/2022.    

LE JOUR DU DEPASSEMENT EST ATTEINT CE 5 MAI. Notre réputation de mentalité gauloise est donc établie : la France vient de dépasser ses limites de consommation ! Autant comprendre que nous provoquons le processus de dérèglement déjà enclenché, en précipitant une fin catastrophique de l'évolution climatique ! Loin de la fiction d'autrefois, quand les septiques dubitatifs glosaient sur une alternative favorable à un retour en arrière des quatre saisons, nous allons droit dans le mur ! Nos ressources s'épuisent à grande vitesse. Pourquoi la France a-t-elle atteint ses limites ? Parce que nous sommes des partisans du consumérisme inutile, entre autres de ces nécessités essentielles à "notre survie" planétaire que nous dédaignons au profit d'inutiles produits. Lire la suite. Jean Canal. 7 mai 2022. 

L'HOMME PERDU. Quand l'intelligence humaine ne fonctionne plus, elle recourt à l'intelligence artificielle. Déroger à la machine une tâche manuelle pénible fut l'intention du Taylorisme qui multiplia la production industrielle en aménageant le travail manuel, ainsi soulagé de sa mécanisation individuelle. La chaîne produisait plus, en moins de temps tout en atténuant la fatigue.

La solitude humaine préoccupe dans la mesure où il faut y remédier. Les moyens ?! Créer un alter égo qui accompagnera l'homme au quotidien. Le plus dangereux serait que ce robot prenne des décisions pour l'homme, le privant de pensée ! Se substituer à l'homme en tant que cerveau électronique s'applique déjà sur le net avec les logarithmes, entre autres de la science qui en use à proportion gardée. A quel fantasme aspire l'homme en voulant se faire remplacer par un robot intelligent ? Jean Canal. 5 avril 2022.

« Y'A BON BANANIA ! » La Cancel culture ravage désormais la littérature ! Brûlera-t-on les livres ? Parmi nos auteurs sérieux, ceux qui apportèrent une vérité à l'écriture, qui sont les condamnables ? Désormais, les États-Unis censurent les ouvrages à connotation raciste, discriminatoire, sexiste, etc. Après le déboulonnage des statuts d'hommes considérés comme illustres dans leurs actions vénérées à leur époque, le Livre devient l'objet de la haine ! Un sujet appartenant à la Cancel Culture importée des States ! Le Lévis résistera-t-il à cette nouvelle vague idéologique ? Il ne faut donc point parler de tout, mais cultiver le rien qui annihile tout ! Paradoxalement, le livre se retrouve compressé dans des Data Bases qui prennent moins de place et ont l'avantage d'enfermer une bibliothèque sur un disque dur ! Alors ! Devons-nous redouter la fin du livre en sa matière ? Le contenu vaut de loin le contenant pour ceux qui savent en extraire toute la quintessence qui y est renfermée. Jean canal. 30/03/2022. A son tour l'Europe se vide de ses cerveaux face aux crises successives depuis une vingtaine d'années. La seule certitude néanmoins qui conforte l'idée que l'Europe demeure une terre de prédilection pour un développement économique relatif au fédéralisme existant cahin-caha, reposerait, en effet, dans les mouvements de populations internes à l'espace Schengen où se multiplient les projets de sauvegarde sociale, dans chaque état frappé des difficultés socio-économiques connues. Nonobstant, la Communauté européenne bénéficie de suffisamment de garantie financière pour faire face aux crises que la guerre actuelle, pénalisant la productivité générale, provoque. La manne essentielle se trouverait dans cette main-d’œuvre bon marché, malléable à souhait qui satisfait les commerces et entreprises de l'agroalimentaire, entre autres, ne requérant point de personnes hautement qualifiées. Jean Canal. 29 mars 2022. Lire la suite.

ELECTION PRESIDENTIELLE. La seule alternative qui se dessine à l'horizon de 2050, date buttoir de l'apogée du chamboulement climatique, appelle à un autre changement crucial dans l'avenir de la France, sujet de l'Europe, à savoir celui de l’avènement d'une sixième République qui incombera Emmanuel Macron, si son mandat est reconduit par les urnes de cette année. Mélanchon appellera à la révolte sous les formes les plus démocratiques que cette même république autorise, le cas échéant d'une réélection du Président actuel ! La défaite amère pour toute la Gauche incapable de se rassembler autour d'une salutaire résolution sociale pour les français, traduit la faiblesse d'une politique existentialiste sur les décombres du socialisme déchu ! Ce grand virement à Droite promu aux élections de mars et Juin est la conséquence des politiques aventureuses qui furent éconduites au cours de ces vingt dernières années. Emmanuel Macron devra donc en retirer toutes les conclusions nécessaires pour corriger les erreurs qui de ses prédécesseurs qui de sa propre politique fondée sur les lois du personnalisme ! Il va falloir composer entre les options économiques encore praticables et une réduction drastique des dépenses superflues de l'état ! Si révolte il doit y avoir, elle adviendra de l'ensemble des classes sociales, exacerbées par les coûts de la vie qui fragilisent les maigres budgets devant s'acquitter des charges mensuelles des ménages. Le pire étant à venir, malgré les fausses annonces politiques qui sont intentionnellement entretenues afin de maintenir la population dans la tranquillité sociale, les politiques de résurgences exercées à brûle pourpoint, devront être converties en actions sociales réellement salutaire dans la pérennité de l'équilibre à établir au sein du peuple. Une élection de circonstance suffirait à combler l'ensemble les français. Qui en détient la solution ? Aucune réponse sûre ne peut être envisagée pour l'instant. Jean Canal. 25/03/2022.


Toute information sur le conflit en Ukraine est bonne à prendre comptant. Ce ne sont pas les médias français qui détiennent la réalité du champs de bataille russe. Les médias étrangers sur le terrain son nombreux et leur manière d'appréhender la guerre révèle une réalité brute, sans fioriture ou bien illustrée de commentaires qui dévient de l'attention que les images devraient susciter. L'analyse ne relève pas de spécialistes en la matière. L'Otan porte une lourde responsabilité sur cette situation, au même titre de leur intervention en Irak, en Lybie, en Afghanistan et ailleurs en Afrique ! Avoir poussé Poutine à la confrontation armée, n'est pas sans intention particulière de récupérer une conjoncture qui lui était favorable, jusqu'à cette décision prise par l'Ukraine de se rapprocher de l'Otan ! Il n'est pas trop tard d'analyser la situation pour comprendre qui si l'ours est sorti de sa tanière, c'est parce que l'aigle est venu survoler son territoire ! L'Europe paiera le prix fort de cette escalade militaire ; les États-Unis resteront à l'abri des victimes dont les bureaucrates sont responsables. Jean Canal. Le pire reste à venir. 9 mars 2022.

DIS-MOI QUI TU FREQUENTES, je te dirai comment tu vas mourir. Les circonstances politiques inextricablement liées aux élections présidentielles de cette année, prometteuse de changements, nous autorisent à se poser la question qui s'impose avec une excroissance du virus covid. Située à la deuxième place du tableau d'honneur des classifications mondiales, la France connaît une vague sans précédent dans sa pandémie ; un pic atteint dont aucun scientifique, digne de ce nom, eût pu évaluer les risques encourus, cependant pressentis par Raoult et Klein ! L'insouciance reste visible, lorsque l'on se hasarde dans une ville, ici, Toulouse. Elle est notable avec quelle légèreté les gens continuent à se presser en des lieux devenant complètement inutiles. Quant aux repas entre gens de bonne relation, il est pratiquement impossible de les proscrire : nous sommes en France ! Le pays des victuailles... Le refus d'obtempérer, en ne respectant pas les ordonnances d'obligation vaccinale en perspective d'une législation qui végète dans les armoires de l'état, condamnera t-il ceux et celles qui revendiquent légitimement au regard de la Constitution de 1789, de ne pas se faire vacciner ? Ci-dessous un extrait de la vie de Etienne Dolet, philosophe et libre penseur dont le manque de tempérance lui valut le bucher. Jean canal. 10 janvier de l'an de grâce deux mille vingt-deux. Photo Jean Canal : Place du Salin à Toulouse, là-même où se dressa le bûcher de l'Inquisition !

"Cri sublime ! Jeté au milieu d'un peuple endormi, et qui fit frémir ceux qui avaient intérêt à son sommeil !" Etienne Dolet fut jugé hérétique par la faculté de théologie de Paris qui lui reprocha d'avoir rajouté trois mots à sa traduction de Platon inexacte : "Axiochus : après la mort tu ne seras plus rien du tout." Les trois derniers mot le firent brûlé sur la Place Maubert, ainsi que son éditeur. Nous étions le 3 août 1546. Sources BNF.


La Famille : une dérive sectaire sous les aspects communautaires. Ils sont nombreux a avoir essayé de vivre ensemble autour de valeurs fondatrices. Et aujourd'hui encore quelques uns persistent à cultiver une vie autarcique qui se justifie par la profanation des fondements sociétaux promus aux libertés, annoncées par les Lumières, de nos jours bafoués. Paradoxalement, le jansénisme incarné par Port Royal détruit sous l'injonction de Louis XIV qui vit en cette institution religieuse un danger intellectuel pour la pérennité de son pouvoir ; ce jansénisme-ci, recouvre, de nos jours, une nouvelle naissance au sein de cette Famille évoquée par les médias. La recherche d'un "idéal de vie, fût-il religieux en son temps, se veut prévaricatrice de ces libertés instituées de fait par les Droits de l'Homme toujours pas respectés en Europe et de par de-là la planète (les hautes autorités institutionnelles garantes de ces valeurs, ne semblent elles-mêmes incapables de les faire respecter en Afghanistan, en Afrique, en Arabie et en Asie : ne discriminons point sur la Chine, c'est le partenaire économique de tout le monde). La Famille vue sous cet angle, réduit à 32°, ne présente aucune sécurité pour ceux qui en sont exclus de fait par leur opposition à ce mode de vie. La porte restant entre ouverte pour les anciens parents préférant une plus vaste liberté au cœur-même de cette société profane qui cultive la décadence sous toutes ses formes, elle se referme aussitôt afin de se protéger des ennemis potentiels pouvant exploiter un concept sociétal différent de la majorité mal-pensante ! Les Accusateurs publics formés à l'exercice de la diffamation en tout genre, pullulent et abondent, plus qu'hier et moins que demain, jusqu'aux moindres lieu-dit de cette France toujours profonde, engoncée dans un esprit pétainiste qui sommeille jusqu'aux présidentielles de 2022, quand le fascisme sera démocratisé ! D'avoir eu le courage d'essayer une vie en communauté avec le kibboutz de Pardailhan dans l'Héraut, au début des années soixante, marginalisant ainsi la structure sociale imposée par une économie de marché expansionniste, cette famille-ci conclut par une vie autarcique en d'autres lieux plus propices à cette expérience humaine. Le résultat ne fut pas forcément aux rendez-vous fixés par l'existence communautaire qui admet des parallaxes dans la vue que l'optique générale croyait voir au bout de ce stéréotype illustrant le vivre-ensemble. Des dérapages et abus adviennent quand l'être perd complètement le contrôle de lui-même, en dérogeant à ses devoirs de croyant qui seuls le sauveront de sa perdition profane...réduite aux coercitions des autres ! Jean Canal. 30/11/2021.


"Changer d'Etat" Un véritable état d'âme si l'on glisse voluptueusement vers le monde décomplexé de la philosophie contemporaine nourrie de ses pairs, tous socratiques. Ayant perdu, voire égaré, l'essentiel des leçons platoniciennes, les nouveaux philosophes issus de la formation éculée de l'Ecole enseignante institutionnelle, continuent à ressasser langoureusement une idée d'icelle, en perte de facteurs repères dans les préceptes philosophiques abandonnés en héritage. Il suffit de regarder vivre nos contemporains pour se rendre à l'évidence que le monde piétine et donc recule face aux problèmes grandissants, attribués à la société coupable d'inaction en faveur de ses habitants (c'est général). Même à France culture, après les enrichissantes émissions de Adèle Van Reeth, le matin à 10 heures (retirées du programme), l'état en lui-même ne se retrouve plus dans des valeurs qui semblent avoir fait leur temps.

                          Le XXI° siècle aspire à effectivement "changer d'état" ! Ce n'est guère la situation du covid qui nous préoccupe, ici, comme le souligne la Revue Esprit en mettant l'accent sur l'épidémie et la relation que le pouvoir politique prit pour défendre son propre état, mais les questions que suscitent encore les situations issues de cette période, comme l'on le précise incessamment en Histoire, ayant mouvementé les populations sur tous les points d'achoppement sociétaux. Jusqu'où le Pouvoir politique légal et légitimé par les urnes peut-il aller dans ses droits ? Les besoins vitaux à l'existence dépendent en fait des conjonctures actuelles qui dictent les impondérables de demain ; c'est-à-dire dès 2022. On sent bien que le vieux monde est moribond et que sa fin est proche. Les nations toutes ensembles sont à son chevet afin d'en écouter les dernières volontés de reconstruire un univers où la paix régnerait. Le contexte, paradoxalement, n'en laisse rien augurer de bon. Les conflits se succèdent depuis plus d'un siècle sans interruption. Le XXI° siècle commença avec la guerre en Syrie, puis l'émergence de DAECHE. Il continue avec l'Ethiopie en guerre, sans omettre les conflits épars qui végètent de part et d'autre sur la planète. Changer d'Etat pour quelle résolution ? La COP 26 temporise dans l'espace social, de sorte à maintenir les peuples dans un espoir de modifications structurelles des sociétés à vue d'un horizon trop lointain pour être visualisé. Le progrès a généré ces atermoiements controversés par des politiques opposées qui animent un contexte délétère pour une paix unilatérale entre les peuples.

                     Il y a, c'est vrai, des belligérants à cette initiative qui ne parvient pas à émerger des volontés des peuples. Nous ne sommes toujours pas dans une position de force pour changer d'état. Pour y prétendre seulement, il faudrait, semble t-il, faire preuve d'un peu plus de sincérité dans des intentions à caractère salutaire pour obtenir un équilibre planétaire dans les priorités humaines ; et à l'échelle sociétale, d'abord. Imaginons une VIème République, si l'on pense y recourir pour nous faire accroire que les choses changeront ! En vain, évidemment ; parce que tout dépend du comportement de l'autre, cet alter égo qui s'évertue de vouloir plaire à soi-même. Dans un fond régénérateur pour l'individu, Changer d'Etat serait s'exonérer des responsabilités d'échec que l'état actuel des choses révèle. Jean canal. 7 novembre 2021.


UN CONCILIABULE POLITIQUE POUR CONCLURE... avec le concours de la Maréchaussée. Des présidentielles

orchestrées pour 2022, nous ne débattrons point ! Il suffit d'écouter ce qui s'en dit et s'en faire une idée, tout en prenant la température déjà fiévreuse des partis politiques en liesse qui sont préoccupés à obtenir une accession au poste convoité n'étant, ne l'oublions pas, qu'un CDD. 5 ans, c'est la durée des responsabilités à encourir, avec un lot de risques conséquents qui incombent le Président, souverainement élu ! La République, en effet, ne peut se suffire à elle-même ; elle recourt à une idylle qui statuera sur l'avenir d'un peuple toujours divisé, parfois de moitié, à dessein de satisfaire ses aspirations du moment, celui du temps des élections. Comment contenter des gens divisés sur un fond et une pratique de l'exercice politique qui en ressort ?! Il est pratiquement impossible de satisfaire toutes les aspirations formulées ainsi, lesquelles sont fondées sur de critères socio-économiques délétères que la mondialisation a précipité dans son déclin annoncé. Il est d'ailleurs question, aujourd'hui, de déclin de la société occidentale, non pas au profit de la Chine omniprésente sur la planète et dans l'espace, en ayant fait un pied de nez aux occidentaux, mais de l'évolution des sociétés engluées dans un consumérisme destructeur. Le rôle du prochain Président de la République française, admettra des responsabilités plus amples en matières de sociabilité des infrastructures qui composent l'espace urbain, entre autres des instances relatives aux zones rurales convoitées par un urbanisme économique. Les impérieux devoirs de l'élu à venir, se dessinent déjà dans le présent, au rythme du chamboulement climatique qui dicte d'ores et déjà une attitude à adopter pour sauvegarder ce qui pourra encore l'être. Qui, malgré les apparences trompeuse de chaque candidat qui se voudrait le seul à assumer ces responsabilité, qui sera digne de complaire à une très large majorité, en exhaussant les vœux les plus cardinaux de la société française ; et cela tout en oubliant les critères personnels de ceux qui pensent toujours à leurs propres intérêts au détriment du peuple français dont ils font partie ! Jean Canal. 20 octobre 2021. 14H 05.

L'Afghanistan : Les mots de Sergueï Lavrov concernant ce fiasco français Etats Unis. Une concertation entre pays aurait évité cet échec militaire évident ; les Russes ont une expérience du terrain, éprouvée. Depuis 1999, l'islam dit radical progresse, cahin-caha, selon les conjonctures occidentales. Le passage de Trump donna de l'espoir aux israéliens  qui aujourd'hui surveillent âprement leurs ennemis historiques. Néanmoins, aucune crainte sur les intentions connues des uns et des autres. Les belligérants savent pertinemment les risques auxquels ils seront confrontés en cas de conflit mondial inenvisageable, pour lors. Une simple tension que les polémiques entretiennent de sorte à mettre en garde les plus mauvais acteurs des conflits actuels. La question souveraine chez les intellectuels avisés : comment évoluera l'Afghanistan, toujours en plein conflit interne. Et la pertinence ne voudrait-elle pas imposer un principe d'éthique qui voudrait que les opposants au régime actuel, rejoignissent les combattants du fils du commandant Massoud ?, plutôt que critiquer les politiques menées, par des états qui les ont soutenus ? Jean Canal. 28/08/21. 8H 20MN.

De l'autodestruction programmée. C'est ce dont dépendent nos sociétés acculées à un système globalisant la consommation. On eût cru à un ralentissement du consumérisme général, en vain. L'humain est têtu ! Il a du mal à se passer de ses habitudes. Il lui faut sa dose d'adrénaline sous forme d'ersatz. Plutôt souffrir que mourir. Ce sera la devise des nouveaux hommes. Rien ne peut arrêter la progression de la pollution à l'échelle mondiale ; les signes ne trompent pas. Il semblerait, alors, que les humains soient animés d'un curiosité historique : celle de voir l'avenir ! De quoi sera t-il fait cet avenir précarisé par la perte des ressources naturelles ? Réduire drastiquement nos comportements consuméristes relève du miracle ! Ou alors, il faudrait réellement que l'agroalimentaire européen d'abord supprime définitivement du marché tous les articles à connotation péjorative dans les registres de cette bio éthique que tous les politiques évoquent dans leurs programmes au travers de la transition énergétique ! C'est un argument de Campagne électorale des plus démocratiques. Les écolos encartés ont applaudi la COP 21 avec un enthousiasme tel que le doute se leva aussitôt de leur capacité à résoudre les problèmes inhérents à nos sociétés extrêmement polluées. Ce qui leur manque, c'est l'esprit de conviction, comme chez les socialistes qui ne parviennent toujours pas à trouver un candidat pour les Présidentielles de 2022 ! Ils n'ont plus personne de charismatique pour haranguer les foules amorphes. On comprend que la volonté de dépolluer la planète ou du moins de cesser son exploitation, n'existe pas ! Au moins, chacun sait à quoi s'en tenir. Il faut donc rester curieux. L'avenir, cet avenir temps attendu, ne saurait tarder ; il sera plein de surprises auxquelles personnes n'aura songé, dans ses rêves idylliques. Le pire, c'est que même les enfants de demain ne sauront pas épargnés ; c'est simple, les nouvelles générations réfléchissent avant de procréer en regardant l'état du monde ! Jean Canal. 14 août 2021. 6H 40MN. Tarascon-sur-Ariège. à deux pas de la Gendarmerie...

Il se serait agi, et ce n'est point un effet de style, de développer des moteurs automobiles propres, entre autres des fonctions à remplir pour d'autres véhicules dédiés aux transports en commun et de marchandises, uniquement utilisant des énergies assainies. Le moteur électrique qui n'est pas sans conséquences sur l'environnement, puisqu'il faut produire plus d'électricité (le premier imbécile comprendra cela, aisément), et, celui qui est déjà en fonction, le moteur à hydrogène sont en train de passer des tests afin de décrocher un satisfecit... -ce moteur existait déjà au XIX° siècle, à l'état élémentaire ! Ce qu'il faut retenir de la part de cette initiative encore à l'épreuve, c'est l'inquiétude des « marchands », de pouvoir pérenniser leurs véhicules au-delà des limites fixées dans le calendrier de la transition énergétique ! L'idée, qui reste à l'étude encore embryonnaire, et on comprend pourquoi, est cependant séduisante, comme un vers luisant dans la nuit... En effet, il a fallu quelques notables catastrophes pour que la sonnette d'alarme sonnât et avertît les Politiques que le contexte actuel ne pourra plus supporter l'inefficacité des gouvernements en vigueur. Depuis une quarantaine d'années, si l'on prend en compte l'intervention de Paul-Émile Victor, en 1974, dénonçant les risques encourus d'alors et qui se révèlent aujourd'hui réels !, la situation ne fit qu'empirer avec une indifférence étonnante, au cours des gouvernements successifs de la V° République. La terre ne brûle pas en tous ses endroits, mais des états sont touchés au plus au degré de leurs infrastructures. Il est donc urgent, pour les Politiques, d'entreprendre enfin cette transition énergétique qui soi-disant eût commencé depuis la COP-21, où les Beaux-Beaux et Écolos encartés eurent leur premier orgasme, en signant l'accord du siècle ! Bref ! Comme nous le constatons, les glaces fondent, et les forêts brûlent : un bilan donc négatif qui traduit l'absence d'initiatives favorables à l'abandon de nos vieilles habitudes de consommer. Jean canal. 07/08/2021. 13H 30 mn.

EN BREF. France Culture consacre son émission du samedi matin dont l'intitulé échappe momentanément à l'attention qu'il eut fallu que je lui portasse, tout en dégustant mon café importé strictement bio d’Éthiopie, à la publicité et ses nuisances. La réflexion porte sur l'incitation que la publicité suscite chez les moins éveillés, c'est-à-dire la majorité des français (à peine 65% du pays), à consommer selon les propositions des annonceurs ; en cause, plus particulièrement, les téléphones portables qui se succèdent au rythme d'une tendance créatrice. Les Jeunes en sont les premières victimes. Il faut le dernier Iphone afin d'entrée dans le club des branchés. Grâce à certains jeunes qui en ont raz-le-bol de se faire arnaquer par des tarifs (Red chez SFR est bien placé sur des tarifs au rabais), paradoxalement, cette jeunesse prend très tôt sa consommation en main et fait la « Nike » aux escrocs de la conso ! Le recyclage, l'occasion et l'achat en boutique de deuxième main (Cache Converter et Cies) sont les grands gagnants de ce second marché. Et quand ils achètent neuf, ils revendent leur ancien portable, via les réseaux sociaux et sites assermentés pour valider cette opération (permettant de contrôler les téléphones volés) ! La nouvelle génération, beaucoup moins bête que la précédente, optera pour la location de véhicule, s'évitant de payer des assurances en augmentation constante, dont l'utilisation sera occasionnelle et selon de vrais besoins. Seuls les culs-culs paradent encore dans leurs coques plastiques, faisant rutiler une « caisse » d'une banalité tristounette. La pollution devient donc le soucis des gouvernements qui règlent les additions des conséquences climatiques (allusion au CO2). En bref ! Une légère prise de conscience semble éveiller ceux qui sont à l'origine de la pollution consumériste, les producteurs eux-mêmes (agroalimentaire en tête). L'emballage reste le premier fléau. Son recyclage n'atteste nullement du bon usage de la matière qui exige des traitements polluants... Allez, Salut mes chéries...et je vous aime toujours et même plus qu'avant. Jean Canal. 21/08/2021. 9H 17MN.

BREVE. L'Urgence démocratique ne se caractérise plus par une saute d'humeur traduisant un mécontentement spontanée, mais une continuité dans le refus catégorique d'attenter à nos libertés individuelles, à savoir soutenir la contestation au fil du temps. Eviter que le pouvoir prenne de l'ampleur dans ses prérogatives insurrectionnelles ! Les méthodes d'intimidation sont nombreuses et s'inscrivent, effectivement, dans cette législation qui l'autorise. Les arguments invoqués rivalisent de bienséance envers l'intérêt général de la population qui en conçoit les principes sous l'égide protectrice de cette démocratie tellement souveraine ! Nous nous sommes piégés, pour le plus grand mal de notre avenir commun et pour une fois universel. La modification programmée de nos systèmes d'exploitation de l'homme par l'homme, au sein-même des sociétés que nous avons érigées à l'image de nos convictions, certes remises en cause à chaque période historique d'une époque, dépasse, désormais, l'entendement que nous eussions pu évaluer d'un système social essoufflé, arrivé à terme ; et cela à dessein de servir la cause humaine avant tout autre intention, louable soit-elle ! Le coût de ces erreurs d'évaluation pourtant soumises à des professionnels du genre, se solde par un phénomène irréversible qui endigue nos initiatives à un simple palliatif de circonstance, réduisant nos capacités à nous extraire d'une situation inextricablement lié à nos comportements individuels ! Le politique, pris, ici, en tant qu'essence intellectuelle, est acculé à ses incapacités de répondre aux urgences du moment. Il devra se contenter de proposer des solutions à court terme dont l'efficacité est réduite à améliorer l'ordinaire ! "Ne demandons plus l'impossible, mais Rien !" Jean Canal. 25/07/2021. 5H 10MN.
UN ETAT PROVIDENTIEL. 300 euros par mois pour des jeunes sans ressource, situés dans une tranche d'âge de 18 à 25 ans ! Une volonté présidentielle. Un jeune sans argent sera écarté du système ! Il recherchera à en avoir par différents moyens, parfois illégaux. Emmanuel Macron semble l'avoir compris. En y réfléchissant bien, pour une fois, vous comprendrez que la Communauté européenne qui se porte à merveille, protège les 500 millions et des poussières de ses concitoyens d'une tentation de  dérive politique vers une dictature démocratique. Certains dirigeant sont tentés par l'envie de mener leur pouvoir au-delà des limites politiques permises par l'Europe qui s'attache particulièrement aux valeurs humaines. Bénéficier de la manne financière allouée par l'Europe, à des fins d'une instauration dictatoriale dans une partie géographique de l'espace Schengen, ne correspond point à l'esprit que les Institutions européennes entendent faire appliquer chez elle. La protection des citoyens est donc assurée, au-delà des systèmes judiciaires de chaque état, lorsque l'atteinte individuelle est portée à chaque individu. La Cour européenne de justice siège pour rappeler que la législation s'adresse à tous. La Hongrie et quelques autres états européens semblent oublier leur devoir européen ! Un article dans L'Institut Montaigne, affine une réflexion à ce sujet. Lien  Jean Canal. 9/12 juillet 2021. Lire également l'article de Anne Gadel sur la situation désastreuse en Irak
CHATEAUNEUF LE ROUGE est une commune de Provence, sise au pied de la Sainte Victoire. L'idée de cultiver son jardin est advenue du maire certes écolos, mais également avec l'approbation d'une population intelligente qui a accepté que les lampadaires du soir soient en partie éteints pour économiser de l'énergie et protéger au mieux la planète des interférences lumineuses ! Des efforts considérables ont été faits pour réduire drastiquement les dépenses énergétiques trop onéreuses dans ses gaspillages quotidiens. Des travaux d'aménagement ont redonné à ce village de la Renaissance un cachet qui ajoute à son histoire. Exemple des capteurs d'énergie solaire sont enchâssés discrètement dans le sol, des plantes adaptées au nouveau climat en perspectives croissent sur les places entre autres d'un vrai tri sélectif drastique adopté, la commune jouit de la sécurité citoyenne... Le potager de la commune assure les légumineuses aux écoles. L'économie de l'eau et sa récupération sont des facteurs majeurs des initiatives écologiques propres aux avancées salutaires pour l'environnement. Une très bonne note pour une commune qui bénéficie de présences intelligentes au sein de sa commune ; ce qui est rare ! Jean Canal. 3 juillet 2021.

«Que faire d'Eux ?» : la grande question du nouveau siècle

Mais que faire des islamistes ? Les tuer ? Les jeter à la mer ? Les ignorer jusqu'au moment où ils dépassent la démographie de la Chine ? Les rééduquer dans des camps du Sud ou en Suède ? Les surveiller de l'aube et jusqu'à la mort ? Les ficher ? Les convertir ? Les arrêter ou les torturer ? Les assimiler ou leur offrir un coin du désert où ils peuvent vivre leur délire sans gêner le reste de l'humanité ? On ne sait pas. Ils sont là. Dans le monde d'Allah et en Occident. Chacun y va de sa solution et de sa proposition. Les uns pensent qu'on peut les convaincre d'accepter l'Autre et les autres.
D'autres pensent qu'il faut les tuer. Certains disent qu'il faut éradiquer l'islamisme dans les écoles, les TV, les livres et les idées au lieu d'essayer d'éradiquer le produit final, alias l'islamiste. Certains essayent aussi de comprendre comment on devient islamiste. A cause du manque de désir de vivre ? Du manque de désir ? De loisirs ? De perspective ? D'argent ? A cause de l'Arabie Saoudite et ses fonds de propagande ?
La solution n'est pas encore trouvée: si on les tue, ils se multiplient. Si on les élit, ils détruisent les urnes, retirent l'échelle qui leur a permis de grimper, puis instaurent le califat et procèdent au jugement dernier puis pourchassent les démocrates et les pendent aux poteaux comme ont fait les ayatollahs.
Si on tente de les rééduquer, ils font semblant d'accepter, sourient puis attendent le moment de votre sommeil et de votre inattention. Le problème de fond étant que les islamistes ne veulent pas vivre leur croyance sans embêter l'humanité. Leur croyance suppose et impose que l'on change celle des autres. Leur but n'est pas de vivre leur foi mais de l'imposer aux autres, par la force ou l'attente rusée. Les islamistes ne peuvent pas être uniquement des musulmans mais croient qu'il faut que le monde entier le soit et à leur manière. D'où l'impossibilité de la solution.
«Que faire des islamistes ?» n'a pas encore de réponse satisfaisante. Mais la question inverse de «que faire du monde ?» que se posent les islamistes depuis qu'ils existent, en a une: lui mettre le front à terre. Le transformer en tapis de prière. L'obliger à abdiquer ou à mourir. Le combattre, le détruire, le convertir, lui couper la main ou le voiler. Eux, ils savent ce qu'ils doivent faire du monde là où nous ne savons pas ce que l'on doit faire d'eux.
Conclusion ? Le problème n'est pas que le monde ne les accepte pas, le problème est qu'ils sont incapables d'ACCEPTER le monde. Kamel Daoud

A SUIVRE : l'état français serait-il providentiel pour la France, si l'on considère que l'assistanat est l'apanage de ce pays qui assume une assistance à personne démunie, socialement (depuis 1947) ? A l'heure où l'avenir des peuples est compromis par des facteurs conjoncturels, il serait de bon ton de confier au Pouvoir notre avis de décision ! Paradoxalement à cette idée libérale qui veut que l'entreprise ne dépende que d'elle-même, les événements à venir ne plaident guère en faveur d'un libéralisme qui ne s'en sort plus entièrement seul ! Les milliards attendus par les entreprises et les communes ayant subi des  problèmes de gestion financière, seront certes distribués selon des critères de remboursements échelonnés ; excepté si les crises perpétuent leur déséquilibre économique ! 5 à 7 milliards d'entrée d'argent dans les finances publiques, avec la taxations des grandes entreprises déclarées sur le sol français ( les Gafa) et dont les excédants financiers dépasseraient 25 millions de chiffre d'affaire, c'est le taux retenu par la Communauté européenne pour taxer les GAFA, entres autres des entreprises dépassant 750 millions d'euros à l'échelle mondiale. Une bonne nouvelle attendue depuis des années. Les caisses de l'état à peine renflouées seront-elles vidées pour compenser les pertes que cet argent de dingue sera distribué. Hubert Védrine admonesta le Président de ne plus distribuer de l'argent inutile... et les reversent dans des dépense quotidiennes ?! -Demandez à un commerçant s'il se plaint de l'argent reçu par ceux qui perçoivent les allocations sociales (l'argent n'a pas d'odeur). 800 MILLIARDS D'EUROS pour sauver l'Europe ! Une aide financière soumise à condition : celle d'orienter ses dépenses vers un changement bénéfique aux bouleversement climatique et à sa transition écologique. Ensuite optimiser le système numérique vers lequel se dirigent les sociétés. Gare aux tricheurs notoires qui en détourneront les fonds. Jean Canal. 2/3 juillet 2021.

2017 DRAME DE MILLAS. Où en est le procès de la conductrice responsable ? L'avocat de l'accusée recherche des points de litige voire des vices de forme pour retarder le procès. Une manœuvre classique qui ne peut exonérer les responsabilités entières de la conductrice qui était sous traitement médical, lors de l'exercice de sa profession. Ayant très mal évalué les probabilité de franchissement de la voie de chemin de fer, son véhicule fut happer par le train, en partie, tuant sept collégiens ! Ne pas reconnaître sa responsabilité traduit une attitude immorale au regard des familles endeuillées. La SNCF en serait exonérée au regard de la loi et des expertises. Un accident qui fait froid dans le dos, lorsque l'on revient sur cette dramatique erreur de conduite imputée à la conductrice. Jean Canal. 1er juin 2021.. Notre article de 2017.                           Lien presse. 

Justement, il n'y a plus d'ordre médiatique. Dans cette cacophonie d'informations, soumises à l'avis des acteurs de plates-formes numériques audiovisuelles tournant en boucle, l'actualité devient le média de masse qui influe sur les opinions, sans vraiment en dégager un esprit critique ! Les médias ne sont plus en crise, ils s'inscrivent désormais dans le pluralisme de la médiation journalistique qui s'exprime au moindre clic ! Twitter en est le premier à relater l'actualité, au moment où elle se produit ! Ultra rapide, l'info sursoit de l'actualité de sorte à en débouter les principaux journaux, quelque peu galvaudés dans la forme des idées, selon l'appartenance idéologique du média. L'info est devenue toute populaire par des moyens de diffusions visuels qui provoquent une force de persuasion que les débats n'ont plus ! Un crime, un fait divers, un décès de personnalités célèbres, un événement, quand bien même seraient-ils entretenus par un rappel médiatique insistant, disparaissent de l'actualité, s'évanouissent dans la banalité quotidienne, chassés par une nouvelle information qui fera, à son tour, la Une ! Il faut, à l'instar de Brut, pour ne citer que ce média, être en permanence en direct ! L'info qui arrive après l'événement est déjà obsolète ! Le flux dense des informations qui imposent leur valeur cardinale dans l'actualité, inonde le peu de réflexion que le spectateur interpellé eût pu en soutirer, en un temps surpassé par l'ampleur des événements en ligne. Il faut choisir ce que l'on tient réellement à savoir ! Il n'est plus question d'engagement idéaliste, à travers une quelconque idéologie, à l'instar d'une secte qui se voudrait porteuse de vérités pour sauver le monde, mais de réaliser une concrète existence fructifiant les impérieux devoirs que l'intellectualisme impose à chaque intervenant social : les médias doivent assumer leur responsabilité d'informer, sans préjugé, sans enfreindre les lois inaliénables de la vérité ! c'est si simple. Jean Canal. 29 mars 2021. 

LA POLICE C'est le récent fait divers, publié le 5 mars, dans la Dépêche du Midi, qui interpelle par sa singularité du délit. Un policier pédophile condamné à 18 ans de prison pour une série de viols sur enfants ! Dans les annales de la police, dont les faits les plus intolérables furent commis au cours de la dernière guerre mondiale, on rencontre rarement de tels délits ! Afin de sanctionner ces actes odieux, le parquet de Versailles avait requis 20 ans de réclusion criminelle. L'avocate de la Fondation pour l'enfance, maître Céline Astolfe, s'exprima de façon à prévenir ce genre d'actes, la plupart du temps indécelables chez un individu, en ces mots : « Par la peine de prison et les mesures complémentaires, la cour criminelle a pris le soin d'utiliser tous les moyens juridiques et judiciaires pour que de tels faits abjects ne se reproduisent plus.»

La question de fond qui se posent chez des personnes de plus en plus inquiètes sur le comportement des policiers français, se résume à la confiance qui peut être faite à des fonctionnaires ayant multiplié les bavures en tout genre, notamment depuis les manifestations des Gilets Jaunes. Les tensions se sont accrues avec la récurrence de ces mouvements sociaux, débordant dans les arcanes des institutions ; restées passives ! Dans l'ordre des choses, le policier est sensé protéger le citoyen contre toute atteinte aux personnes. Dans la réalité, la police est de plus en plus confrontée à des violences caractérisées par des confrontations avec des individus qui leur font face à travers de véritables scènes de guérillas ! Les bavures ont ajouté à leur statut une once de désaveu de leur part, par rapport à leur travail galvaudé. D'une façon générale, le jugement que la population porte sur la police, ne plaide point en sa faveur. La jeunesse dans sa grande majorité y est hostile et lui reproche des contrôles injustifiés.

Hélas !, avec ou sans la police, il faut aux civilisations des gardes-fous, sans lesquels les citoyens s’entre-tueraient, régleraient de vieux comptes de voisinage, n'hésitant point commettre des exactions en signe d'autorité !

Trois ministres de l'Intérieur se sont succédé sous le quinquennat d'Emmanuel Macron. Le premier comprit très vite que la tâche était trop rude pour y apporter une réponse positive ; que ce soit au sein des services de police que d'un point de vue organisation de la sécurité ; il démissionna. Le second usa de ses pouvoirs en s'évertuant de maîtriser des situations qui lui échappaient entièrement. Castaner prit systématiquement la défense de la police, sans trop tenir compte des bévues répétées au sein des ses troupes ! Il fut remplacé par Gérard Darmanin qui joue la carte de la compréhension des situations qui incombent la police en activité sur les terrains de conflits ; condamnant sévèrement les dommages causés aux policiers victimes d'agressions caractérisées. Sans en modifier son fonctionnement, ce dernier ministre tente maladroitement de minimiser les faits produits en cascade. Des réformes sont attendues de part de la police et des citoyens qui redoutent l'escalade des impunités policières qui ont défrayé les chroniques journalistiques, avec des faits inqualifiables, reconnus par la police des polices comme inacceptables. Il serait vain de les énumérer ci-après, les médias en ont fait tous leur Une ! Notoires les dernières exactions restent dans toutes les mémoires des citoyens qui relevèrent la capacité de la police à fabriquer de fausses preuves, risquant la condamnation d'accusés potentiels !

Bref ! Ce que les français ne veulent plus, ceux sont les erreurs judiciaires et les relaxations des accusés, sans pour cela être certains que des faits similaires ne se reproduiront plus, en aboutissant à de véritables réformes de fond qui éviteront d'engager des individus qui présentent des troubles psychiatriques intentionnellement masqués et dont les conséquences sont désastreuses pour tout innocent ! Jean Canal. 8 mars 2021.

Au regard de la lune. Nous sommes définitivement entrés dans une époque où prédomine la violence comme expression directe en réponse à des attitudes non conformes à l'idée que ceux qui la pratiquent se font de leur société ! Plus intense, accrue sous les actes les plus odieux, commis lâchement, elle s'est banalisée comme réaction à toute forme d'atteinte à l'existentialisme d'aujourd'hui, cultivé sous les auspices de la délinquance qui refuse de déposer les armes ! Deux victimes de trop, lesquelles traduisent une situation dangereuse pour ceux qui veulent la pratiquer en toute impunité, se persuadant qu'il n'y pas plus d'état de droit (ce qui n'est pas faux). Le danger, pour une fois, ne viendrait pas de ceux-ci, marginalisant la société à leur envie, selon des codes non conventionnels à une éthique sociale quelque peu délitée, assurant une protection entre situation, mais d'individus correctement armés pour faire justice eux-mêmes ! Le cas se présente donc avec cette dernière altercation meurtrière qui se solda par le meurtre d'une adolescente de quatorze ans !
Il y a eu l'agression violente de Yuriy, un garçon de 16 ans, toujours handicapé. Dans le premier cas, il s'agissait de bandes rivales qui s'affrontaient pour des raisons de quartier ; dans le second, un jeune rentrant chez lui fut la victime de quelques uns ayant envie d'assouvir leur haine ! Rien ne justifie ces actes, rien ne les excuses : il n'y a pas de circonstances atténuantes ! Un état en proie à sa politique de proximité délaissée durant des décennies par un laxisme politique, une ingérence migratoire en butte à une démographie exponentielle, le tout dans l'indifférence des états européens qui se déresponsabilisent des conjonctures actuelles, et se désolidarisent du problème de l'intégration des populations : insoluble situation dans une crise économique pérenne. La politique, justement fera peut-être parler d'elle en 2022, lorsque le choix qui se présentera aux présidentielles sera unique, et cela malgré les palabres politiciennes, issues de la Gauche traditionnelle et d'une ancienne Droite ne faisant plus recette, tentant vainement d'édulcorer un contexte que les familles, toute religion confondue, ne veulent plus subir ! Ce beau pays que fut la France, tout le monde le sait, devient invivable ! Jean Canal. 25/02/2021.

La convergence des opinions, intentionnellement orientées vers un thème analogue aux préoccupations économiques du moment, lesquelles synthétisent les inquiétudes politiques actuelles, tend à se rencontrer sur un point effectivement de convergence dans une économie, significative sur l'état actuel du contexte mondial ! Un instant à consacrer à cette bulle spéculative évoquée en un précédent article où, cahin-caha, sont clairement établis les intérêts des crises ou du moins le profit pluriel qu'elles génèrent par des pandémies fantasques ! Aucun rapport avec le (la) covid 19 et autres indestructibles virus qui se greffent sournoisement à ce poison, propagé sur toute la planète, mais un lien évident des relations commerciales advenues par son évolution successive, au cours d'une dizaine années ; parce que la dernière date à retenir plus que les autres précédentes, considérées certes comme cardinales dans les origines de crises, se situe en fait en 2008. Signe avant coureur de ce qui attend directement les peuples occidentaux, cette date marque une transition dans l'appréhension prudente de l'utilisation de l'argent bon-marché (subprime) que les populations songent à utiliser pour combler cet avide névrose consumériste. Éloignons-nous d'un système dont les rouages échappent aux politiques qui n'en sont que des espèces de plénipotentiaires fantoches. Un sujet méconnu de la plupart des gouvernants assujettis à l'exécutions de ces ordonnances qui sacrifient aux peuples sur l'autel de la prospérité individualisme. Les conséquences pour les banques se sont soldées par une frilosité sur les prêts autrefois consentis moyennant des critères minces de remboursements possibles, destinés aux moyennes classes désireuses de se sortir de la condition caractéristique de la petitesse sociale. Un phénomène inattendu s'est effectivement produit en ce sens que les prêts ne sont plus systématiques. Au regard de précarités professionnelles, les banques exigent plus de crédibilités sur les avoirs des emprunteurs éventuels. Paradoxalement, les faibles sont mieux protégés. Les pauvres survivent mieux à la crise que d'aucuns nantis en apparence d'argent emprunté à outrance ! La société du spectacle est toujours visible. Les bouffons du Roy, pérorent en des scènes théâtrales burlesques en des pièces avignonnaises mal jouées.

La venue inopportune du virus, de surcroît, remit en question la manière de consommer et d'envisager de façon globale le consumérisme : chute des ventes mondiales dans les secteurs de dernières nécessités. Les achats de véhicules neuf ou occasion, pour entrer dans le vif du sujet, accusent un recul historique imprévisible par les économistes de bas étage qui ne purent appréhender ce phénomène rédhibitoire, en fait ! Si la société se fragmente en éclats disparates, c'est pour le bien de tous ; y compris ceux qui soutirent un malin profit du malheur des autres !

Bref ! Un thème qui ne provoque aucune réaction, en tout a priori au regard des désignés eux-mêmes, inconscients de la suite des événements. Les effets d'annonces langoureusement diffusées en boucle sur les appareils médiatiques d'état, deviennent pathétiques face aux conjonctures des pays en instance de fractures sociales abruptes. Il est bien évident qu'un changement se manifeste en ce moment. Quel dénouement adviendra-t-il dans une finalité improbable, comme le savent les politiques ? La réflexion appartient à chaque acteur de la communauté humaine, responsabilisé par son identité qui l'oblige à réagir en toute conscience. Responsables ! Nous le sommes, sans encombre pour le faix de surcharge qui accable chacun de nous, graduellement inscrits sur cette échelle sociale dont il manque, aujourd'hui, des barreaux pour atteindre l'essentiel. Jean Canal. 21/02/2021.

Les spéculateurs de la crise et du chaos. C'est le titre tronqué d'un reportage diffusé sur Arte. Il s'agit de la bulle pétrolière et de sa spéculation en bourse mondiale, selon les conjonctures, réelles ou non, des états en conflit, producteurs de pétrole, entre autres. La Libye, nous rappelle le commentateur, fut le premier pays producteur de pétrole, avant la chute insidieuse du régime de Kadafi. Toutes ces informations, maintes fois vérifiées par les détracteurs de cette réalité, ajoutent à la spéculation mondiale qui échappe à la majeure majorité des populations pauvres du globe, assujetties aux injonctions politiques qui leur dictent une attitude complaisante à observer en pareilles crises. Tout ceci nous fut rabâché, au cours de ces dernières décennies par des intellectuels devenus inaudibles pour des ouïes, préférant écouter d'autres discours caressant des rêves économiques, aujourd'hui évanouis. La relation qu'il faut établir entre ce phénomène qui s'accentua avec les guerres islamo-économiques contre un occident ultra libéral ne serait-ce que par la mondialisation dont il est à l'origine, repose dans un contexte actuel qui incite à la spéculation, sur une échelle réduite au profit que la marchandise dégage lorsqu'elle augmente du fait de sa rareté ! Souvenez-vous, Français de bon aloi, le marché noir des années les plus sombres de notre histoire la plus sale. L'élément probant qui indique la courbe de la valeur de la spéculation pratiquée en une période définie, notamment, par une crise, réside, lui, dans le prix des denrées premières, en effet, comme l'illustre le reportage, imposées au consommateur par des spéculateurs peu scrupuleux sur le conditionnement de l'être humain, confronté à une fin de non recevoir. Seul le coût d'une tasse de café se mesure à une conjoncture établie par une situation donnée. Comment détruire la spéculation ? Minimiser l'achat de produits considérés comme inutiles, d'une part, et en sélectionner d'autres de toute première nécessité : votre porte-monnaie, ô Ménagères ! s'en portera mieux...et vous pourrez ainsi, Chéris, dilapider vos menues économies dans des secteurs d'achats essentiels ! Gros bisous. Jean Canal ; bien sûr. 5/02/2021.

LE CAPITALISME GLOBALISE.Marx serait-il surpris de l'évolution sociale ayant glissée vers un consumérisme ultra capitaliste ? Les prolétaires de tous les pays ont jeté les idéologies sociales aux oubliettes du passé dont ils ont fait, effectivement, table rase ! C'est évident, au regard de l'actualité d'abord qui axe les centres d'intérêts de la population vers le soucis économique ! C'en est devenu un idéal dans lequel l'être désormais hédoniste s'oriente, à dessein de se conformer à un rythme de survie en communauté ; puisque à nous tous, nous formons un tout (ne l'oubliez-pas, c'est important pour la suite des événements) ! Dépendants les uns des autres, nous arriverons sans mal, sans doute à s'entre tuer en une période lointaine, futuriste sans doute, à défaut s'agresser de manière tellement violente que les actes, déjà banalisés au quotidien, entreront dans les rixes tolérées par les institutions judiciaires ! Il faut, en effet, pouvoir gérer un système qui vacille et dont les conséquences actées risquent de fractionner les classes sociales de sorte à franchir les limites de la démocratie ; ou du moins ce qu'elle est sensée représenter comme garantie individuelle de la citoyenneté ! Ne parlons plus de spéculation, c'est un terme entrée dans le vocabulaire châtié du langage populaire : à tous les niveaux ce doit être une attitude consensuelle ancrée dans les mimétismes ! Aucun reproche à ceux qui exploitent les crises pour s'enrichir ; c'est un acte civique que les états préconisent afin de maintenir l'économie en convalescence ! Il suffit d'observer pour comprendre ; bien sûr, il y a les inconditionnels utiles de la connerie coutumière qui appartiennent à ces fameux idiots dont les politiques ont sévèrement besoin pour pérenniser le pouvoir. Si vous vous demandez comment en est-on arrivé-là; à ce point dont rien ne peut nous assurer que l'on en sortira intact ! Eh bien, recherchez dans votre passé, et vous trouverez les réponses ; si vous faites preuve d'honnêteté intellectuelle, s'entend ! Jean Canal. 20/02/2021.

2022 annonce le retour de la Droite française aux élections présidentielles, avec Marine Le Pen d'ores et déjà donnée en tête des sondages. Fidèle à sa tradition politique, la Droite affirme sa volonté de reprendre les rennes de la démocratie afin d'opérer une transition sur le modèle Hongroie qui intègre parfaitement l'espace Schengen, en respectant les institutions européennes. Vouloir le meilleur d'un accord est légitime, quand la législation le permet. Un état de droit jouit de sa suprématie par la souveraineté de son peuple qui lui accrédite tous les pouvoirs ! A l'instar de Victor Orban, président-dictateur de la Hongrie, Marine le Pen présentera ses doléances sous forme de prérogatives institutionnelles, de sorte à pouvoir exciper toutes les réformes nécessaires à la politique à venir, pour préserver un maximum de puissance démocratique... Que peut-on redouter de plus qu'il ne puisse arriver aux français, confortablement installés dans leurs pantoufles ? Une société sous une surveillance plus intense débouchera sur des manifestations de rues violentes accentuant l'effet de chaos recherché ! Stopper l'entrée des migrants en France ne limitera pas le droit d'asile accordé selon des critères démocratiques. Instaurer une dictature en France sous les aspects de la démocratie se solderait par un échec évident, dans un pays où le peuple descend dans la rue à la moindre contrariété sociopolitique. Eradiquer la criminalité de proximité demeure un leurre, quand on enregistres des chiffres en hausse de la délinquance juvénile ! Un problème insoluble qui pourrait pourtant obtenir une solution salutaire avec une reprise économique saine. A titre indicatif, Victor Organ reçoit pour son état européen, plus de quatre milliards d'euros pour gérer son pays ! Les détournements de fonds ne pouvant être établis, l'oligarque vivra encore longtemps en toute impunité ; quant à rembourser les sommes détournées...cela fait partie du programme politique utopique des pays de l'Est sous influence soviétique..!  Jean Canal. 17/02/2021.

Heureux soit-il celui qui manifeste une intelligence dans une société devenue profane et où la pensée s'est complètement réduite à un acquiescement de celles gouvernées par les élites d'état ! C'est la raison qui l'emporte devant l'avis sceptiques des indécis qui ne réalisent toujours pas l'ampleur du phénomène climatique à venir. La société a toujours eu ses idiots utiles et inutiles (la distinction repose sur des critères par forcément perceptibles aux premiers abords ou contacts). On en retrouve dans toutes les professions. Pas un corps de métier qui ne soit épargné par ce fléau socialement ravageur ! Hors fréquentation de ce genre fort malsain, afin de préserver un esprit saint, il existe heureusement pour nous, c'est-dire ceux qui n'en sont pas atteints, ni con-cernés par cet atavisme, des personnes bien venues en des jours fastes pour éclairer cette lueur d'ombre que Guillaume Ermer, animateur de l'émission diffusée sur France Culture le matin, à partir de 7H, conduit par ces questions. Derechef, on explique avec une lucidité peu commune chez les confrères de la presse télévisée (on comprend pourquoi en pleine recrudescence de licenciement de cadres), les tenants et aboutissants du chamboulement climatique. Argué sur des relèvements effectués sur le terrain, le compte rendu de situation du climat effectué par  'Samuel Morin, directeur du centre national de recherches météorologiques (principal laboratoire commun entre météo France et CNRS), chercheur à météo France, spécialiste de l’environnement de montagne,' reste édifiant tout en étant à son corps défendant inquiétant pour un avenir proche. Que pouvons-nous faire pour ralentir le processus. Plus rien ! Il est irréversible et sans appel. Huber Rivees, sur la même chaine, il y a désormais 25 ans, notifiait que les océans avaient emmagasiné tellement de CO2 qu'il faudrait 100 ans pour que les eaux rejettent ce gaz, à condition que la pollution cesse. Je vous laisse sur une fin dubitative dont la seule réponse qui puisse y avoir repose dans la question. Jean Canal. 3 février 2021.

C'est Médiapart qui a révélé l'affaire. C'est son boulot : celui de tenir informé ceux qui ne le sont pas ! Quand bien même le média d'Edwin Pleynel ne ferait-il plus la une des lectorats. Il s'agit le plus simplement possible d'un abus d'influence sur une jeunesse lycéenne, en l'occurrence, qui ne serait point capable, par manque sans aucun doute d'expérience politique, de gérer les fonds alloués par le ministère de l'éducation nationale (encore elle), ayant usé du truchement éculé de Monsieur, Jean-Michel Blanquer, son Ministre !

"Avenir lycéen" & Jean-Michel Blanquer : une alliance perverse !

Prendre des vessies pour des lanternes, c'est ramasser un mégot de gauloise (cigarettes complètement disparues de la consommation assidue de nos tabagiques soixante huitards!), dans une nuit noire, en croyant prendre un ver luisant ! Celui qui se brûle ! Tant pis pou sa gueule ! Le ver incarne ici, les lycéens. Quant au brûlé ?! Cherchez-Le... Dans cette affaire qui ne fait que commencer, puisque la Gauche qui se réveille toujours en retard pour asséner des coups bas à ses adversaires politiques, complètement affaiblis, demande ou plutôt exige une mise en demeure dudit ministre sursoyant (verbe classé chez les irréguliers, surseoir, 3° groupe, usité normalement à l'infinitif, ici conjugué au participe présent pour les circonstances) devant la cour de récréation ? Non ! La cour des comptes ? Non plus ! Mince ! Aidez-moi, j'en perds mon latin. Une confrontation (parlons plutôt de comparution) avec les parlementaires responsables. Avec une chute vertigineuse du gouvernement qui balbutie depuis l'arrivée en catimini de ce virus, introuvable (personne ne l'a vu), il ne manquait plus qu'une affaire ministérielle pour alimenter les polémiques mensongères de Droite, inventées de toutes pièces de Gauche, de chez la famille Mélanchon, frustrée de ne point avoir été suivi à la trace (comme le Petit Poucet ?), par ses militants de la dernière seconde, regagnant les idéologies officielles  et les Ostrogoths de l'extrême Droite dépités de leur recalage aux élections dernières (ils s'accrochent, comme le poux).

Évidemment, le Président de la Res Publica ne peut se tenir informé des affaires ministérielles au jour le jour. Son emploi du temps surchargé, comme les kilos de framboises exportées du Chad, à dos d'ânes, par mon boulanger-pâtissier du coin, ne peut lui dégager quelques courtes heures pour s'investir dans des dossiers trop épais pour en venir à bout (rédigés en caractère de police 9). Ce qui l'exonère des éventuelles accusations que les partis politiques cités ci-dessus à l'intérieur de cet article, se presseront d'exciper, en attaques déloyales, s'entend, à l'encontre de celui qui fut, maladroitement élu, par la majorité des français -détail à ne point oublier.

Bref ! De quoi est-il question, au juste ? De détournement de fonds, Madame la Gendarmerie ? Ne demandons point à la police si elle est informée de ce genre d'affaire courante chez eux... Entrons dans le vif du sujet. Eh bien ! Nous sommes en pleine affaire analogue à celles que traita en une lancinante psychose, le KGB du camarade Poutine, dans les caves.. ! Mince, je l'ai au bout de la langue... Dans les caves du Vatican ? Non ! Caves des vins de Bourgogne ? Non pas ! Cave de la Banque de France ? Ils n'en n'ont pas, dommage ! C'est trop risqué... Bref ! Le mot me reviendra, au bout de ce roman d'état.

Ah ! Voici : un syndicat étudiant infiltré par le ministère de l’Éducation nationale, responsabilisant son Ministre, imprégné dans un autre syndicat de notoriété irréprochable ! D'où les admonestations proférées de concert envers les uns et les autres, contre une responsabilité évidente du Ministre en question dont nous avons complètement oublié le nom !

Le ministre, aidé de l’Éducation Nationale, aurait-il attenté à la pudeur des lycéens, en ayant voulu leur insinuer, sous forme de punition, une leçon par le luc !? (c'est du verlant). Pas du tout, de ce côté-ci du buste, les lycéens sont vierges, eux... La morale est intacte ! Il est plutôt question de détournement d'idées, de pensées subversives qui eussent pu attenter au pouvoir actuel qui se met en convalescence, virus oblige. En stratégie politico-financière tous les coups sont permis...à condition qu'ils réussissent.

Croire que les Lycéens auxquels la majuscule ici démontre la capacité d'analyser des situations complexes en apparence, fussent des jeunes sans cervelles, est une erreur fatale pour ceux qui sont persuadés de détenir le pouvoir ! La jeunesse dans son ensemble, certes diverse et variée, a tout-à-fait compris qu'il fallait se méfier de tous les partis politiques qui sont sensées vouloir les représenter. Si vous vous persuadez que le petit joint que celle-ci fume en toute quiétude, en signe purement récréatif, représente un danger pour leurs cognitives réflexions sur le système de la présente société. Vous ne la connaissez pas ! Quand bien même en seriez-vous les parents ! Elle a tout saisi de cette société bâtie sur l’appât du gain, sans valeur fondamentale, ne recherchant que le profit montré comme signe de réussite ! Les jeunes qui sont sur le net, en connaissent les rouages. Netflix est exploité par eux qui se partagent le même abonnement, sous des sobriquets différents, afin que le plus grand nombre de ces jeunes-gens en herbe profite eux-aussi de la modernité ! Ils ont compris que l'argent gagné est systématiquement reversé à l'état à la fin du mois : part de loyer, assurances, mutuelle, électricité, énergie de chauffage en hiver, eau, charges, nourriture, frais des moyens de transport, etc. et caetera ! Que l'avenir n'est qu'un miroir aux alouettes ! Que les beaux discours des cons, glissent sur leurs pensées comme l'eau sur les ailes des canards. Et surtout ce qu'ils comprennent, c'est que les anciens ne sont plus des références, en leur ayant laissé une société de merde qui ne leur assurera point un avenir de paix !

Les vieux, ceux qui ont plus de cinquante ans, ne sont plus des exemples de vie que l'on écoute, au chevet des histoires racontées, le soir à la veillée ; tout simplement parce qu'il n'y a plus de veillée ! Et il n'y a plus d'histoires crédibles auxquelles la jeunesse pourrait croire sans être derechef trompée !

dévoiement total de la cause syndicale et une insulte faite aux jeunes dont le ministère aurait organisé l’étouffement de la parole face à des réformes du bac et du lycée catastrophiques”. FIDL.

"Eh ! Jean Canal ! Sarko, celui qui a le mieux incarné la Droite française, après de Gaulle, bien sûr, sans chercher à imiter sa probité, sera bientôt traduit en correctionnelle, comme les délinquants ! Quel encouragement pour nos banlieues..." 

Jean Canal. 22 novembre 2020.


En politique, le plus important est de comprendre le fond du problème présenté comme tel par les principaux responsables qui lui attribuent justement une valeur cardinale, au regard de la nation. Tandis que la forme, elle, est utilisée pour enrober ce qui se présenterait comme essentiel au vu des priorités sociales. En France, le symbole de l'égalité se traite en filigrane des priorités, toujours ajournées dans les sujets en attente, pour des intérêts majeurs relatifs à l'économie de marché. Chômeurs et minimas sociaux attribués aux plus démunis, représentent une marginalité dans les budgets non pas du PIB, mais de tous les impôts collectés et additionnés dans le pays. Lire la suite.

 


Marianne avait raison, en son temps ; aujourd'hui, ce temps-ci ne lui insuffle point de raison gardée pour inventer des idées nouvelles à débattre. D'ailleurs, Marcel Gauchet et Pierre Nora jettent l'éponge. Ils ne s'avouent pas vaincus, mais reconnaissent "la défaite de la pensée" ébauchée par Alain Finkelkrault dans les années quatre-vingts. le débat est moribond sans chevet au pied duquel on attendrait volontiers un intellectuel ! Mais lequel ?! Les médias nous en présentent avec abondance, chaque fois qu'un sujet égaré se retrouve par inadvertance : c'est à ce moment crucial pour la pérennité de l'intellectualisme que des plaidoyers interviennent sous des étiquettes affublées en ces circonstances. On attendrait plus un Aron qu'un Sartre : leur modèle ayant échoué en un temps complètement révolu. Aujourd'hui, où se croisent le numérisme (néologisme de circonstance) et son adversaire le littérateur en référence à Diderot, la pensée a tendance à se confondre avec les idéologies. Jean Canal. a suivre... 3 septembre 2020.

LE SUJET en question est délicat à traiter. En parler, sans faire preuve d'objectivité quelque peu difficile à délayer de l'imbroglio intellectuel qui s'attache à en extraire un jugement de morale institutionnelle, relève, de facto, d'un engagement strictement personnel, impliquant un cas de conscience, en engageant son point de vue soumis à l'appréciation de l'éthique étatique, dévoyée de son sens originel, à laquelle doit impérativement répondre la Responsabilité de chacun ; peuple y compris ! Lire la suite. Jean Canal. Dimanche 14 juin 2020.

Au nom prestigieux de la Culture ! En son titre devenu honorifique avec ce temps dévolu plutôt à ses coûts économiques, la culture s'est démocratisée de sorte à occuper tous les espaces qui conviennent à l'idée que le consommateur s'en fait -il faut que la culture d'aujourd'hui ait un rapport de proportion analogue à celui que l'équilibre dans la géométrie plane impose par sa propre mathématique, aux chiffres !

Pour vous, la culture c'est quoi ? Ainsi, le sport est tombé sous l'égide de la culture, comme déjà l'était la culture des loisirs et tant d'autres domaines publics traités comme tels, de sorte à cultiver tout le monde, sans oublier personne, s'entend ! Sinon, la démocratie est dévoyée ou plutôt se dévoie de sa propension initiale édictée en des textes surannés, du devoir de partager l'égalité... On comprend l'intérêt qu'il y a à permettre à tous d'être de fait cultivés... Elle a conquis le prêt-à-porter et finit pas griffer les confections haut de gamme dont s'affublent les supporters de son emblème (le crocodile des banlieues, par exemple et les chaussures Nike qui défendent les intérêts économiques du Grand Satan outre atlantique) ! La culture s'insinue t-elle dans un schème spécifique à un cadre qui en reçoit ses valeurs que l'on voudra bien lui attribuer, et cela selon des formes établies d'après une tendance ? Oui ! Ostensiblement, elle prend place en un siège qui lui sera adapté selon les formes relatives à cette tendance dont les critères reposent sur les goûts élitistes de la période en vigueur (l'époque étant trop longue à parcourir pour que la mode l'occupe avec une seule tendance). C'est devenu un phénomène légitime qui s'inscrit dans les mimétismes sociétaux, lesquels insufflent aux concernés de se tenir informé des nouveautés. Le cinéma n'est point épargné, autant si ce n'est plus que la littérature avec les rentrées de septembre (à cause de son effet audiovisuel qui impacte plus langoureusement l'individu persuadé d'avoir vu un film tendance). Les médias jouent le rôle de vecteur propagandiste des promotionnelles productions. De surcroît un jugement intellectuel, dit jugement d'esprit donc -et il faut en avoir-, est apporté aux œuvres qui suivront le guide faisant découvrir cette nouveauté vantée (on eût pu écrire aussi ventée), de-ci, de-là, au gré des salons où l'on s'ennuie éperdument sans en avoir conscience). Ces cultures-ci n'exigent point d'avoir potasser assidûment quelques références historiques, littéraires ou/et tout simplement tendances, à dessein de parfaire incessamment sa culture, devenue inutile, puisque l'évolution exige que l'on soit justement tendance ! Bref ! Admettons par la force inhérente à cette évolution qu'il y a aujourd'hui des cultures, comme existent des traditions culturelles sécularisées par des minorités qui se revendiquent de ces cultures. Les Catalans espagnols en sont, en Europe, les emblématiques représentants qui effacent les Basques de leur hégémonie traditionnelle. L'appartenance culturelle a ceci de positif de pouvoir sortir de l'ignorance tout y restant intégrés, s'en s'en rendre compte.

Un exemple ayant été vécu à Paris, au quartier Latin, lui-même, illustre un cas pas tout-à-fait anodin en ce domaine : un jeune étudiant* en Lettres classiques (nommées également Lettres anciennes) se rendit chez un bouquiniste établi en ce lieu sacro-saint des Lettres : « auriez-vous Aden d'Arabie de Nizan » « Ha ! Répondit la bouquiniste, je ne savais pas que Nyssen avait écrit ce livre.» La confusion ne fut pas permise pour un titre qui, en son temps, élut domicile chez tous les intellectuels de Paris, enchâssant l'ouvrage dans leur bibliothèque, comme un symbole de Musée -Malraux y compris. Citation anecdotique ouvrant le chapitre de la Culture classique qui trôna durant des années, sans aucune autre concurrence tendant à lui ravir le titre en son domaine de prédilection : cultiver le peuple !

La Culture par excellence fut, en effet, celle qui dota l'intéressé de suffisamment de savoir afin d'aborder la connaissance, moyennant des jugements intellectuels fondés sur des analyses circonspectes des études réalisées en amont de l'instruction. Les Lumières, décriées aujourd'hui par les conquérants du monde libre ou bien libérés des carcans incluant les aptitudes culturelles à pouvoir appréhender les Sciences sociales, ont déposé les bases qui eussent dû générer une population cultivée par l'instruction qui en découle. Est-ce le cas ? Vous trouverez la réponse ici.

Et l'on ne peut même plus regretter les études du Grec ancien et celles du latin si ces deux langues ne sont pas justifiées par une application dite scolastique (héritage de Aristote), si ce n'est lors des conférences tenues au Collège de France ! Le monde se passe aisément de cette étude. Il n'a nul besoin de se référer aux anciens pour connaître son avenir, parce que seul le présent l'intéresse ; étant donné que l'avenir est aujourd'hui compromis. Jean Canal. 28 mai 2020.

Post-Sciptum : l'étudiant en question, c'était moi qui en 1994 me rendis en la capitale, déposer quelques manuscrits et saluer de vertueux résidents au Père-Lachaise -des amis restés fidèles à notre immortelle amitié...


Le mercantilisme évoqué afin de le resituer dans le contexte actuel où il sévit dans la sphère économique dont il génère une synergie industrielle et commerciale, propulsant ainsi toute sa combativité sur la mondialisation (mot clef, passe-partout, certes, qui néanmoins illustre impartialement, effectivement, les lois du marché actuel). C'est encore la revue Esprit qui en explique le mécanisme en rappelant son origine datant du XVIII° siècle. Un bel article de Arnaud Orin (Professeur d'économie à l'université Paris 8, il a récemment publié La politique du merveilleux (Fayard, 2018), qui vient de recevoir le prix du meilleur ouvrage de la European Society fort the History of Economic Thought.)

Faut-il y voir une allusion à la crise en maintenance : celle par laquelle fluctuent les spéculations en tout genre, endémiques aux taux boursiers ? Au demeurant, prévenant une perspective délétère qui guette les sociétés dites occidentales.., et cela au détriment des pays subordonnés à la production internationale dont ils dépendent paradoxalement. Deux vecteurs indiquent en permanence les signes de crise : le consumérisme, selon la courbe de son expansion, et les tangentes du climat indépendamment de l'activité humaine incarnée par la consommation susvisée ! Autant l'un que l'autre, oscillent en faveur des critères naturels imputés aux mouvements inhérents à l'évolution du monde. Plus particulièrement les crises climatiques sanctionnent les sociétés qui subissent de ce fait un déséquilibre budgétaire des fonds monétaires nationaux. Les dettes croissantes d'états redevables auprès des banques privées ne cessent en fait d'augmenter pour dépasser des marges qui déborderont sur les générations à venir ; à moins, à moins, donc, que ce qui est le moins considéré par le Politique, à savoir le chamboulement climatique ne redessine un nouveau paysage du conditionnement humain, astreignant ce dernier à se conformer aux injonctions de la nature ! Une manière d'envisager l'avenir qui ne relève point de la fiction dont s'inspirent régulièrement les alarmistes raisonnés de ce phénomène né de nos erreurs communes.

Le mercantilisme, plus qu'hier et moins que demain, parachève sa propre œuvre d'exploitation des richesses terrestres, notifiées par l'ouverture de l’arctique aux conquérants internationaux qui se livrent une guerre en bonne et due forme, en ce sens que l'aval de la communauté internationale est acquis ! Il s'agit en fait d'un comportement qui n'appartient qu'à l'être voué à une avarice qui l'incite à commettre des actes dont il ne mesure jamais les conséquences sur un avenir.

Le mercantilisme a par métonymie glissé dans la sémantique du vocabulaire pour désigner l'individu lui-même confronté à sa propre incapacité de se maîtriser. Nous en sommes les principales victimes, sans ne jamais avoir conscience que nous sommes à l'origine de notre mercantile société. Jean Canal. 21 mars 2020.Lien connexe (réservé aux abonnés)


L'Héritage des Lumières évoqué comme référent au XXI° siècle ?! Qui, parmi nos penseurs, nos philosophes digne de porter ce titre, qui peut se permettre, ne serait-ce qu'oser revendiquer la pensée lumineuse du XVIII° siècle élaborée par Denis Diderot, entre autres des collaborateurs ayant contribué à cette œuvre universelle, livrant aux civilisations le Savoir et la Connaissance ! ? Tout est donc autorisé même l'ineptie quand il s'agit de déblatérer des diatribes de cet ordre que l'on attribuera à des égarés de la contemporanéité ; des espèces de Illuminaties occupant les scènes publiques (comparées à des arènes où se sacrifie le bouc émissaire de circonstance choisi sur des critères d'actualité populistes) de l'intelligentzia française, en l'occurrence ! Ils se sont exprimés, conformément au droit que leur confèrent nos Institutions. Le point de vue formulé en des procédés intellectuels (parole, écrit, reportage audiovisuel, etc .) permet, justement, d'approcher le sujet de manière à mieux cerner les idées qu'il défend à travers son œuvre.

En politique, il est aisé de déceler la supercherie de chacun des candidats à l'élection, si l'on se donne la peine de chercher à comprendre -ce qui n'est pas le cas de la majorité populaire sujette à des doléances découlant des phénomènes causaux à cette politique... Pratique obligée du pouvoir démocratique, la politique prend place au sein des sociétés, quand bien même quelquefois se dissimule t-elle derrière une religion ! Scindée en deux pôles distincts, cette césure idéologique partage effectivement toutes les civilisations enclines à ressentir le besoin de se reconnaître en ceux qui représentent leurs idées. C'est presque une histoire de sentiments.

En partant du particulier au général, les Municipales françaises en démontrent la réalité encore présente aujourd'hui qui traduit ostensiblement une mentalité tout-à-fait franco-française, reposant essentiellement sur le personnalisme ! Il s'agit, en effet, en une période électorale, de fièvre que les thermomètres fond monter au fur et à mesure que la campagne confine à son apogée sociale. Chacun défend certes une idée qui, individuelle en soi, se voudrait presque universelle pour la communauté appelée à voter pour l'élu !

Comment donc autant de candidats différents des uns et des autres, pourraient-ils vouloir unanimement le bien de tous, en présentant des idées opposées aux uns et aux autres ? Je laisse aux lecteurs le soin d'en tirer une conclusion que je n'ai pu trouver. Jean Canal. 11 mars 2020. 

L’Éthique comme symbole de valeur dans une démocratie digne de ce qui la représente, prise dans sa forme intrinsèque la plus absolue qui pût être conçue, apparaît, aujourd'hui, comme une entité fondamentale à la morale institutionnelle souveraine au sein de l’intelligentsia d'un pays, en l'occurrence le nôtre ! La doxa eût-elle été astreinte à s'en référer comme légitimité morale sociologique, s'entend, ce principe social des démocraties n'en demeure pas moins un outil de l'institution, 'capital' dans la gouvernance d'un état de droit, exerçant ses pouvoirs dans le cadre législatif de cette éthique qui justifie l'utilisation de la force contre les peuples révoltés ! Dans l'organisation d'un ordre échafaudé dans la hiérarchie des commandements constitutionnels, un impérieux devoir s'insinue dans le droit d'exprimer un espoir de jours meilleurs légitimés par le genre humain ! Autrefois décisive dans les lois du civisme corporatiste, l'éthique incarne, désormais, une place de second rang dans les priorités sociales régies par un pouvoir politique qui ne l'évoque plus que pour des raisons étatiques, invoquées au nom de la nation ! L'importance que revêt l'éthique, actuellement, si tant est qu'elle en ait toujours une dans un contexte tel que la société l'utilise comme référence déontologique dans des méthodes sociales appliquées aux populations, ne correspond point à des fonctions rationnelles de sa raison d'être, d'avoir été et de devenir, de façon anachronique, comme dogme confessionnel de la religion économique de la France. Dans le chaos social actuel, les maux de l'être apparaissent comme le résultat d'un déséquilibre entre le législatif et l'exécutif ! Inscrite dans la récurrence des phénomènes sociaux, l'éthique se résume à une idéologie de la pensée résumée à une invocation des règles sociales pouvant rétablir la relation de confiance entre les différents acteurs du système politique, lui conférant encore une valeur initiale. En effet, elle serait sensée abriter tous les codes du comportementalisme contemporain, s'efforçant de répondre ainsi aux besoins sociaux des nations en assurant la pérennité de leur pouvoir démocratisé au possible selon des concepts adoptés, d'après, s'entend, les lois rationnelles, revues et corrigées nécessairement pour l'urgence sociétale du moment, et à la faveur des raisons « d'ordre » relatif à l'urgence sociale ! L'éclatement des classes ayant dispersé des valeurs de référence, l'éthique a incorporé une nouvelle forme sociale proche de l'existence individuelle de chacun, s'évertuant néanmoins de régir les fondements de sa raison d'être, afin de rétablir une droiture intellectuelle dans le jugement moral de la société qu'elle est seule habilitée à porter. On peut se risquer à dire qu'elle s'adapte selon l'évolution historique, en protégeant les idées nouvelles d'une schématisation populiste subversive, comme c'est le cas actuellement. Est-elle pour cela responsable des clivages sociaux politiques qui stigmatisent les communautés ? La question de la préservation du pouvoir politique advient d'un constat observé d'après un dysfonctionnement des institutions incapables de légiférer sur des points de discordance sociale, avérant ainsi l'objet dangereux de son exercice pratiqué : manifestations hostiles des peuples à leur régimes souverains, révoltes subversives attentatoires à l'expression déguisée d'un pouvoir, au demeurant conflits armés dans des contextes enclins à adopter des régimes idéologiques confessionnels ! Bref ! L'éthique dissoute dans la conception du pouvoir étatique, demeure un argument pour gouverner légalement les peuples qui adoptent souverainement ses principes ! Elle ne s'impose plus comme un point de focalisation autour duquel convergeraient les valeurs générales d'un système, mais se présente comme la valeur suprême, de référence aux affaires politiques, sociales et désormais économiques. C'est pourquoi, à travers une évolution tenant compte des progrès sociaux notamment, au pire des technologies de pointe ayant aliéné des franges entières de populations hagardes et sujettes à une conception cartésienne de la place à occuper dans les sociétés hiérarchisées, elle transfigura ses origines afin de répondre aux exigences du moment, à savoir épouser l'idée prévalant au cœur de la société économique, conférant ainsi au système social une valeur toute relative, en adaptant sa conception évolutive aux priorités, tout en lui incombant des disparités fonctionnelles au progrès social lui-même en déclin, accusant ainsi un échec évident dans la quête d'un équilibre manichéen, recherché en vain ! A cette heure tardive de disparité philanthropique, sa "doctrine", par manque, sans doute, d'idéalisme ténu, ne transcende point l'idée vectorielle qui lui redonnerait tout simplement la valeur presque ineffable que ses origines exhaussèrent au-delà de l'imposante politique du bien et du mal pratiquée aujourd'hui !  Jean Canal, réflexion sur l’Éthique. Texte originel du 21 décembre 2011, issu des archives de la rédaction de presselibre.fr et revu puis corrigé pour la forme actuelle d'événements sociaux successifs, révélant effectivement un profond malaise civilisationnel. 10 décembre 2019.

Maître de conférence,Vincent Sizaire, auteur d'"Etre en sûreté, principes élémentaires et droits fondamentaux," explique un contexte social qui instaure une philosophie politique que le Pouvoir instille au prorata des besoins législatifs de l'exécutif. C'est ainsi que l'on comprend que la répression citée dans son article du Diplo de février, page 3, finira par intégrer les ordonnances politiques acceptées par une assemblée nationale votant de concert pour une sécurité incontestable ! A partir de cette acceptation générale que les urnes de mars conforteront sans doute par une orientation renforcée par toutes sortes de peur (qu'elle soit fabriquée où attestée par les événements encensées), les quelques libertés encore permises, à ce jour, pouvant influer sur les risques de sûreté collective, seront réduites de sorte à confier à l'état la garantie de leur pratique...en toute liberté ! Et quidam de cautionner un système que la majorité combat calmement, selon les derniers indices relevés au cours des récentes manifestations françaises où tous les corporatismes se sont ligués contre ce Pouvoir (intellectuels, artistes, flics, avocat, et le peuple !), se verra priver de ce dont il aspira le plus, quand la France fut frappée de son occupation comme alternative à la paix ! Depuis Mitterrand, un autre usurpateur certes, mais moins arrogant, les gouvernements se sont efforcés de répondre aux doléances populaires en essayant de ménager les dépenses intérieures tout en se maintenant aux premiers rangs des bonnes relations internationales, et cela en essayant de préserver l'image d’Épinal du pays des Droits de l'Homme ! Dernièrement la Cour européenne des Droits de l'Homme, justement, a rappelé à cette France-ci qu'elle n'était pas en règle de conformité justement avec ces fameux Droits ! Et Paf ! Une gifle de plus dans l'esprit français légendaire depuis les Lumières, aujourd'hui éteintes ! Avec une population qui se désintéresse de son destin, une majorité d'imbéciles qui ne pensent qu'à consommer tout en se plaignant des oscillations de températures en constante augmentation (d'aucuns, en effet, n'ont toujours pas très bien saisi que le chamboulement climatique n'en est qu'à son début...), le pays entre en phase de récession annoncée par une nouvelle crise en perspective dont les effets vont incontestablement accentuer les tensions sociales couvées pour les prochaines manifestations humaines qui ne reposeront plus sur des plaintes lancinantes par trop rébarbatives... Jean Canal. 17 février 2020.   

L'abolition des privilèges ! Vous connaissez ? En quelle date ont-ils été supprimés ? 1789/1791... Faux ! 2017/2018/2019 et en 2020 à venir ! Vous n'avez pas vu venir le coup porté à nos acquis sociaux, nos libertés individuelles et le droit inaliénable d'expression que l’Exécutif tente de limiter à défaut de pouvoir le supprimer (Christophe Castaner prépare une dernière opération avant son départ définitif de la scène politique) ! Ce qui nous emmène à en déduire que toutes ces conquêtes sociales n'étaient en fait que des privilèges octroyés par les différents gouvernements ayant siégé au cours des successives présidences ; et cela depuis l’avènement du printemps de 68 avortant la démocratie d'un continuum à Droite toute ! Pompidou, Giscard et Mitterrand inclus. Nous, enfin plutôt VOUS n'avez pas su préserver cet octroi qui nous fut offert en guise de bonne conduite d'un peuple devenu soudainement obéissant. On aurait cru, du moins Vous, que les mouvements des Gilets Jaunes allaient modifier l'organigramme de le Présidence de Emmanuel Macron ! Les quelques échauffourées avec les services de sécurité ayant fait preuve d'exercices mémorables dans le maintien de l'ordre, ont démontré que le Pouvoir fit preuve de pugnacité, misant sur la lassitude du peuple... « La » réforme du Président est passée comme un suppositoire, sans vaseline de sorte que personne ne souffrit de cette pénétration (un véritable viol!)... Pour la prochaine Révolution, sollicitez Jean Canal. Il vous expliquera comment renverser un pouvoir sans se donner rendez-vous chaque week-End durant plus d'une année ! Seulement, il faudra sacrifier sa personne pour que vive la Patrie ! Allez Salut ! Jean Canal. 22 février 2020.

 «Au nom du peuple français» Le pays manque de citoyenneté évidente à l'attention qu'il devrait observer sur la république de 1791, en expectative d'un renversement libéral par l'Usurpateur Macron ! Il nous faut revenir à nos valeurs suprêmes : celles qui tentèrent d'instituer une République indivisible, unifiée dans la paix nationale et dont les Réformes advenues au fil des Républiques, furent institutrices des valeurs sociales dignes des doléances populaires continues : puisque c'est le peuple qui formula le désir de Libertés  en 1793 avec la déclaration des droits de l'homme et du citoyen ! Je suis un de ceux qui considérèrent que Robespierre devait être guillotiné comme tous ceux qui ont porté atteinte à la République ! Jean Canal. 12 février 2020.

LA MESSE EST DITE ! Attention aux réseaux sociaux, si vous prétendez à défier le pouvoir politique ! Ils auront vite fait de dévoiler des informations sur Vous, qu'elles soient erronées où teintées de vérité ! Personne n'y a réchappé jusqu'alors, quand bien même les risques de diffamations peuvent conduire devant les tribunaux : on peut par exemple écrire que X personne est conne, sans risque, mais ne pas discriminer...en entrant dans un registre de vocabulaire qui porte atteinte à la vie privée. Quoi qu'il en soit, l'ouverture à la lecture publique sur un plan international de diatribes vitupérées à outrance sur un individu, politique soit-il, finit par édulcorer l'atmosphère qui en émane pour se dissiper dans la banalité du mal ! Les 60% de cons qui peuplent la France ne les dérangent nullement de leur état dont ils n'ont même plus conscience et au regard de ceux qui le pensent, rien n'atteste qu'ils ont raison ! L'avantage des réseaux sociaux repose paradoxalement dans le moyen rapide d'obtenir une information et donc de pouvoir la vérifier aussi rapidement...au demeurant d'en controverser son contenu selon les sources, puis engager une procédure judiciaire à l'encontre de ces mêmes cons qui deviennent à la fois coupables et victimes. La liberté d'expression c'est aussi cela : informer ! Les manifestations des Gilets Jaunes nous ont démontré la violence policière pratiquée en défoulement d'une situation anxiogène dont, effectivement, la maîtrise échappe au pouvoir ! Et l'on peut donc dire que la proportion de la violence populaire est toute relative à celle que « la sécurité » a dispensée contre des personnes décédés suite à la pratique d'exactions d'état ! Il est évident que la jeunesse ne se fera désormais une idée honorable de la Police ! Jean Canal. 15/16 février 2020.

BIENVENUE CHEZ LES CONS. Eh oui ! Chers lecteurs, vous l'avez déjà constaté : 'la connerie humaine est sans limite !' C'est Luchon, en sa station saisonnière de SuperBagnères perchée à 1900 M d'altitude avec son Pic Céciré (département de la Haute Garonne) qui se distingue par sa mentalité montagnarde teintée d'un esprit Made In Sud-Ouest -nous sommes chez les attardés  mentaux de l'Occitanie. Les effets du chamboulement climatique entraînant des modifications visibles du climat, privent les estivants et notamment les employés dudit lieu de la neige qui, effectivement, se raréfie d'année en année ; comme il fut précisé, il y a quarante ans par nos éminents scientifiques d'alors. Personne ne retint la leçon de choses qui fut faite devant un auditoire empreint de déduction dubitative. Nous sommes pour le cas présent face à un exemple de suicide collectif qui se traduit par la volonté de l'accentuer ce chamboulement climatique, moyennant des procédés relativement propres à ses vieilles mentalités de ces gens ayant comme centre d'intérêt la rentabilité de la nature, et cela à tous prix ! L'argument invoqué, bien sûr : satisfaire les vacanciers, leurs enfants et toute cette société d'abrutis qui persistent à skier sur de l'herbe enneigée pour des circonstances heureuses favorisées par des hélicoptères dont les prestations onéreuses assènent les caisses endettées de la Région et dont l'utilisation d'un tel appareil pollue gravement un système déjà fort endommagé par cette persistante activité humaine. Le profit ne les arrêtera pas ; excepté quelques catastrophes naturelles inhérentes à notre comportement qui, ici, se manifestent irrémédiablement ! Un bienfait en quelque sorte de la nature qui condamne les hommes pour leur attitude meurtrière ! Belle leçon que voilà. Jean Canal.  18 février 2020.

LA FRANCE DEVIENT-ELLE LE PAYS DES CONS ?! Avec les affaires parajudiciaires de quelques politiques peu scrupuleux de l'honneur que confère leur mandat, élus locaux soient-ils (Balkany pour exemple), le pays le plus visité au monde pour ce qui reste de son architecture abandonnée durant des années par l'état, est non seulement acculturé si l'on prend en compte la dévalorisation intellectuelle du Baccalauréat, lequel est devenu une formalité des Lycéens, au demeurant l'esprit de racisme et d'antisémitisme fort qui règnent dans les grandes agglomérations où se perpétuent toutes formes de criminalité, souvent impunies..., il appert, en effet, un constat plus alarmant que celui de la crise économique à venir, puisque, comme l'ont maintes fois démontré les exégètes plus particulièrement versés dans les Sciences sociales, un peuple sans instruction et/ou sans éducation est sujet à rechercher une alternative à ce qu'il considère comme une injustice sociale qui l'a privé du savoir et de la connaissance moyennant lesquels il s'eût érigé à un niveau suffisamment respectueux pour concourir à une place honorable dans la société ! Hélas ! Le bilan qui se traduit par des violences anxiogènes spécifiquement formulées par des incivilités de toute sorte pouvant aller du chien déféquant sur le trottoir en des endroits publics, tout en ressentant une agressivité constante dans les relations humaines entre citoyens respectables de leur statut, le pays de cocagne où il faisait bon vivre a définitivement perdu de sa tranquillité, ne serait-ce que par le phénomène de précaution appliqué dans les villes avec la mise en place d'un système de sécurité illustrée par les patrouilles de militaires auxquels savent échapper les djihadistes fondamentalistes dont la seule religion est de tuer lâchement des innocent(e)s ! Les meurtres de Marseille planent dans toutes les mémoires. A qui incombe réellement la responsabilité de cette situation qui découle en partie de l’effondrement des "dictatures" irakienne, libyenne, voire syrienne, sans omettre les conséquences des conflits continues au Moyen Orient ?! La réponse appartient, en effet, aux responsables. Jean Canal. 18 février 2020.

L'OTAN se retirant de l'Europe, l'espace Schengen est-il fragilisé face aux éventuelles menaces étrangères ? Autant gommer de la scène politique les civilisations à l'origine des États-Unis ! Il est vrai, néanmoins, que des civilisations se sont complètement éteintes, laissant un autre espace dédié aux conquérants ! Les populations succèdent aux populations, parfois avec armes et rarement en se servant des outils constitutionnels du pays convoités pour des richesses institutionnelles, comme l'incarne la démocratie ! Phénomène exploité, aujourd'hui, par le Politique qui tend à reconnaître l'identité de celui qui se conforme aux règles d'un état, tout en accomplissant ses devoirs institutionnels afin de bénéficier de droits inaliénables. Paradoxalement, ce processus peut devenir un piège pour les civilisations fondatrices de ce système reconnu à part entière par les peuples concernés et conviés régulièrement à s'exprimer aux urnes ! C'est le principe de la démocratie ! Et cette dernière liberté d'expression est sujette à se retourner contre ses fondateurs qui peuvent subir les conséquences du choix électoral, souvent inattendu : l'extrémisme guettant toujours l'occasion de faire valoir son entité représentée, en ce cas, par une majorité silencieuse qui soudainement saisit l'opportunité de revendiquer son idéologie, comme alternative démocratique, en montrant du doigt une politique incapable de rétablir l'unité républicaine, entre autres...

L'Histoire générale de la France, tenant compte des ses anciens empires déchus, nous apprend que les erreurs se répètent et nourrissent les idées de demain qui raviront à la démocratie son sens de libertés plurielles.

Vous pensez que le libéralisme dans sa forme la plus épistémologique adviendra pour rétablir un équilibre sociétal, en offrant la possibilité à chacun de s'enrichir ? Les trois grands empires encore debout, la Chine, la Russie et l'Amérique protectionniste, n'aspirent point à se détruire directement par des guerres dirigées entre états représentatifs : les conflits armés du monde suffisent à épurer leur éthique de la mise en œuvre de leur système économique ! Et Erdogan ? Le leader des palestiniens et des banlieues françaises n'a aucun pouvoir de décision : l'épouvantail d'un autre empire disparu, celui des Ottomans, tente vainement d'imiter le fondateur de la Turquie qui fit exécuter quelques responsables du génocide arménien (acte qui revient, effectivement, à reconnaître l'existence de cette tuerie) ! La guerre économique, elle, est insidieuse. Elle s'infiltre dans la société en convoitant le marché officiel, établi comme référent des consommateurs. L'article de prédilection sera ravi par celui de substitution qui contiendra des vertus inégalées par son précédent, désormais recalé aux rebuts ! L'individu, étiqueté selon des critères de référencements numériques, sera orienté vers un choix unique parmi ceux qui lui sont offerts de choisir et qui appartiennent déjà à une seule marque de pensée ! La globalisation qui est à l'origine de ce mimétisme est indestructible, puisqu'elle est entretenue par le consommateur lui-même dans ses gestes qui deviennent des réflexes. Le coût de cette opération, dans la mondialisation, est tellement minime que sa duplicité multiplie les dividendes enregistrés par une stricte minorité qui mondialise la politique. Ni les intellectuels, ni les politiques adverses ne parviennent à convaincre cette vaste majorité d'individus pris à son propre piège ; et cela malgré de vains engouements de révoltes illustrées par des manifestations puériles.

D'où donc peut venir une crise économique dont les signes sont inéluctablement visibles au cœur des villes ? Le piège est donc refermé définitivement sur chaque individu dépendant de son propre système qu'il défend inconsciemment dans sa démarche quotidienne. Le pire reste à venir ; car se greffera à cette crise les déplacements de populations appauvries et un chamboulement climatique avéré qui, lui, n'admet aucune concession ! Jean Canal. Samedi premier décembre 2019.

LE MUR. Aussi loin que le regard puisse se porter lorsque l'on est au pied d'un mur, que l'on se trouve devant ou derrière cette édification, la sensation de tristesse est soudainement envahissante jusqu'à un questionnement sur son utilité et notamment sa raison d’exister, vienne nous interroger ! Et que l'on regarde de l'extérieur où de l'intérieur du mur, la perspective est toujours limitée. La ligne d'horizon est palpable. Le regard acculé à un bâti artificiel, tente néanmoins de franchir ce qui compose un obstacle à sa visibilité. Seul le ciel recouvre l'immensité de la vue et c'est là que se réfugie l'espoir, parce que tout est venu de la haut... Pour s'évader du mur, au-delà de sa construction et au revers des intentions de son existence, sans avoir à le franchir physiquement, le voyage de l'esprit nous emmène loin de l'imagination singulière du commun des mortels, là-même où l'être n'a pas accès. Le mur alors s'installe dans la tête de celui qui l'a gravi par la pensée et en fait l'ultime raison de s'évader de la réalité. Jean Canal. Au pied du mur, il y a trente ans, en 1989. 9 novembre 2019.

Les uns tirent à hue, les autres à dia ! Autant recommencer ce que les premiers n'ont pas terminé, sans doute par manque de courage ; puisque en politique précisément, il faut avoir de l'audace pour essayer de changer un système -dût-il s'apparenter au social, comme il est sous entendu depuis 2017. Macron, pour ne pas le citer, évoquant l'urgence de modifier en profondeur les bases sur lesquelles notre société est assise depuis l’avènement de la V° République, sans pour cela refondre cette dernière institution repensée, autrefois, à la hâte dans l'ultime objet de sortir du chaos politique de l'époque, fut élu par une majorité de citoyens responsables, seulement en l'occasion peut-être, de leur acte symbolique de souveraineté ! Qui peut augurer, en période où une nouvelle crise économique guette insidieusement les sociétés, là où des conflits armés se succèdent inéluctablement aux crises politiques internes à chaque état impliqué, qui peut prévoir la chute de l'état ?!

Faut-il être idéaliste, au demeurant situationniste pour prétendre annoncer, comme on nous le crie dans les médias publics, que les catastrophes sont imminentes au même titre que celles qui n'ont pas besoin d'annonce en se manifestant au gré de leur humeur climatique ? Eh bien !, oui ! Il faut suffisamment de retrait dans la société pour en déduire une évidence que cachent ceux qui ne veulent pas voir la réalité (il y a comme une inspiration racinienne, ici). Évidemment quand une annonce est faite à contre courant de cette indubitable réalité, elle revêt aussitôt les apparences de la supercherie intellectuelle qui se veut préserver cette croyance. Les problèmes à résoudre ne représentent aucune difficulté de mise en œuvre sociale, il suffit de les traiter à la racine sans aucunes formes d'ambages susceptibles de provoquer quelque susceptibilité personnelle ! Ce que l'on ne doit pas concevoir, en acceptant la passivité comme signe de replis sur des acquis matériels (puisque c'est sur cette valeur que se rattache la vaste majorité des populations, en les préservant comme référent patrimonial), c'est l'abus de pouvoir qui est dispensé, cahin-caha, sous les aspects que la démocratie autorise, conformément, et cela va de soi, aux Institutions qui lui garantissent..., voyons, il m'arrive de chercher mes maux : l'impunité ! A ce sujet, une pensée pour mon ami intime : Paul Courrier dont je salue la mémoire.

Au sein de l'hégémonie politique qui reproduit à chaque mandat les mêmes erreurs de gestion gouvernementale, la V° République de Macron apparente savamment le laxisme institutionnel avec celui des manifestants qui ont au moins une bonne raison d'exprimer, certes maladroitement, des revendications sociales raisonnées. Leur fondement n'en est pas moins, néanmoins, justifié dans la mesure où la responsabilité des peuples est entière dès l'instant qu'ils conduisent, consciencieusement aux élections, des élus mûrement choisis ! Où alors nous avons affaire à des Idiots Utiles qui servent le système qu'ils combattent sans en appréhender au préalable les tenants et aboutissants ; en tel cas, on évite d'exprimer un sentiment d'appartenance politique qui s'avère, effectivement, antinomique avec ses propres idées.

La contestation est un phénomène inhérent au processus politique qui tend à controverser les opinons populaires qu'il considère comme subversives à son électorat. Selon les prérogatives de la V° République, le pouvoir repose en un seul homme élu à la majorité par le peuple souverain ! On ne peut être on ne plus clair ! Le français serait-il en train de devenir un idiot utile malléable à souhait selon les tendances sociopolitiques relatives aux conjonctures nationales ?! Sincèrement, afin d'abréger, je le pense... Jean Canal. 17 octobre 2019.


L'Utopie de la liberté dans le Monde arabe. Sont-ce ces deux dates inscrites dans le calendrier de 2010/2011 qui ont marqué un renouveau dans la volonté des peuples arabes de se libérer de leurs dictateurs ? Paradoxalement avec l'essoufflement des démocraties occidentales, éprouvées par plusieurs siècles de luttes syndicales, prolétaires et classes sociales moyennes notamment, flouées de leur engagement à Droite, au mieux au Centre, pour la France, les pays dits arabes qui appartiennent plus particulièrement au Maghreb, s'éprennent de liberté, sous l'effet d'une propension à se libérer définitivement des régimes dictatoriaux qui ont asservi les populations et bâillonné la jeunesse en demande d'émancipation sociale !

Aujourd'hui, fin 2019, l'Algérie connaît un tournant politique décisif pour son avenir fragilisée par son instabilité économique épuisée par des détournements de fonds publics, imputés aux différents dirigeants ; confronté aux forces militaro-politiques (néologisme de circonstance), le pays est sujet aux révoltes estudiantines régulières qui tendent à entraîner dans leurs sillons la population toujours active dans les manifestations.

Que dire de la Tunisie qui montra l'exemple en 2011, en ayant pris son courage à bras le corps pour renverser le régime tyrannique du Chef d’état en place, et opter pour un appel démocratique aux urnes ! Une espèce de démocratie vit le jour dans une pénombre encore assombrie pour éclairer suffisamment le destin de ce pays qui a, aujourd'hui, pu donner la parole aux divers candidats à une présidentielle réussie dans son esprit démocratique.

L’Égypte sans ressource première, si ce n'est celles du tourisme fragilisé par des attentas répétitifs, est assujettie aux dîmes occidentales, notamment l'Amérique, et ne peut donc prétendre à une émancipation nationale, contrairement aux expressions populaires des manifestations de la Place Tahrir ! Hormis les ressources soutirées aux passages des navires sur le Canal de Suez, (maigres recettes) le pays dépend toujours des autres états inscrits dans l'aide financière étrangère imputée à l'Occident ; ne fût-ce que par le tourisme. En interne à cette région, les relations entre le Soudan, l’Éthiopie et l’Égypte, ce dernier état rencontre des problèmes économiques et frontaliers avec ses deux voisins directs.

Quant au Maroc, première destination du tourisme français, puis européen (Allemagne en tête), le pays connaît une stabilité économique due à ses investissements européens qui suscitent de timides contestations de la population qui voit en cette économie une forme de néocolonialisme attentatoire à la culture traditionnelle des villes et villages. L'image d’Épinal que redore cet état ne correspond nullement avec la réalité masquée reflétant les problèmes économiques d'une population spoliée de ses terres et rencognée au rôle supplétif de figurants ! Évidemment, les médias officiels opèrent en virtuel sur des sujets qui risquent de froisser les Responsables d'une politique oblitérer par les différents pouvoirs ! Le risque, comme le démontra l'actualité avec deux jeunes filles sauvagement assassinées par des intégristes islamistes, est de voir ses actes se répéter avec un islamisme qui, couvant depuis des décennies, s'éveille...à l'aune de l'effondrement historique du pays.

Le chaos de la Libye est une résurgence de l'effondrement du régime dictatorial du tyran Kadhafi, sacrifié sur l'autel des relations internationales avec l'Europe, l'Amérique et la France qui de concert ont organisé sa destitution, sous les aspects révolutionnaires, sans envisager les conséquences à venir ; tout simplement parce que la géopolitique de ce contexte leur échappait par absence de connaissances suffisantes pour établir une démocratie pratiquement impossible à réaliser avec de nombreuses tribus qui se partagent le territoire ! Donc plusieurs chefs pour un état?! Autant donner à L'utopie son titre à cet exposé...

Jean Canal. 16 octobre 2019. Essai critique sur le Monde dit arabe, en Afrique du Nord.

منبوذين

De la valeur cardinale de la vie qui lui est insufflée par les cultures traditionnelles de l'éducation, que reste-t-il réellement à l'existence pour exprimer un idéal qui accomplit le dessein pour lequel chacun croit être fait ? L'asservissement à un système dont chacun soutire la manne quotidienne inéluctablement indispensable à cette existence qui ne peut se suffire d'une quelconque idéologie, soit-elle formulée sous les traits de la littérature, entre autres des thèmes dont dispose cette même existence, cette servitude donc ne fait-elle pas partie d'un compromis que nous acceptons consciemment avec une espèce d'ennemi que nous ne pouvons combattre qu'en lui accordant un droit d'exister !? Et si cet ennemi, c'était nous, pris individuellement et qui se regroupe contre tout ce qui lui porte atteinte !?

L'état actuel de nos sociétés qui n'ont eu cesse de conquérir toutes les formes de libertés soumises au regard des autres, ne traduit-il pas encore aujourd'hui, comme ce fut maintes fois le cas au cours de l'histoire, une éternelle insatisfaction individuelle d'abord puis consensuelle ensuite, à travers des soubresauts de manifestations en tout genre, jusqu'à en dégénérer les situations de plénitude ?! Au vu de la conjoncture qui illustre parfaitement le dysfonctionnement de la société, n'est-il pas préférable, afin de préserver des acquis à ne pas remettre en cause contrairement aux récurrentes réformes entreprises qui n'ont pour effet la marque du pouvoir !? Manque aux populations cette réflexion sur leur propre existence dont elles ont perdu l'origine. Une césure en quelque sorte entre le passé et le présent qui se veut toujours futuriste dans l'application de la synthèse de ses modèles conceptuels. Il y a comme une atmosphère d'erreurs qui plane au-dessus de nos idées nouvelles qui ne tiennent plus compte de l'exemple du passé, de sa ressource et de son histoire ; sans pour cela en ressasser une nostalgie qui enferme l'individu dans un conservatisme nouant le progrès à son inéluctable défaite !

C'est en lisant un passage de l' « introduction à l'esthétique » de Hegel que je fus inspiré pour écrire ce texte, tout en sachant qu'il ne peut y avoir aucune contextualité en ce sujet, puisque l'ouvrage philosophique ce cet auteur ne traite aucunement de ce que je viens d'écrire... Un mécanisme de mémoire se déclenche à chaque lecture qui me renvoie à des connaissances acquises et assimilées au bon endroit de l'étude effectuée à l'Université du Mirail, en Lettres anciennes, Toulouse, à partir de 1991.

Merci de me lire. Jean Canal. 10 octobre 2019.

Ces peuples du Maghreb qui recherchent désespérément une forme de démocratie arabe, demeurent toujours en quête d'une valeur commune aspirant à une singulière liberté. Le combat citoyen est continu en terre musulmane où la mosquée incarne toujours la valeur identitaire et le pouvoir, qu'il soit royaliste, dictatorial ou bien démocratique, valant pour toute tendance idéologique exprimée. On ne la jamais trop écrit aux regards des risques inconséquents des atteintes portées, à tort, à la religion, mais la liberté est assujettie au Coran qui régit, encore plus aujourd'hui que hier, la vie populaire et politique.

Comme la coutume inscrite dans cet héritage biblique le pratiqua pour les chrétiens, lorsque le terme revenait dans toute supplique formulée en des occurrences qui appelaient par le vœu, «si dieu le veut», sans aucun point d'interrogation qui eût mis en cause l'existence du Très-Haut, les musulmans reprennent la formule quand l'expression tend à réaliser ce que le croyant souhaite voir exhausser : «Inch Alla !»

C'est dans cette formule spirituelle que toute la foi prend sa force dans l'esprit du croyant : seule la destinée des hommes appartient aux volontés divines si l'accomplissement des écritures se révèle en chaque être. Le logos en dépend et la doxa se doit d'en tenir compte pour la pérennité de son usage collectif.

A l'ère numérique et au vu de l'exploration spatiale à la recherche d'objectifs vitaux, la religion occupe encore une impérieuse place au sein des idéologies politico-sociales repensées selon les exigences économiques qui risquent fort de modifier la façon que l'on a encore d'interpréter le monde et ses origines célestes. Jean Canal. 6 octobre 2019.

LES GENS COMMUNS ainsi nommés par leur lien de naissance avec une origine populaire consument à grand pas le pouvoir conféré par les pairs de leurs ancêtres : un héritage dilapidé sur l'autel de la société existentialiste. La vertu s'est évaporée de son essence originelle, exsangue de l'élixir qui la composait, elle s'épand, désormais, sur les rives arides des villes renouvelant une modernité tombée dans l'obsolescence, où rivalité et concupiscence étouffent la raison d'un renouvellement historique contemporain. Les notables possesseurs des biens séculaires, eux, ont perdu le pouvoir de décision qui leur fut légué au cours de l'histoire, réduisant leur identité à de simples histrions du spectacle qu'ils ne maîtrisent plus. Les élites incarnent la réussite sociale à travers des postulats desservis par le système économique. Les intellectuels ne sont plus que des figures secondaires de l'idéologie politique. Il n'est, à ce jour, que confusion des genres dans les aspirations humaines formulées selon une idée univoque puisée dans une pensée consensuelle adoptée par les collectivités humaines. Rien ne peut plus permettre de revenir sur des valeurs fondatrices des sociétés modernes, auxquelles se référa l'intelligence sociale pour construire un monde meilleur. L'occasion qui nous fut donnée, par un hasard de circonstance, de suivre une initiative différente de celle qui nous a poussés à en arriver là, où nous sommes, est définitivement perdue, aujourd'hui ; et cela contrairement aux perspectives illusoires de maîtriser une situation, nous condamnant à subir notre propre existence. Jean Canal. 27 septembre 2019.

« Maudits ! Maudits ! Tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races ! » Jacques de Molay, 18 mars 1314.

En parcourant un article de la Revue Esprit à laquelle je suis abonné, je compris combien il me fallut lire également un fragment de Teilhard de Chardin, notamment « Le phénomène humain », et un brin exhaustif de Saint-Augustin plus précisément, tout simplement pour parvenir jusqu'à l'auteur traité en son fond, ce mois-ci : Paul Ricoeur ! Protestantisme et catholicisme ont scindé, comme c'est le cas avec cette dissension théologique de l'islam radical partagé entre chiites et sunnites, les fondements de la religion, en en créant plusieurs courants se voulant plus proches de l'héritage théologique des prophètes concernés. Jésus en est le principal phénomène qui laissa suffisamment de signes pour provoquer autant d'interprétations sur son passage et la signification de ses actes reproduits par ses apôtres (Isa ibn Maryam occupe une place prépondérante dans le Coran où il est évoqué à plusieurs reprises –ce qui ajoute, disons-le franchement, une valeur spirituelle aux surates coraniques et donc à la valeur du Nouveau Testament tronqué, intentionnellement, de ses apocryphes). Un message donc pour regrouper les hommes en frères, dans un amour incommensurable évoqué explicitement par Saint-Jean ou Jean chez les protestants. Dubitatifs sont tous ceux devenus en cet état, face à l'énigme de cette histoire qui a converti des milliards de gens prêts à se sacrifier pour la religion. Mahomet le Prophète ou Issa ibn Maryam prêchèrent la même idéologie dont l'héritage ne semble pas avoir été religieusement réparti équitablement.

Paul Ricoeur, lui, se préoccupe de questions plus proches de l'humain afin, sans doute, de le ramener à dieu par le chemin qu'il choisira de prendre à condition qu'il prenne conscience de la valeur de l'itinéraire. Plongé dans le rationalisme de la pensée théologique nourrissant l'idée politique au service de l'homme, Paul Ricoeur s'attache à l'essentiel en empruntant tous les chemins qui mèneront l'homme à la paix intérieure qui sauverait l'humanité du chaos final. Lucide des difficultés, le philosophe pose les problèmes de fond à résoudre par le truchement théologique inclus dans les schèmes politiques rationalisant la pensée théologique ! L'homme responsable en quelque sorte, ici reconnu comme tel, sans pour cela être coupable ; puisque amendé par le rachat de sa faute. Le Mea Culpa du dimanche avant la Messe... Loin, toujours aussi loin de cette vérité tant espérée par tous, je terminerai, du moins osé-je achever cette réflexion, avec la pensée de Nostradamus dont je ne donnerai aucune citation...afin de ne pas corrompre les âmes fragiles ! Jean Canal. 28 septembre 2019.

Il faut suffisamment d'imagination pour écrire ce qui suit.., n'est-ce-pas ?!
De la Société Hédoniste Plus la religion exprime t-elle avec ostentation la manifestation de dieu, moins elle en représente le sacré de sa valeur originelle, attestant ainsi du nihilisme spirituel qui anéantit toute vertu humaine. Son exploitation au nom de la force suprême représentée par des symboles ne fait que confirmer l'aire du paganisme dans lequel nous entrons au nom du principe de réalité, transcendant trois mille ans d'histoire religieuse. Dieu est mort de la mort de l'homme qui le sacrifia sur l'autel de la modernité incessamment renouvelée selon les principes de contemporanéité ! Demeure l'esprit qui n'appartient qu'à l'homme ayant été choisi pour l'expiration de son souffle. Le XXI° siècle se fonde sur la concrétion de la réalité subjective qui répond à cet hédonisme spirituel.
Le bien-être de chacun légitimement invoqué dans l'esprit individualiste qui se développe, se déploie, se formalise en une éthique post contemporaine. C'est Kant qui en releva les premiers signes, en dressant une thèse relativisant l'individu en une place majeure, voire impérieuse dans la société. Dieu demeurant en l'espèce moribond, moyennant un souffle éteint dont toutes les croyances, en fait, sont devenues païennes, confrontées aux réalités de la modernité ! Ce recentrement vers l'individu contemporain s'explique par un constat effectué au regard de l'histoire humaine, laquelle se solda par une hécatombe. Dieu étant mort, comme l'avait annoncé Nietzsche, il reste à l'homme de prouver sa capacité à résoudre les problèmes inhérents à ce dernier qui se situe, désormais, au centre des sociétés ! Malgré les apparences de cet éveil religieux qui se rattache à un historique ancien de la genèse biblique, c'est la spiritualité qui affirme sa suprématie au sein des communautés religieuses, s'accordant un second souffle pour une nouvelle renaissance des croyances mystiques ! Et nous le constatons, la société se dirige vers une concentration des biens consommables destinés à rendre l'individu plus heureux ; quand bien même ce dernier en serait dupé avec son consentement. C'est tout le paradoxe de cette situation actuelle, où l'effondrement des croyances, eussions-nous observé une recrudescence des fidèles envers une entité, est confirmé par l'attitude du fidèle acceptant de s'affranchir de la morale, sans redouter l'anathème ! Dans l'incertitude d'un lendemain défini, conformément aux espérances humaines enclines au retour du Messie, l'être a fini par se rattacher aux valeurs rationnelles des sociétés qui répondent favorablement à ses désirs ; et cela quand même dans les nouvelles religions promettent-elles toujours la rédemption pour l'humanité ! Notre société n'a jamais été autant païenne... Jean Canal. 16 septembre 2019.

La société des civilisations. Ce serait l'intitulé illustrant ce conglomérat de populations étrangères aux origines européennes et qui, aujourd'hui, en ce tiers inachevé du XXI° siècle, vont fonder le nouveau monde de demain : celui auquel aspirent les nouveau-nés à venir. Il ne s'agit plus de suprématie religieuse ou encore de culture prédominante au cœur de ce qui fut autrefois le berceau de l'identité européenne, comme ce fut le cas avec la Grèce de Périclès, lorsque celle-ci rayonna sur le pourtours de la Méditerranée, par ses Lettres, ses arts, son architecture, son théâtre et son savoir. Le visage de l'Europe modifie ses origines civilisationnelles, conformément à cette volonté de l'espace Schengen de vouloir mixer les populations dans un entre-soi, régi par une concorde collective sous l'égide de lois communes. Une musulmane voilée passe devant moi en conversant avec une musulmane qui ne l'est pas, voilée ! N'est-ce point la preuve de la liberté au sein de cette même religion de vouloir préserver, autant que faire se peut, son identité ?! -Islamisme et extrémisme religieux exclus, s'entend de la démocratisation des dogmes...(Tanpis pour Tariq Ramadan qui a loupé l’intellectualisation des radicaux musulmans!). On pourrait y voir, là, des signes de condescendance à l'égard des communautés ancrées dans leurs traditions qui convergeraient vers l'équité de la religion ! Une synagogue, une mosquée, une église et un temple bouddhiste placés au quatre points cardinaux d'une ville, en orientant l'épicentre de leur lieu sacré, vers l'Est ; là où le croissant fertile se leva dans l'horizon des écritures saintes. Ils sont encore présents les prophètes de la Thora juive, depuis les révélations testamentaires de Moïse qui les réunis et livre duquel fut annoncée la venue des prophètes connus. Idéaliser les sociétés repose dans cette volonté d'apaiser les haines qui ne font que fomenter la violence informelle qui végète chez ceux qui en cultivent le froment. Paradoxalement, le premier modèle de civilisation qui tendait à extraire de l'humain ses vertus fondatrices de ce conglomérat, fut l'Amérique qui, nonobstant cette manifestation démocratique, massacra d'abord les indiens pour imposer son pouvoir, avec le concourt des esclaves noirs ! Le risque, en effet, de dictature est patent, quand bien même prônerions-nous les bienfaits de la civilisation : celle des barbares !, car qui seront les esclaves de demain ? Jean Canal. 11 septembre 2019. Toulouse.

EDITORIAL DE SEPTEMBRE. L'HOMMAGE A PIERRE PEAN. A trois jours du mois de septembre, les rentrées intellectuelles, présentées sous différents intitulés comme « la rentrée littéraire », celles des polémiques de sujets touchant à la culture, cinéma, théâtre, photos, et cætera, le Monde diplomatique attira toute mon attention, je dis bien toute, puisque je rêvassais à mon prochain voyage en terre étrangère à l'Europe que je vais entreprendre pour quelques mois ! Ne vous réjouissez pas trop vite, je préserve ce contact privilégié avec presselibre.fr où vous aurez l'immense joie de me lire ; d'autant plus que je parlerai de Vous, sous toutes les coutures, sans omettre de dépeindre vos défauts que vous tentez toujours de dissimuler, que ce soit à la radio ou/et à l'audiovisuel... Hervé Gardet, de France Culture, rappela à un critique féminin qui se perdait en galimatias culturels à travers une espèce d'exégèse concourue à l'occasion d'une visite aux Rencontres d'Arles qui, entre autres, fêtaient son 50° anniversaire (j'y étais et je n'ai pas eu droit au gâteau... Merci quand même Sam Stourdzé !), que la locution ci-dessus employée était à utiliser au féminin. Voilà une correction qui dénote chez ces professionnels des Lettres ! Eh oui ! Il est de mon devoir de relever toutes ces anomalies intrinsèques à votre personne, tant soi peu sujette à des déclinaisons de personnalités prenant des dérives évanescentes dans le caractère, en la circonstance du sujet traité...voire du thème exploité pour des fins toute informationnelle !

C'est l'article de Pierre Péan, évidemment (est-il nécessaire de le souligner?) qui m'interpella ; pas tellement par son titre que je ne trouve pas accrocheur, comme dirait un patron de presse. Quand bien même « les cuisines » laissent-elles présager d'une concoction culinaire variée, et, a priori, ici, succulente. Pour une fois, le contenant de « mon » mensuel, n'aura eu aucun effet sur son contenu qu'il faut, je vous l'avoue, reconnaître comme majeur dans l'édition de septembre ! Je ne ferai donc que survoler les autres articles qui tendent à remplir les pages afin d'apporter une grande satisfaction aux autres lecteurs, sans doute dans l'instance d'en apprendre un peu plus sur ce qu'ils devraient subodorer déjà, en amont de l'actualité ressassant ainsi des nouvelles anciennes !

Le travail d'élaboration journalistique est remarquable par la bienséance des anecdotes évoquées et, tenant lieu d'exergue pour l'exemple, peut-être à ne plus jamais commettre (c'est mal connaître l'homme, de croire en pareille utopie!). Il est question de la presse d'investigation dont font partie Le Canard enchaînée, quand bien même ce dernier verserait-il plus dans la polémique, et Médiapart qui accroît son audience à juste titre et connaît une nette augmentation de ses lecteurs dont nous faisons partie, bien sûr.

Pierre Péan donc nous en donne une investigation intellectuelle judicieuse de cette presse-ci dont les journalistes sont, effectivement, à considérer comme les élites de la profession. Au fait, existe-t-il des élites en politiques ? Réfléchissez longuement avant de répondre -suite à une écoute d'une master en entreprise qui considérait que l'expérience du pouvoir de Nicolas Sarkozy pouvait l'aider à anticiper sur l'avenir économique, je me dus de réagir...indolemment !

Il faut maintenir cet état d'esprit qui s'attaque à la base de la supercherie des pouvoirs électoraux afin de fragiliser l'édifice qui érige ces falsificateurs sur des promontoires d'où ils haranguent les foules populistes, dans l'expectative de pérenniser leur empire !!! Et le pire, est qu'ils sont plébiscités... 

Bref ! Des gens meurent en nous laissant ce qu'ils ont écrit, de sorte à les faire revivre jusqu'à ce que la presse meure un jour, à son tour de la maltraitance qu'elle subit !  A lire et à consigner dans vos archives journalistiques.  Jean Canal. 29 août 2019.

CHAMBOULEMENT CLIMATIQUE

CHAMBOULEMENT CLIMATIQUE. LA CLIMATISATION DE LA PLANÈTE. Vivre en été sous 40° Celsius et au-dessus. Ah vous n'avez pas connu l'Afrique Orientale, celle de Monfreid, de Rimbaud, Loti, Victor Ségalen et tous ses fous qui ont parcouru les déserts danakil en Somalie française ?! 40° à l'ombre 60° Celsius au soleil ! Çà vous tanne la peau et vous forge un caractère trempé dans la chaleur ! Bref ! J'y étais... Serez-vous capables de supporter des chaleurs récurrentes qui désormais feront partie de nos saisons, réduites à une saison fraîche et une saison chaude, comme à Obock ? Le climat confirme donc ses intentions de modifier profondément les comportements, en augmentant ses déséquilibres. Il ne s'agit pas de fiction, mais d'une réalité désolante pour tous. La banquise fond rapidement, les eaux montent ailleurs, mais elles montent, des espèces animales disparaissent, exceptés l'homme con qui se multiplie démographiquement. Bref ! Tout va très bien se passer...  Dernières bonnes nouvelles du chamboulement climatique. Le processus irréversible de la destruction de la planète à l'échelle humaine, s'entend, atteint des situations inéluctables qui attestent de la volonté politico économique de précipiter l'humanité dans un chaos programmé : déforestations en plein essor, pollution des mers et océans en extension, nourritures modifiées à l'étude et pollution de l'air atteignant des pics invisibles ! Tous les ingrédients pour justifier des conflits humains sont enfin réunis afin de justifier la reconquête planétaire. Dans la science fiction, seul "Soleil vert" demeure d'actualité...

FRANCE CULTURE anime une émission depuis cette année sur les conjectures du chamboulement climatique qui préoccupent les populations gentrifiées enclines à en subir les modifications sociétales inéluctables. En ont-ils réellement conscience ? A priori, non !, sinon les classes sociales confortablement établies dans un système privilégiant leur mode de vie, auraient pris à bras le corps le consumérisme en s’évertuant de le modifier à la base, pour le bien commun de la société ! Ce qui ne fut point le cas, puisque leur inquiétude s’accroît au fur et à mesure que le processus irréversible du changement climatique s’accentue jusques en leur patrimoine ! C’est une remise en question complète du sens de la vie qui est faite, au regard de l’humanité en déclin.

« De cause à effet » est le magasine de l’environnement animé par Aurélie Luneau de 8H à 9H, le samedi, sur la radio culturelle du service public que vous préservez de la corruption qui par vos impôts, qui par votre audience en nette augmentation ! Merci !. Arte, la chaîne audiovisuelle par excellence, régulièrement revient à travers ses reportages sur les désastres de la pollution en tout genre, synthétisant ainsi la situation actuelle de la modification climatique et montrant du doigt les responsables politiques passifs sur ce fait.

Des invités sont conviés à venir expliquer ce phénomène qui préoccupe les personnes averties et possédant suffisamment jugement critique pour avoir compris que la situation actuelle du climat est inquiétante pour un avenir proche. Sommes-nous concernés par ce dérèglement dont nous pouvons observer directement les effets sur le climat et plus particulièrement sur les personnes ? Oui ! L’accusation est sans appel, hélas pour ceux qui attribueraient ce chamboulement à l’évolution des glaciations de la planète, uniquement ; voyant dans l’activité de l’homme stupide une inhérence naturelle qui l’acquitte de sa responsabilité !

Tout ceci est établi par les scientifiques depuis déjà une trentaine d’années, voire quarante ans pour certains intellectuels crédibles, et officiellement attesté depuis une dizaine d’années par la communauté scientifique qui n’a eu cesse de lancer des alertes. Récurrentes donc sont les analyses qui viennent ajouter une information nouvelle sur le processus irréversible de ce changement.

Le scepticisme n’a sa place que chez les idiots utiles de l’appareil de désinformation (entretenu par les médias officiels qui minimisent intentionnellement un contexte préjudiciable à la stabilité géopolitique des états ! -autant dire que l’on tentent de nous prendre pour des cons. ) qui joue le rôle de régulateur des inquiétudes générales auprès des populations concernées par cette question, en vain ! L’inquiétude exprimée sous toutes ses formes serait de savoir comment nous allons nous soustraire à ce phénomène qui nous incombe directement et dont les conséquences auront des effets conflictuels au sein des peuples, lesquels commencent à ostensiblement se plaindre des abus. Quant à l’économie, elles en subit d’ores et déjà les effets avec la saturations des productions industrielles qui étouffent l’atmosphère sociale…

Ce qui devient intéressant c’est que le tout climatique s’attaque désormais au fléau du tourisme dévastateur qui, entre autres des immenses vaisseaux de croisière qui détruisent un écosystème sous-marin et polluent les villes portuaires, ravage les sites à trop haute fréquentation, les plages méditerranéennes et les montagnes. Un abruti, momentanément isolé de sa communauté, intervenant sur France Culture, lors d’une des émissions du samedi, se plaignait effectivement des dégâts causés par le tourisme de masse, en des lieux emblématiques des villes d’art et soulignait tacitement la surpopulation mondiale attentatoire à une stabilité sociale, en général ! « l’idiot » en question, après avoir durant de longues années de privilèges, profiter du système de consommation, jusqu’à en tirer des subsides par sa contribution professionnelle, à outrance, voulait même réduire les voyages en avion, dont il avait su pratiquer l’exercice, en hausse et dont le kérosène est préjudiciable à cette atmosphère que nous respirons, de concert. Bref ! Les cons étant également invités à s’exprimer, nous ne pouvons que constater qu’ils appartiennent de fait aux mouvements écologistes primaires dont les adhérents font un Mea Culpa tardif en signe de pénitence, sans pour cela réduire définitivement leur impact sociétal ! La première démarche à effectuer pour améliorer cette vie quotidienne partagée entre habitants de la planète, serait sa propre prise en charge en ayant conscience que la première victime est l’individu lui-même ! L’appartenance à un mouvement quelconque, garantissant la valeur de l’action, n’en justifie nullement l’effet positif éventuellement escompté immédiatement sur la planète. Le temps nous est compté comme un cancer qui s’est déclaré et dont les remèdes ne sont que des palliatifs en attendant la fin ultime d enotre propre existence. Jean Canal. 18 août 2019.

Le scepticisme climatique est une pensée qui occupe une certaine population, toute tendance politique confondue, et qui fait preuve de l’idée arrêtée que se font des gens de l’évolution du climat : « après tout, s’il fait chaud, c’est le climat qui change naturellement. » Et ce n’est pas tout à fait faux, dans l’idée que les scientifiques s’en font en imputant une responsabilité humaine à sa modification plus rapide que la nouvelle glaciation laissait augurer ! Il faudrait donc se contenter des résultats officiels de la communauté scientifique à laquelle, il faut, effectivement, faire confiance. Quelles que soient les résultats, la situation climatique interroge tout le monde. De plus en plus confrontées à des changements inhabituels dans le bouleversement climatique, les populations se préoccupent davantage de l’avenir de la planète. Les politiques également, mais avec un autre intérêt que celui invoqué par les populations directement affectées. Ce qui sème un certain doute sur le phénomène de causalité qui, lui, est bien rationnel ! Il y a cependant une idée positive de ce contexte, qu’il faut tiré dans un sens relatif à son exploitation humaine. La seule réalité est de se positionner soi-même en observateur, comme le font les paysans, en constatant que la nature répond différemment aux injonctions météorologiques imposées… CLIMAT. Avec 26° Celsius le matin, à 5H, dans certaines villes de France, le Climat dessine les grands changements à venir d’ici dix ans ! Canicules récurrentes, saisons réduites à deux phénomènes résumés au chaud et au froid, le tout dans un espace dénaturé de ses origines terrestres. Disparition d’insectes, d’oiseaux et de plantes, soit une évidence de ce qui nous attend ! Une situation inextricable de notre comportement et qui ne semble toujours pas intimider les politiques !, malgré quelques effets d’annonces…Jean Canal. 4 juillet 2019.

DÉCROISSANCE ÉCOLOGIQUE.Avons-nous besoin d'un parti qui se reconnaisse (subjonctif de circonstance grammaticale) dans l'esprit de décroissance pour pratiquer, sans privation aucune, la décroissance ? Non, bien évidemment ; c'est d'ailleurs ceux qui ne sont pas ancrés dans un système structuré qui instinctivement en sont venus à gérer drastiquement leur consommation ciblée, orientée vers l'essentiel. La consommation d'énergie en est le premier acte qui évitera l'érection d'éoliennes devenant pléthoriques, créant une nouvelle dépendance économique. Les bos-bos ou bien Beaux-Beaux qui sont laids par nature, ne sont pas la référence de vie en société. Quant aux écolos encartés, il faudrait ouvrir les portes de leurs placards et vérifier leurs factures d'eau et d'électricité pour comprendre qu'ils pratiquent une décroissance bon-chic, bon-genre, de sorte à cultiver leur acquis de conscience... 19 mai 2019. Jean canal ; bien sûr. Citoyen du monde depuis 1996 et dans la décroissance depuis 18 ans à peine (facture d’électricité annuelle 135 euros dont 90 de taxes...)
Une angoisse lancinante s'infiltre insidieusement dans les esprits de citoyens septiques sur l'avenir climatique de la planète. C'est leur mode de vie et leur patrimoine qui seront l'objet de leur préoccupation. D'ores et déjà, l'inquiétude s'intensifie au fur et à mesure que les perturbations atmosphériques se manifestent en des scénarios inattendus (l'anormalité devient phénomène de danger) : celle d'aucune alternative présupposant un avenir apaisé. Le sujet qui guette nos civilisations occidentales, celles-là-mêmes qui sont à l'origine de la destruction planétaire, repose dans une question énigmatique : "qu'allons-nous devenir?" Jean Canal. 23/03/2019.

BONNES NOUVELLES DU GIEC : + 2° DANS moins de 10 ANS  Rien de nouveau sous les pluies. 29/10/2018. C'est extraordinaire cette capacité que nous avons à tout détruire, à tout démolir pour reconstruire différemment, alléguant comme argument, le changement en signe de progrès ; ainsi prend forme la rénovation des choses et des structures qui composent nos sociétés.    La page de l'Ecologie. 

POUR LE CLIMAT Une once d'attention pour le CLIMAT. Notre planète désespère de notre indifférence ; c'est-à-dire de son pillage : matières premières exploitées pour le profit, uniquement le profit ! C'est sur cette forme de préambule qu'il faut présenter l'état actuel de notre patrimoine universel en déliquescence avancée. Le monde se meurt et nous avec.

 

Violences conjugales police/gendarmerie

Pétition pour des violences familiales au sein des Fonctionnaires

"Si tu tentes quelque chose, on ne te croira pas." Cette phrase, Dorothée l'a entendue chaque jour, entre 2015 et 2020. Cette femme de 41 ans, ingénieure, raconte à franceinfo avoir enduré "coups", "bousculades", "humiliations" et "violence psychologique au quotidien" de la part de son ex-conjoint. "L'emprise est une prison. Vous ne pouvez que subir, qui plus est quand c'est un fonctionnaire de police." Car pour Dorothée, la profession de son ancien compagnon a représenté une menace et des difficultés supplémentaires pour entamer des démarches : "Il me disait que j'allais ruiner sa carrière. Il mettait en avant de très bonnes notes de service. Il me répétait qu'il était, soi-disant, référent violences conjugales." Un reportage signé Franceinfo.                            Le tribunal administratif de Strasbourg a condamné le 19 octobre 2022 l'État pour le harcèlement moral qu'a subi un gendarme de Hochfelden (Bas-Rhin). Le jugement va à l'encontre d'une enquête de l'inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN). Lien de l'article.                                                       Quand un gendarme se suicide, c'est la Gendarmerie qui est la première concernée par cet acte ! Quand un policier se suicide, c'est la Police qui est la première concernée par cet acte ! La rhétorique qui en ressort appartient aux hiérarchies concernées qui, argumentant de l'Intérieur, affichent une complète innocence sur des faits relevant, en fait, de problèmes personnels. L'omerta sur tous ces suicides, se résume par des réactions symptomatiques à la profession...

Un suicidé de plus dans la police ! Quand ce n'est pas dans la gendarmerie que les bons éléments mettent fin à leurs jours, ce sont les effectifs de police qui diminuent. Les causes sont sombrement évoquées officieusement, quand les troupes veulent bien délier les langues. Un milieu où l'on est prié de fermer sa gueule sur ce sujet tabou ! La Page à consulter, archivant les cas semblables et autres, pointant la Gendarmerie Nationale et les Services de police ! Le malaise de la fonction publique perdure et ne semble toujours pas déranger les hiérarchies à réformerDans un tel contexte où la France se délite sous les auspices d'une Assemblée Nationale incapable de résorber les problèmes majeurs de ce pays, on est en droit de se demander, et c'est même le devoir du citoyen, plus particulièrement à titre de triste héritier des morts de la guerre de 14/18, si c'est rendre hommage aux disparus et sacrifiés de La Grande Guerre, que de commémorer ce 11 novembre, avec des élus qui n'ont cure de ce pays ?! La Rédaction. 11/11/2022. Un cas d'école pour harceler physiquement les Gendarmes, psychologiquement perturbés par ce fait divers insolite.

MESSAGE. Et si nous changions d'itinéraire afin d'essayer de s'écarter encore une fois de ces sentiers rebattus que plus personne ne veut emprunter de crainte de rencontrer trop de monde sur sa route. Non pas celle de Kérouac, elle est trop édulcorée, sans terrain accidenté et toute tracée -on la pressent et en devine les étapes ? Une autre route ! Une destination inconnue à l'instar de celle d'Arthur Rimbaud, mais avec les avantages du transport aérien, commode et confortable... Une de mes lointaines connaissances du sexe féminin, plutôt expansive dans ses désirs jamais complètement assouvis...m'envoya une carte-postale de Katmandou où elle s'était rendue en compagnie de ses parents et sa sœur, à bord d'un Boeing 747 ! «J'y suis» avait-elle mentionné sur le courrier en question qui tomba dans ma boîte aux lettres (ou bien ma boîte à lettre (s), si vous préférez). Et moi de penser «Non tu n'y sera jamais... (sous entendu, réellement, songeant à Charles Duchaussois et tant d'autres qui n'en sont jamais revenus).» Voilà en quelques phrases l'essentiel de l'aventure. Tous ceux qui se sont aventurés sur les traces indicibles d'Arthur Rimbaud ont été dupés (Alain Borer y compris) par un chemin menant nulle part que «le voleur de feu» emprunta, sans trop savoir où il allait, mais tout en sachant que là-bas, la destiné lui avait donné rendez-vous ! L'Histoire humaine regorge d'histoires identiques à la nôtre : celle de nos déboires, de nos échappées et de la fuite en avant dans un espoir utopique auquel nous confions, aveuglément, notre destin. Sans doute est-ce parce que l'éveil de l'humanité s'est produit par là-bas, dans un espace grand comme un croissant fertile que nous tournons inconsciemment notre regard vers la Jérusalem céleste, espérant y voir se lever une lumière divine.

Le quant-à-soi et/ou l'entre-soi ! Nouvelles formules pour une classe sociale qui se reconnaît dans l'excellence du consumérisme mesuré, tempéré en rapport suffisamment proportionné de sorte à appréhender le superflu de la consommation de masse, donnant de la conformité à l'écologie, pratiquée avec parcimonie dans les milieux consciencieux des risques encourus pour la planète de malmener la nature ; c'est-dire si la recherche culturelle qui émane de ces mouvements ancrés dans des valeurs sociales sans de réelles étiquettes politiques, malgré une forte tendance à se rapprocher de celui qui défendrait leurs valeurs tout en les pratiquant lui-même (devinez qui est l'heureux élu?), pousse l'exégèse au-delà de la banalité quotidienne devenue ennuyeuse avec le temps... Il y a urgence en la matière, car elle se disloque et se fragmente depuis que nous avons entrepris de détruire tout nos biens en héritage : ceux que la nature nous a laissés. Au moins un signe oblige les civilisations à s'interroger sur leur avenir : les degrés de chaleur en constante augmentation chaque année incitent les population à exiger des comptes aux gouvernements qui cultiveraient la passivité sur des mesures immédiates à prendre afin de réduire la pollution des mégapoles. Pris à notre propre piège consumériste, nous allons plutôt au suicide collectif qu'à une méthode de survie, palliant momentanément aux conséquences catastrophiques à venir. Les difficultés pour modifier les comportements sont évidentes. Les humains ont du mal à changer d'habitudes. Seules les interdictions et sanctions atténueraient le processus de progression climatique. Le peuple est-il prompt à accepter des sanctions dans ses modes de vie ? Les derniers événements survenus en France démontrent que la méthode inculquée par une politique inappropriée, ne répond que de loin aux préoccupations majeures de la cause humanitaire actuelle. Il faudra donc d'ores et déjà apprendre à subir et souffrir, en fermant définitivement sa gueule ; car les voyages d'évasion seront impossible à réaliser, au regard d'une géographie modifiée ! L'idéal serait de ne point y croire et continuer à exister selon une idée : celle de l'optimisme... Substine et abstine. Jean Canal. 3 avril 2019.
Le débat des idées est également celui des citoyens qui veulent réfléchir sur un avenir meilleur. Les conjectures des différents problèmes majeurs de notre société précisément nous obligent à la concertation. C'est même un devoir au regard de nos enfants afin d'essayer de leur préparer un parcours social avec moins de difficultés. Ce sont plutôt les clivages politiques qui nous assignent à une pensée déterminée par une idéologie.  Désirons-nous changer les choses pour son bien propre ou au profit de la généralité ? A priori, le mode de vie de chacun ne fait pas l'unanimité. Il y a ceux qui ne feront jamais partie du troupeau, pour des raisons de parcours idéologique. On en pensera ce que l'on voudra selon l'obédience politique à laquelle on se persuade d'appartenir sans jamais remettre en question ses propres idées de crainte de froisser le parti de référence, Emmanuel Macron fut à la hauteur intellectuelle des responsabilités que la présidence lui incombe au regard des français. Un Président digne de continuer à essayer de sortir la France des difficultés économiques dans laquelle les crises antérieures à son mandat l'ont plongée. Un débat d'idées donc avec et entre des intellectuels éminents de la pensée qui anime ce pays depuis l’avènement de la 1er République, redevable des penseurs précédents.  Tous les sujets qui en valaient la peine, comme aurait dit le Général de Gaulle, en pareille occurrence..., furent évoqués de façon à en extraire l'essentiel. N'en déplaise à d'aucuns, absents de cette invitation ayant été sélectionnée sur un choix épistémologique de la pluralité intellectuelle, ce débat est une anecdote en soi, dans la mesure où il corrobore effectivement la volonté du peuple de remettre en question nos "Institutions", inadaptées au XXI° siècle. Evidemment, le plus important reste à faire, afin que l'équité sociale apaise les situations des personnes sans perspective. Il est heureux de posséder autant de penseurs que ceux-ci, ayant consacré un intérêt dans les préoccupations de la France. Tant de pays sont privés de la simple parole, tandis que chez nous le verbe fait foi à la pensée, en préservant une certaine liberté d'expression dans la lignée de la controverse officielle de la politique actuelle ! Jean Canal. 19/22 mars 2019.
POUR LE CLIMAT Une once d'attention pour le CLIMAT. Notre planète désespère de notre indifférence ; c'est-à-dire de son pillage : matières premières exploitées pour le profit, uniquement le profit ! C'est sur cette forme de préambule qu'il faut présenter l'état actuel de notre patrimoine universel en déliquescence avancée. Le monde se meurt et nous avec. Nous, passe encore, mais nos enfants et petits enfants, non ! Nous ne pouvons pas faire l'autruche sur un héritage que nous avons dilapidé...sans partage équitable ! C'est le fondement de la conquête des nouvelles énergies qui alimente notre pensée devenue virtuelle ! En supprimant le sens critique des citoyens qui ne raisonnent plus que sur et d'après des modèles officiellement institués notamment dans le mécanisme de la pensée commune, le pouvoir de décision s'est définitivement instauré, immiscé, dans les esprits dictant le comportement de chacun, conforté par le groupe et qui pis est la collectivité. Et cela dans tous les secteurs de la consommation ; qu'elle soit virtuelle, matérielle et notamment rationnelle ! En quelques mots (maux) pour conclure : il est trop tard ! Trop tard pour revenir en arrière ! Trop tard pour s'excuser et demander pardon ! Trop tard pour réparer ! Il nous reste l'humilité pour faire preuve de ce Mea-Culpa qui consisterait à formuler un vœux pieux sur notre crime universel : «que la fin soit sans souffrance et que les plus jeunes d'entre nous en réchappent à dessein de rebâtir un monde meilleur où l'égalité rayonnerait sur la paix des peuples.» Jean Canal. Celui qui ne suit ni les Gilets Jaunes, ni la marche pour le climat. Dimanche 17 mars 2019.
Une mobilisation mondiale à la faveur de la jeunesse seule qui prit cette initiative que les adultes eurent du mal à exprimer ! C'est donc cette jeunesse qui pèsera dans la balance des pouvoirs politiques au cœur des pays, en exigeant des mesures rapides pour pallier au processus irréversible du chamboulement climatique qui ne freinera pas sa course malgré les mobilisations ! Cela la jeunesse semble l'avoir compris. Il faut donc aller vite, très vite si l'on veut sauver ce qui peut encore l'être !  Les dernières bonnes nouvelles des catastrophes imputées à l'activité de l'homme, est celui sur l'eau rationnée en Afrique du Sud qui a tari ses nappes phréatiques, comme le fit la Californie ayant connu des incendies spectaculaires ! Les exemples de mauvaises gestions des ressources planétaires ne manquent pas et pourtant rien ne peut stopper cette dévastation, comme si chacun misait sur le sursis de son propre avenir dans une société virtuelle ! Les politiques indolentes participent de cette catastrophe mondiale ; quand bien même quelques effets d'annonces attestent de la volonté d'entreprendre des réformes vers la "transition écologique..." afin de réduire notre impact de pollution sur l'environnement qui se réchauffe rapidement. Le prochain été sera chaud, très chaud, mais moins que celui qui lui succédera ! Une certitude cependant, nous avons réussi à nous entre-tuer, sans coup férir. Salut et vive la jeunesse. Jean Canal. 16 mars 2019.
«Les Français sont le peuple de la nouvelle religion (celle de la liberté), c'est dans leur langue que sont écrits les premiers évangiles et les premiers dogmes. Paris est la nouvelle Jérusalem.» Heine 1828 .
L'apolitisme « est un refus de tout engagement politique à partir de motivations ou de justifications diverses. Il constitue le plus souvent une affirmation d'indépendance de la part de certaines organisations. »
C'est une définition en règle qui me convient. Elle est donnée par les encyclopédies officielles qui complètent la définition qu'il en est faite de la part de ceux qui en ont déduit que « L'apolitisme est souvent une position personnelle liée à un refus volontaire de se situer sur le terrain politique. Au-delà de ce simple positionnement, l'apolitisme peut aussi se traduire par de la lassitude ou du désintérêt pour la vie politique en général.» Il y aurait de quoi, effectivement se désintéresser de la politique, comme les abstentionnistes le firent comprendre aux dernières élections régionales et présidentielles en France. Être apolitique ne repose pas forcément sur une déception de la politique menée et/ou de convictions qui ne se retrouvent pas dans l'idéologie relative à chaque parti, comme il est établi en France, par une lutte idéologique prononcée et décisive dans le choix électoral. L'apolitisme peut signifier son refus catégorique d'engager son « honneur » au sens patriotique du terme, au regard de l'histoire et des valeurs humaines qui ont été adoptées en faveur d'une idéologie formulée sur des concepts sociaux paradoxaux aux idées que l'on se fait d'un système social ! Les événements bouleversants, engendrés par une cause défectueuse imputée à une politique contradictoire à la logique des idées consensuelles de la nation, peuvent, en effet, engendrer un échec sociétal, voire démocratique pour l'ensemble des collectivités antinomiques qui la composent : de là, née la fracture sociale ! Souvent dans son histoire, la politique est rattachée à la nation qui s'érige, en garantissant la citoyenneté égalitaire à travers ses institutions -libertés intrinsèques tombant sous le coup des lois qui préservent la paix sociale.
C'est plutôt un détachement, une lassitude s'immiscent dans ce devoir civique abandonné des affaires institutionnelles relatives à la politique qui en fait son cheval de bataille. L'expérience justifie ce choix personnel, dont la raison se trouve par contre dans le manque de moralité intellectuelle des politiciens, trop récurrente pour crédibiliser ce concept de la réflexion relevé à bon escient par John Looke et Alexis de Tocqueville dont l'esprit agrège une adéquation des sciences sociales dispensées dans un pouvoir partagé entre le peuple et ses dirigeants (bannissons, ici, le royalisme qui ne prévaut plus, aujourd'hui, face à un libéralisme liberticide pour l'humanité -quant à l'aristocratie, elle fut intégrée dans les bourgeoisies sociales). L'actualité témoigne régulièrement de la complexité d'établir encore de nos jour un système politique en adéquation avec les aspirations du peuple, en continuelle mutation socio économique dont dépend l'égalité sociale.
L'apolitisme, donc, convient à ceux qui sont peut-être trop exigeants envers leurs représentants politiques, élus dans une démocratie toujours en quête d'amélioration, et qui ne répondent jamais aux attentes des doléances citoyennes formulées par le choix de l'urne ; c'est sur ce point que repose le discrédit de ce système politique ! Les récentes manifestations populaires n'ont-elles pas, en quelque sorte, réfuté un système sociétal qui ne convient plus à un mode de vie incompatible avec les exigences politiques imposées par une évolution scientifique synonyme de l'apogée universelle des progrès?! Le problème de fond, lui, demeure intact dans la mesure où reste à adapter une société presque idéalisée par des citoyens comblés par ces bienfaits matériels dont ils revendiquent le renouveau marchand (avez-vous votre dernier I Phone ?). Ces nouvelles communautés fraîchement émoulues des différents courants de pensées qui incombent aux mouvements socioculturels et cultuels (doit-on évoquer le cultuel, aujourd'hui dévoyé par l’extrémisme actif ?), cultivés par des classes scindées en pré-carrés de valeurs artificielles, représentent la société réelle de ceux qui se reconnaissent dans une valeur historique aux fondements de l'humanité. Fondues dans un ensemble de collectivités antinomiques, vivant dans un agglomérat de diversités identitaires opposées et non complémentaires, par un héritage idéologique, les communautés sociales se referment sur elles-mêmes pour se protéger, par crainte de perdre leur héritage relatif à leur idéal de vie ! La société vient de rencontrer ses propres difficultés à continuer à exister selon un schéma en érosion permanente, lequel est conçu selon des schèmes sociaux liés à des injonctions économiques précarisant le tissus social et fracturant les relations entre individus ! Une valeur autre que celles revendiquées par les Gilets Jaunes placerait l'individu face à des responsabilités collectives dont il est tributaire par le simple fait d'exister au sein du groupe. Sa responsabilité concernant l'état actuel de la situation conjoncturelle, est entière ! Aucun plaidoyer pour en défendre les décisions optionnelles effectuées au cours du XX° siècle...  Et pourtant l'individualisme auquel je fais allusion, certains l'ont compris, est celui de Mounier, le fondateur de la Revue la plus intellectuelle encore actuellement : Esprit ! Loin de l'hédonisme qui est synonyme d'égoïsme chez ceux qui confondraient ce courant de pensée à l'origine grecque, issu de la philosophie d'Épicure, le comportement de Mounier repose, lui, sur une prise de conscience de la généralité sociale que 'l'individu' doit appréhender de façon à éviter non seulement d'en dépendre aveuglément, mais de cautionner consciencieusement un système délétère, tout en ayant l'impression du contraire, conforté par l'idée de généralité pensante ! Le moyen d'y pallier : agir individuellement en refusant catégoriquement l'asservissement social qui repose sur l'acceptation global d'un processus reconnu unanimement par l'ensemble des acteurs sociaux, ayant valeur de référence pour en créditer la forme ! Appuyé par un système politique qui répond positivement aux enjeux économiques générés par le mécanisme de la mondialisation, le système social actuel est suicidaire face au défit que le chamboulement climatique nous a lancé depuis quarante ans, déjà ! A ce niveau l'être, dans son individualisme le plus indépendant des apparences sociétales qui le sollicitent, est capable de frapper de grands coups, sans ne jamais utiliser de violence physique. Le rejet du consumérisme et l'adoption dans sa pratique de la décroissance peuvent réduire, drastiquement, la consommation globale d'un système attentatoire qui au climat, qui à l'espèce humaine. En lui portant un coup financièrement décisif, dans son renoncement à un mode de vie contradictoire avec les valeurs essentielles de l'existence ! D'un point de vue individuel, l'impact n'est pas mesurable sur l'échelle ayant influencé le comportement qui en découle, tellement le conditionnement asservi la majorité populaire représentative de notre entité sociale !
Il y a comme une espèce de démagogie de la part de ceux qui s'accaparent la parole par des allégations excusant l'usage tronquée de la démocratie ! C'est le référent facile qui protège contre l'atteinte qui pourrait lui être portée ! La démocratie est un mot passe-partout qui permet de justifier une position politique, qu'elle soit contradictoire aux principes-mêmes qu'elle valide, ou bien par les perspectives de libéralisme laissées à l'appréciation des électeurs ; puisqu'il faut passer par les urnes pour affirmer sa volonté d'équité sociale ! Hélas ! La situation actuelle ne laisse augurer rien de bien salutaire en matière politique, non pas parce que les courants d'extrêmes droites se manifestent en Europe, resurgissant du passé comme des fantômes, mais tout simplement parce qu'une seconde crise économique guette les sociétés prises au piège de leur économie volatile et qu'un chamboulement climatique exige des compte à rendre ! Nous n'avons que la société que nous méritons. Et pour lors, nous n'en méritons pas une meilleure. Jean Canal. Réflexion sur les derniers événements survenus en France. 13 mars 2019.
« La France est à nous ! » Qui sont ces prétentieux qui revendiquent un pays constitué de plus d'un tiers d'étrangers-français ? Leurs noms, s'il vous plaît, que l'on puisse savoir à qui nous avons à faire, nous, les français de souche qui ont toujours pratiqué l'hospitalité et l'intégration. On ne nous demande jamais notre avis, comme si nous n'étions que des apatrides dans notre propre pays ! Naguère ce fut une tradition de respecter ceux qui venaient d'ailleurs pour vire ici. La trahison de mes compatriotes durant la dernière guerre mondiale, au cours de laquelle ils dénonçaient leurs voisins (ce qui n'a pas trop changé aujourd'hui, à l'exception que ceux sont les étrangers-français qui vous dénoncent), a laissé des souvenirs indélébiles que les commémorations annuelles ravivent en agitant les mémoires. Tout le monde n'a pas la même conception de l'histoire, d'après la haine déferlée sur Alain Finkielkraut qui nonchalamment voulait rejoindre la marche des 'manchots', ce samedi 16 février, à Paris. Heureusement que les CRS étaient sur place pour encadrer le philosophe de France Culture, lequel diffuse une émission de pluralité intellectuelle : « Réplique. » à 9h le samedi. Le dimanche matin, je ne saurais trop vous recommander d'écouter, itou, « Question d'Islam » animé par Ghaleb Bencheikh* . Les Gilets Jaunes ont, ce samedi 16 février, révélé la mentalité d'une partie de leurs effectifs, qui dans leur grande majorité, entretiennent la haine violente à l'encontre de tout ce qui ne pense pas comme eux ! C'est déjà une atteinte portée à l'encontre de la liberté d'expression. On se serait cru sous la terreur de Robespierre ! Quand la révolution française décapitait son ancien régime, détruisait son patrimoine et réglait de vieux compte entre voisins...comme ce sera le cas en 1944, lors d'une épuration aveuglée par la haine. Attention au revers de l'histoire ! La prochaine guerre civile en France fera énormément de victimes... Les français de vichy veillent et attendent patiemment l'opportunité politique pour agir ! L'homme est un animal ! Le plus destructeur ! Et quand un animal est malade, il faut l'abattre, sinon il contamine les autres bêtes...Jean Canal ; bien sûr. 17 février 2016.
*Ghaleb Bencheikh El Hocine, né en 1960 à Djeddah en Arabie saoudite, est un docteur ès sciences diplômé de l'Université Paris-6 Pierre et Marie Curie. Il est islamologue et président de la Fondation de l'Islam de France.
Les débats qui devraient attirer l'attention pour les citoyens qui se sentent concernés par l'évolution sociale du pays, sont ceux des médias qui commentent, analysent et développent des thèses citoyennes sur lesquelles reposent les causes d'une crise nationale de nos institutions inadaptées à résoudre les problèmes présents. Le peuple, la populace, les milieux populaires, appelez-les comme vous le voulez, ont une part de responsabilité dans les politiques qu'ils ont défendues depuis la fin du règne de François Mitterrand, en glissant ou pas des bulletins dans l'urne ! Lors de cette "prise de conscience antisémite" d'Emmanuel Macron qui se rendit au mémorial de la Choa, une française juive héla le Président en rappelant, haut en fort, son malheur et ceux des six millions de juifs sacrifiés en 1942. Manque d'autorité de l'état ? Laxisme de la justice qui minimise des faits banalisés par des actes récurrents, antisémitisme, racisme et violence gratuite se sont instaurées dans le quotidien ! Des français s'arment ! Ils attendent le moment de passer aux actes meurtriers ! Nous sommes au bord de l'éclatement chaotique de la nation. Les discours, les débats citoyens et ni les hommes ne convainquent plus personnes, même si quelques uns font semblant de l'être ! Jean Canal. 19 février 2019.Il semblerait que quelques mouvements dits sociaux aient pris d'assaut des points stratégiques du territoire national, ayant pour fonction de réguler la circulation routière de sorte à réduire les accidents de la route. Des aménagements de fortune, édifiés moyennant des récupérations de matériaux, glanés ci et là, sont érigés dans le but de constituer des abris où des points de consommation alimentaire y sont disponibles pour ces quelques manifestants qui revendiquent une vie sociale moins difficile. Les revendications desdits et des dites (parité démocratique oblige), reposent notamment sur une démocratie directe, à l'instar des Suisses qui, disons-le sans ambages, cultivent l'art de la discipline individuelle pour le plus grand bien de leur nation ; et ce système fonctionne correctement. C'est sur cette différence identitaire que les gaulois se confrontent, étant particulièrement connus pour ouvrir leur gueule en ne disant rien qui fît progresser ces changements que l'on risque d'attendre jusqu'aux calendes grecques ! Généralement, les révoltes cessent durant les périodes de vacances ; ou du moins réduisent leur intensité. Pour lors, les médias ont couvert les manifestations dans les quatre coins de l'hexagone, en commentant l'évolution des confrontations qui ont dégénérées avec les forces dites de l'ordre, selon des critères politiques ancrés dans les principaux partis en lice des déambulations contestataires des manifestants. En ce samedi 16 février 2019, les Gilets Jaunes (c'est sous cet intitulé que se sont identifiés les dits en question, en revêtant un effet de la couleur), réitèrent leur volonté d'obtenir satisfaction auprès du Gouvernement qui entretient un langage univoque, fidèle au pouvoir légitime que la majorité des français lui conféra aux présidentielles de 2017. Faisant fi des violences que cet événement a provoquées durant plus de deux mois, déjà, l'état nation a opté pour le maintien d'une politique effectivement choisie sur des critères d'économie ultra-libérale, lors des élections sus-citées précédemment à cette dernière phrase. Le bilan de ces anecdotes qui ont gravement perturbé le fonctionnement de la société, se solde par un échec patent, prévisible par l'analyse réalisée au cours des dernières décennies de gestion politique du pays. Le laisser-faire de la part des présidents successifs aux mandats électoraux traduit une situation qui ne présente guère d'amélioration pour l'avenir des français défavorisés par ce laxisme politique ! En réponse, la répression tente de venir à bout de quelques récalcitrants identifiés aux casseurs notoires. Les dommages corporels et matériels survenus durant chaque semaine des manifestations, ont démontré que cette situation aurait dû être résorbée dès les premiers jours, afin d'éviter des incidents dont l'ampleur a causé la mort de plusieurs personnes -l'état crut, à tort, que cette agitation de rues ne durerait pas. Une lassitude s'instaure d'elle-même au cœur de l'actualité, de telle sorte que la majorité des français souhaite une solution rapide, afin que l'unité nationale soit retrouvée, dans le calme souverain. Acculés à une force populaire qui se fait de plus en plus menaçante, les institutions tardent à satisfaire les priorités sociales qui ne peuvent souffrir plus longtemps de carences prolongées par une crise pérennisée en amont des glissements économiques connus. Le problème de fond réside, comme d'aucuns n'ont eu cesse de le révéler dans la sphère intellectuelle, pendant quarante années, dans notre mode de vie collectif devenant incompatible avec les enjeux du XXI° siècle : une transition énergétique fondée sur l'abandon de nos habitudes consuméristes ! Pour lors, une attitude individuelle revêt une force dissuasive à l’échelle nationale, en refusant catégoriquement une système essentiellement basé sur la consommation ! Une réduction drastique de nos mimétismes aurait pour conséquence d'éradiquer un surplus de consommation qui profite à la productivité internationale ! Cela exige une rigueur proche de l'ascétisme qui dépend de notre volonté commune. Il semblerait qu'une infime minorité, ne comprenant pas les bos-bos ; s'entend, aient, depuis longtemps, opté pour ce mode de vie, en conformité à une éthique naturellement propre... N'étant pas encore suffisamment prêt pour adopter cette philosophie de vie, il nous faudra alors faire face au chamboulement climatique qui fera abdiquer les politiques devant les faits accomplis. Salut ! Jean Canal. 16 février 2019.
 Il semblerait que notre époque soit perturbée par des dérèglements hormonaux qui agitent la gente féminine, sujette à une excitation sexuelle intense. Ce sont les réseaux coquins en ligne qui l'attestent.« On » accuse une forte demande des rencontres incestueuses, désormais entrées dans les mœurs, voire us et coutumes de nos vieux usages de la vie conjugale, en berne ! Les femmes baises toujours, si ce n'est plus, selon les chiffres ; mais elles refusent la gestation, déniant un rôle qui se résume à la seule maternité.1 au pis 2 enfants suffisent dans les nouveaux couples qui se recomposeront en de nouvelles familles ! Bref ! La France est un modèle sexuel avéré. Jean Canal. 22/02

«...remodeler les imaginaires afin de pouvoir transformer le réel*»

La leçon de démocratie d'Emmanuel Macron a rappelé que les doléances ne conviennent nullement à la République qui fonctionne sur des droits et des devoirs. Un débat unilatéral qui ne fit que répondre aux problèmes majeurs de la société française en argumentant que la société dépend d'un système économique européen ! La planche à billet de la banque de France ne peut redistribuer de l'argent qu'elle ne produit plus. Les difficultés gouvernementales ne semblent pas être comprises par les Gilets Jaunes et d'aucuns ancrés dans la lutte partisane des politiques devenues inadéquates aux conditions d'adhésion européennes. Perdre de vue l'endettement de la France et les règles européennes qui obligent chaque état à verser une somme proportionnelle à chaque PIB, serait oublier les engagements prix en acceptant l'adhésion à l'Europe ! Faut-il rappeler aux irréductibles gaulois que le retour des riches (qui fuient le pays pour aller investir ailleurs) et le maintient de leurs entreprises en France à généré plus d'argent que l'impôt qui leur fut soumis (évidemment, ce n'est pas un langage socialiste) ?  Les violentes manifestations des Gilets Jaunes qui renvoient le Président à sa propre personnalité piégée par sa politique égocentrique, ont obtenu des résultats parlementaires. La présidence est un exercice difficile qui a éprouvé le Général de Gaulle, Mitterrand, Sarkozy et François Hollande qui fit les frais de renoncer à poursuivre son engagement politique ? Oui ! Le peuple peut perdre la raison quand il s'agit de sa survie. La lettre d'Emmanuel Macron semble un long monologue que le Président s'adresse en fait à lui-même comme pour se rassurer que son pouvoir résiste aux révoltés. On ne dupe plus le peuple, certes, quand bien même ce dernier serait-il inculte sur des thèmes fondamentaux de l'histoire contemporaine, il a prouvé que l'essentiel se résume au quotidien. Néanmoins, l'économie de la France demeure fragile et ne tient qu'à quelques décisions politiques. Demander l'impossible pour obtenir des résultats incohérents, relève bel et bien de l'utopie. Somme-nous revenus au monde d'Etienne Cabet*, dans un imaginaire politique où "la communauté" se plie aux formes nouvelles de la vie en société réglementée aux exigences d'une éthique sans contrainte déplaisante ! ? Dans le monde de cet utopiste* qui repensait le communisme, les célibataires étaient considérés comme pouvant convoiter les femmes mariées... Allez, salut ! Jean Canal. 18 janvier 2019.«Il y a deux manières d’écrire pour le Peuple ; l’une, (…) d’embrouiller et d’obscurcir les choses simples et claires, souvent pour avoir l’air d’être savant ; l’autre, d’éclaircir les choses les plus embrouillées, de faire de la science sans le dire et de tout faire comprendre en employant la langue vulgaire.*» 
UN MIRACLE. Voilà ce qui manque à notre espérance ! Seule une apparition céleste pourrait nous redonner espoir de croire en l'avenir. Il nous faut un nouveau miracle ! Une espèce de manifestation de l'au-delà ! Le renouement avec les anciennes croyances. Les prophéties des anciens enfin réalisées, comme il le fut écrit, au pied de la Lettre ! Nous avons adirée la foi en des vaux d'or bibliques, reniant les cultures traditionnelles troquées pour quelques peccadilles économiques qui nous ont dévoyés de l'essentiel ! Le mimétisme que nous avons adopté pour pallier à nos souffrances, a conditionné notre existence de sorte à s'être écarté des valeurs humaines.
Il nous faut un nouveau miracle, frais émoulu du fond des âges, comme ceux d'autrefois, quand les femmes d'abord, enclines à épouser la sensualité de l'amour, puis les hommes enfin, emplis de doute et d'orgueil, se ruèrent vers les lieux devenus soudainement saints.
Le miracle universel, dédié à l'humanité. Celui qui redonnerait sens à la vie ! réconcilierait les peuples entre eux.
Le Miracle du XXI° siècle qui instaurerait la paix sur le monde, en signe de fraternité éternelle !
La découverte du bonheur attesterait enfin des valeurs humaines que les prophètes nous ont maintes fois évoquées, au cours de l'histoire de l'humanité, comme pour nous insuffler la confiance mutuelle entre les êtres... Jean Canal. 20 janvier 2019.

Le Savoir a t-il été confisqué ? Et pour quelle raison l'eût-il été ? Auquel cas, pour quel autre intérêt, si ce n'est celui d'en limiter sa diffusion et maintenir dans l'erreur et non l’obscurantisme la grande majorité de la population mondiale. En suggérant que ce fût le cas, puisque il y a près d'un demi siècle (étrangement avec le Plan Marshall) les bases de l'instruction générale de l'enseignement, en France subirent quelques modifications dans leurs programmes de fond ; et cela non pas pour l'enrichir, mai l'étirer comme une peau de chagrin. On aurait pu attribuer ce changement à l'évolution de(s) société(s) qui se débarrassaient d'un passé lourd d'histoires nationales difficilement assimilables dans la contemporanéité, incessamment renouvelée. Pour des raisons ignorant la nécessité d'instruire un peuple, « le Pouvoir » opta pour le sens pratique qui répartit les tâches subalternes de la fonction étatique, en des secteurs qui exigent une main-d’œuvre formatée à la compétitivité internationale. Les conséquences de cet événement politique eurent échos en 1968 dans un mouvement de foules qui revendiquèrent une augmentation des salaires et une amélioration des conditions de travail ; sans pour cela remettre en cause tout un système qui continuait à scinder par strates de fragmentations éparses les classes sociales confortées dans leurs idéologies. Chris Marker relève dans son reportage « Le Joli Mai » le témoignage d'un étudiant de Droite qui ne peut s'exprimer librement à la tribune populaire des universités ! On se souviendra volontiers, à cet effet, des Enragés de 1789 et ceux qui ensuivirent, condamnant à la guillotine, Lavoisier et tant d'autres personnalités de la science, de l'histoire et de la littérature, parce qu'ils avaient eu le malheur de naître sous le signe de la noblesse. De nos jours, des patronymes avec une particule ont épousé des idées dites de gauche, voire socialistes, au demeurant néo-libérales, sans encourir de préjudices moraux ou/et sociaux. Soyons d'actualité et forçons le trait de la réalité conjoncturelle en nous intéressant aux réseaux sociaux qui pullulent et abondent sur internet de sorte à brouiller une actualité que les médias en ligne exploitent de façon sélective afin d'obtenir la première place dans leur diffusion... Et ils ne manquent pas de préciser le contenu de leur rédaction, au cas où l'idiot se tromperait de réseau ! Bref ! Quant aux animateurs, eux aussi, choisis précautionneusement pour répondre favorablement aux attentes de la Direction, ils s'adonnent à un « je » de rôle authentifiant cette actualité, plus particulièrement politique, à la faveur d'un public comblé qu'on lui révèle enfin la vérité. De cette vérité, il n'en fera rien ! Il continuera à la subir, en ayant l'impression de ne pas être l'objet d'un système rôdé à l'exercice de la rhétorique ! Cependant, les très bons journalistes existent. Il s'évertuent de réaliser une analyse circonspecte de sorte à se rapprocher au maximum de cette vérité. Leur méthode ? Synthétiser la complexité des conjectures internationales en en extrayant le plus important qui devra donner au lectorat les clefs pour enfin savoir ce qu'on lui cache tout en lui exposant la réalité...

Ce serait un faux débat que de vouloir ou du moins avoir la prétention de remettre tout en question. Les vieux de soixante-huit soutiendraient que « leur petite révolution » qui maintint la droite au pouvoir avec l'élection de Georges Pompidou, apporta de majeurs changements dans les libertés sociales -ne nous trompons pas de débat : celles des femmes arriva péniblement plus tard ! Les années soixante-dix, elles, oui ! Furent le vecteur du chamboulement d'idées ! A suivre. C'est sur presselibre.fr et en lien sur tous les réseaux qui en méritent la publication... Jean Canal. 30 octobre 2018.


Emmanuel Macron est-il confronté au manque d'expérience du pouvoir qui a piégé, jusqu'alors Nicolas Sarkozy et François Hollande qui furent écartés d'un second mandat ? Mitterant, lui, en fut avisé par sa longue expérience, notamment sous le gouvernement de la IV° République de Mandes France, en occupant les fonctions de Ministre de l'Intérieur... Destitués par la force de l'urne, les deux prédécesseurs d'Emmanuel Macron ne purent mener à terme une tâche présidentielle à sens unique, comme le firent François Mitterant et Jacques Chirac repêché par les socialistes aux élections de 1996. Macron semble suivre une analogue pratique qui finit par débouter les élus de leur mandat (les démissions gouvernementales récentes attestent du malaise actuel). A l'heure présente, on peut présumer de la non réélection de ce jeune président qui n'a pas vu venir le danger que représentent les oppositions politiques pour tout pouvoir reconnu souverainement. Sous couvert de pluralisme et de social-démocratie, adaptée selon les tendances socio économiques, la France républicaine se conforme encore aux principes libéraux de 1791. Attachée à ses valeurs édulcorées avec l'évolution politique (V Républiques en deux siècles), la France a fini par perdre son visage traditionnel, celui que les Lumières avaient façonné sous des traits composés d'idéalisme national, aspirés sous l'ancien régime. L'effondrement de la monarchie sonna définitivement le glas de la perpétuelle reconduction des valeurs ancestrales ! Eric Zemour, le pamphlétaire télévisé briguant des émissions puériles pour imbéciles utiles, commet l'erreur de croire à ces valeurs définitivement déchues. La France appartient à l'avenir des nations européennes. Son passé ne sert plus désormais que l'histoire, souvent à défaut, compte tenu des attentats que le sol français a connu, en fauchant des français musulmans, chrétiens, juifs et des gens sans obligation religieuse confirmée. Son visage a perdu de sa superbe. La France n'est plus qu'un vague souvenir d'images d’Épinal collées sur les livres d'histoire que d'aucuns férus de passéisme et de nationalisme tentent vainement de faire revivre intellectuellement ; car la politique contraire aux valeurs républicaines ne viendra pas à bout de cette évolution. Une page donc est tournée et l'avenir commande d'aller de l'avant si nous voulons durer dans le temps et demeurer à une place située aux premiers rangs de cette même histoire. Et cela, aucun politique ne peut en être le dépositaire, étant donné que la France dépend du monde et de l'Europe ! Jean Canal. 6 octobre 2018.

DE LA RENTRÉE LITTÉRAIRE 2018

Vue par L'EXPRESS ; VUE PAR TELERAMA ; VUE PAR L'OBS

Ecrire pour qui, pour quoi et pourquoi pas ! ?  Les gens qui écrivent sont de plus en plus nombreux. La plupart s'y mettent sans scrupule divulguant des vérités personnelles qui sont sensées apporter une information intime sur la vie de l'auteur qui, le plus souvent, se dissimule derrière ses personnages fictifs ou bien réels. Chaque année, les sélections peuvent être et elles le sont sujettes à caution ; c'est-à-dire que les maisons d'Edition mettent en exergue leurs romans afin d'obtenir une prime place dans les classifications honorifiques destinées à récompenser qui l'auteur qui l'éditeur. De la littérature, on ne tient compte que de la tendance du lectorat qui attend qu'on lui raconte ce qu'il veut lire. Ecrire donc pour les autres et sur les autres, en tenant compte du jugement des lecteurs, serait l'exigence de la rentrée littéraire de ces dernières décennies. Ecrire pour soi sans tenir compte des formes dévoilées pour exprimer librement sa pensée et lui permettre un envol dans l'espace temps risque toujours de réduire le nombre de lecteurs qui n'aiment point se retrouver dans les lignes ; quand bien même ne seraient-ils point cités ! Une situation paradoxale voudrait que nous appliquions une censure sur nous même, en nous privant de cette propension à libérer la pensée de contraintes morales dans une société qui, immorale et hypocrite, la critique sur tous les plans. Se priver et en priver les rares lecteurs qui vous postent via le net "continuez à écrire" de, effectivement, écrire pour le seul plaisir d'écrire pour soi-même, sans tenir compte des attaques puériles de la gente idiote, est un acte de révolte que ces derniers sus-cités ne sont pas capables de pratiquer ! En fait, toute la société est fondée sur le relationnel qui régie les rapports humains, dans un esprit de favoritisme effectivement mercantile. Le niveau général d'une culture sociale s'est intentionnellement étiolé, comme l'ont constaté les observateurs du milieu intellectuel français en tirant un bilan désastreux de notre société. "On" a misé sur d'autres valeurs qui reposent plus spécialement sur le mécanisme économique consistant à préserver les outils de production dans ce domaine ! La littérature a été impactée de sorte à se conformer aux courants de lectures actuels qui se doivent de répondre à la demande, comme la loi de son offre. Regardez-y de près et vous vous rendrez compte de cette évolution dont les rapports résident dans une espèce de consensus qui n'a de valeur que le maintien de ce système.   Le pire est la presse officielle qui ne fait qu'exploiter des événements de peccadille pour attester de son rôle dans la chaîne de l'information. Jean Canal. 23/24 août 2018.


Promenades à Aix, la ville d'art et d'eau. Une architecture Empire pour y perdre ses pas...

POLICE/MUNICIPALITÉ.  Aix-en-Provence rénove, innove et renforce sa police (phénomène général). Le suicide du policier en début d'année 2018 est-il un facteur de pression sur la profession qui se devrait à plus d'exigence déontologique ? Chaque année, des flics, des gendarmes mettent fin à leur jour ! La société modifie ses modes de fonctionnement que les services de sécurité doivent savoir appréhender dans le cadre de la criminalité exponentielle dans son épistémologie caractérisée : agressions, drogues et incivilités en sont les principaux facteurs. Réformer pour mieux d'efficacité au sein des agglomérations, serait la solution qui repose sur une autre manière de présenter la profession dans les villes. L'omniprésence de la police dans les lieux les plus fréquentés ne suffit pas à résorber entièrement la criminalité ; dans le Sud, Marseille en donne constamment la preuve : manque de moyens et d'effectifs, argumente la police ! C'est que la démographie qui entraîne l'expansion de l'agglomération devenant tentaculaire, augmente les risques de criminalité ! Dans un bourg, un village, la dénonciation courante est par contre confrontée à des règlements de compte de voisinage qui aggravent la vie en société (la gendarmerie en porte la principale responsabilité, puisque c'est elle qui supervise la loi) ! Une ville comme Aix qui baigne dans un milieu universitaire, propice à la consommation de stupéfiant, baigne dans un cadre culturel  qui écarte la voyoucratie marseillaise des principaux pôle de trafic en tout genre, circonscrite à la localité. Les zones de non droit sont rares par rapport à Marseille ne possède pas les forces suffisantes pour éradiquer complètement le crime !Plus les villes grandissent, moins leur contrôle est possible ! Quand bien même les surveillances par caméra facilitent-elles le recoupement d'informations sur un individu suspect, le crime n'en est pas moins écarté ! Jean Canal ; bien sûr. 27/28/29 juin 2018. en se baladant dans les ruelles aixoises où la police n'a pas manqué de zèle excessif sur désinformation intentionnelle de la part de la gendarmerie...ariégeoise (1 contentieux est à l'origine de cette basse attitude) ! Considérer la fonction du policier est évidente, lorsque la pratique de la profession repose essentiellement sur une présence ostentatoire qui n'obtient pas les résultats escomptés, dans le cadre de la dissuasion (l'usure est aussi à l'origine des dépressions psychologiques qui les poussent au suicide) ! Et c'est en constatant ce genre de dérives professionnelles qu'apparaissent les carences qui rongent la profession essoufflée ! A bientôt.   

MARSEILLE EN DIRECT AVEC JEAN CANAL

Photo Jean Canal. Au fond, à droite, où se dressent les grues, les anciens entrepôts des Docks aujourd'hui rénovés et adaptés aux nouvelles exigences architecturales européennes, répondant à un esthétisme contemporain analogue à celui de Le Corbusier, avec la maison du Fada. Les Américains se sont donc appropriés une partie de ces immeubles aménagés en appartements grand standing. Des américains à Marseille, c'est dans la culture locale, en souvenir de la French Connection. De la criminalité en cette ville, une analyse certes succincte en déduit le déclin du crime dans l'hyper centre, notamment.  En effet, contrairement aux idées reçues, selon les tendancieuses conjectures sociétales traitées objectivement par une presse vindicative qui exploite malignement les faits divers à sensation, connotés dans le cadre criminel, Marseille change ses obsolètes méthodes policières, lourdes et surannées (depuis les années 80, le comportement d'un flic n'avait pas changé : la chaîne en or  autour du coup et au poignet ont disparu...ainsi que le vocabulaire vulgaire et populaire usités à brûle-pourpoint...). Une surveillance accrue a porté ses fruits : la capitale du crime perd de sa superbe (les Francis Le Belge, les Tani Zampa et leurs successeurs ont disparu) : les conflits entre banlieue pour les réseaux de la drogue ponctuent encore l'actualité, en attendant leur éradication définitive ! Les criminels n'auront bientôt plus droit de cité... L'uniforme certes rassure toujours le citoyen (et c'est le but de se montrer pour effrayer comme les épouvantails avec les corbeaux), mais ceux sont les flics en civil qui, confondus dans la masse, indissociables et méconnaissables, discernent désormais le malfrat du quidam éventuellement victime ; ils opèrent dans l'anonymat complet, invisibles et procèdent à des recoupements qui soldent la criminalité  ! Bravo ! Les importants chantiers d'assainissement de quartiers à risque, situés dans le centre ville (entre la gare, la Porte d'Aix et les Docks), imposent une attitude citoyenne à tous dont les marseillais sont les premiers bénéficiaires, toutes tendances religieuses confondues : Marseille doit rester le port qui accueillit durant plus de deux mille cinq cents ans, des Grecs, des Maltais, des Arméniens, des Italiens, et toutes les civilisations du Maghreb ! En comparaison à Aix-en-Provence où agit encore une petite délinquance en centre ville (drogues, vols à la tire et agression découlant des incivilités), et contrairement aux apparences (c'est en étant sur le terrain, et non assis derrière un bureau, certes confortable...que l'on peut, messieurs les politiques de proximité, observer le fonctionnement d'un système sociétal), la ville d'art et d'eau reste paradoxalement la proie des racailles ! Jean Canal. 30 juin, lors d'une balade au Mucem.

LES VILLES DU XXI° SIÈCLE 

La gentrification des villes, ce que certains sociologues nomment embourgeoisement (Jean-Pierre Garnier), et de leur centre répond à l'évolution sociale des civilisations urbaines qui s'orientent vers un regroupement de classes sociales moyennes aspirant à vivre dans l'entre-soi de la culture et du savoir-vivre. Doit-on y voir une protection civile qui assure une vie conformée, vécue en communauté respectueuse des lois républicaines ? ! La réponse n'engage que nous : Oui ! C'est une manière de reconquérir le territoire sur des zones de droits spoliés où s'installent des populations peu scrupuleuses de la démocratie ! Il fallait l'écrire, c'est fait ! Tans pis pour ceux qui n'ont pas acquis les codes de cette nouvelle sédentarisation de l'urbanisme ! Les bos-bos en sont les plus significatifs depuis déjà une vingtaine d'année. Ils occupent des rues et des quartiers qui finissent par ressembler à l'idéal de vie qu'ils cultivent. Ce phénomène fait échos à d'autres classes sociales moins favorisées qui ont tendance à se recouvrer entre elles. La mixité sociale évoquée par les politiques n'est qu'un argument pour justifier les projets d'aménagement de toutes les mégapoles : Bordeaux connaît un exode des retraités venant s'installer dans cette ville nouvellement restructurée. Les salaires moyens des habitants originels ne suffisent plus à couvrir les montants des loyers et donc les moins favorisés par une crise économique en filigrane, sont chassés vers d'autres lieux en retrait du centre, dans la périphérie précisément. Le replis sur les campagnes éloignées et le déménagement en conurbation du centre et hypercentre dont les loyers frisent la démence, est un signe du malaise démographique que connaissent ces villes. Paris, Lyon, Toulouse et maintenant Marseille en sont les récents stéréotypes qui assurent la pérennité des projets en perspective, en France et en Europe ; car, aucun état européen n'échappe à ce phénomène.

La sécurité comme allégation permet de rassurer et justifier des mesures prises toujours en faveur du citoyen. Désormais les villes sont sous vidéos surveillance en permanence : ce qui rassure ce citoyen qui se croit hyper protégé ! Aix-en-Provence, la ville intellectuelle et historiquement culturelle des bouches-du-Rhône, connaît une gentrification qui ne pallie toujours pas aux problèmes d'une délinquance insidieuse qui s'insinue dans la population avec les mêmes codes exigés par elle ! La police n'a certes pas prévu cet impondérable qui ressort de l'adaptation de la criminalité aux modifications urbaines ; et ils sauront s'adapter aux nouvelles normes sans ne jamais en laisser paraître un soupçon de complicité...

La criminalité sera-t-elle en hausse ou en équilibre avec la sécurité qui n'a cesse de déployer une synergie considérable pour à peine maintenir la délinquance à un taux satisfaisant les politiques..? L'appareil policier n'est toujours pas adapté parce que 60% de la police est à réformé ! La gendarmerie entretient des procédés qui sont repérables avant même d'être mis en place ; quant à la police criminelle qui se targue de subodorer le malfrat, elle devrait, comme à Avignon, changer de costume marron et aller se faire couper les cheveux.. (périphrase pour illustrer l'idiotie de la profession). Partout c'est le même constat : un appareil rouillé qui fonctionne en claudiquant.

Les villes changent certes, leurs habitants aussi. La confusion des genres risque fort de surprendre un système qui se veut et se croit toujours plus invulnérable ! L'actualité en démontre le contraire régulièrement et accuse un échec général sur cette métamorphose sociale qui ne résout toujours pas les problèmes de fond d'une population laissée pour compte à laquelle des nouveaux pauvres issus de cette exclusion urbaine vont rejoindre ces 15 millions de défavorisés en France ! Jean Canal. Bien sûr... 16 juillet 2018.

L'EDITO. Si des groupuscules d'extrême Droite manifestent leur hostilité à l'encontre de la démocratie républicaine, le pays connaîtra un changement radical de sa politique, ne laissant guère de liberté à ceux qui ne se reconnaissent pas dans cette idéologie !Si des groupuscules d'extrême Gauche manifestent leur hostilité à l'encontre de la démocratie républicaine, le pays connaîtra un changement radical de sa politique, ne laissant guère de liberté à ceux qui ne se reconnaissent pas dans cette idéologie !Si les politiques qui ont été menées depuis la fin de la deuxième guerre mondiale n'ont pu établir un équilibre de paix sociale au sein des collectivités françaises qui forment la nation, alors le pays tout entier a échoué dans sa socialisation de la population française.Si l'échec est avéré, alors il faut se positionner dans les divisions qui scindent les français en communautés..., les séparent et les opposent ! Nous avons tous à perdre quelque chose que les Lumières nous ont léguée : la Liberté ! C'est cette vertu qu'il faut défendre contre ceux qui veulent nous en priver ! Qui sont-ils réellement ? Les conjectures sociopolitiques ne permettent même plus d'être judicieuses dans une réponse. C'est tout un pays, effectivement, qui a détruit ses valeurs vertueuses élaborées depuis 1789.  Jean Canal. 26 octobre 2017.
"Le vieux monde tarde à mourir emportant avec lui, dans la sépulture de la postérité, des années de gloires, de conquêtes intellectuelles et de reconnaissance spirituelle. Jean Canal. Lire la suite. La voix de l'étude intellectuelle au service de la collectivité sociale. Le principe du savoir est d'émanciper les êtres afin de les rendre libre et donc conscient de l'identité de l'autre... Jean Canal. La Revue mensuelle des Deux Mondes, fondée en 1829 présente un dossier sur Ernest Renan. Il serait inutile de présenter ce haut personnage de l'intellectualisme français qui a contribué au développement de la pensée collective en traitant des sujets vastes et variés sur des thèmes qui, en son époque, ne connaissaient point de polémiques comme aujourd'hui, avec la religion et sa pratique dévoyée. Jean Canal. Dans les organes de presses de référence qui ne peuvent souffrir d'analyses approximatives qui seraient réalisées à la hâte dans le but de répondre rapidement à l'attente des médias, certains, parmi les plus intellectualisés, comme La Revue des deux mondes, deviennent l'incontournable lecture régulière que les rédacteurs se doivent de consulter afin d'élaborer une éventuelle critique digne du sujet traité en des circonstances conjoncturelles déterminantes pour le pays ; en l'occurrence la France ! Jean Canal. 24 Juin 2017.
En préambule à la lecture du Diplo de janvier, ce bref extrait très significatif sur le pouvoir de censurer le droit européen dans l'exercice de ses fonctions. "Au rang des accusés, il n’est pas rare de trouver la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui, de Strasbourg, veille au respect de la convention du même nom dans les quarante-sept États membres du Conseil de l’Europe l’ayant ratifiée."  Un contexte antiterroriste qui exige un principe de précaution national. La vigilance reste accrue, effectivement, en France, plus particulièrement où la menace reste permanente. Quel sera le vrai visage de la terreur que Daech incarnera sous des traits de citoyens lambda ? Jean Canal. 28 janvier 2018. A la lecture du Diplo.
Les Trésors de la Revue des Deux Mondes

BALANCE TON VIOLEUR

Soit une relation sexuelle issue de tensions résultant de propositions à caractère insistant de la part d'hommes enclin à développer une obsession dans le sexe ; d'où le terme : obsédé sexuel !

BALANCE TA CONNE

Soit une femme majeure issue d'une famille bourgeoise, ayant eu des relations sexuelles forcées, mais toutefois consenties sous l'effet du fait accompli, avec une relation masculine proche dans le cadre professionnel, familial et/ou autres affinités. Il résulte qu'après mûres réflexions prises en consciente responsabilité des conséquences à venir, l'intéressée manifeste vingt ans après les faits, une vindicte à l'encontre de l'inculpé qui reconnaît les faits comme étant de simples échanges amoureux consentis par les deux partenaires. Le statut social de ce dernier ayant atteint un degré de notoriété envieux d'autrui qui est à l'initiative de cette affaire, il appert que le Ministre en question est victime de ses propres relations bourgeoises...

Sans commentaire. Février 2018. Jean Canal.

L'article qui fait scandale.

Le titre aurait-il la prétention d'être d'actualité ? Au vu des relents de la société actuelle, émanant des miasmes conflictuels populistes que les divergences entretiennent allègrement, le constat désolant qui se dresse présente nos contemporains comme des individus ayant perdu le sens de la valeur des choses. Une espèce de volonté d'anéantissement les anime dans une lutte presque fratricide au sein d'une société compétitive qui exclut les perdants, désignés comme tels. La réussite s'affiche par des possessions ostentatoires valorisant le fruit de l'établissement personnel en une situation inscrite dans l'honorabilité institutionnelle ! C'est la reconnaissance par un certain travail attestant de la situation de respectabilité qui confère de la valeur toute relative à la personnalité de chacun. Il ne s'agit point de discrimination à l'encontre de secteurs cultivant une aisance sociale au détriment d'une marginalité matérielle ou au pire d'une pauvreté intellectuelle, voire culturelle (tout être instruit et cultivé naquit sans connaissance -acquisiv étant la somme du savoir). Il serait plus à propos de s'interroger sur le devenir de toute une société contradictoire avec sa propre pensée. Ne tombons surtout pas dans les clivages partisans d'entités politiques souveraines de l'opinion publique qui dévoient l'individu de son sens critique. Restons terre-à-terre et pour rejoindre Descartes, soyons rationnels de sorte à exiger la démonstration mathématique de la raison. Elle est cependant évidente dès l'instant que l'on comprend le fonctionnement de cette dernière lorsqu'elle est confrontée à la complexité de l'extraire du jugement intellectuel porté sur une situation quelconque. Les événements ajoutent à l'évidence un soupçon de doute dans l'intention de chacun, révélant ainsi toute l’ambiguïté de l'être confronté à une décision imminente concernant son avenir, proche ou lointain (quelque part, il apparaît, cet être, tel qu'il a toujours été). Il apparaît donc piégé sur l'attitude à prendre, adoptant pour se faire une façon très personnelle (loin du personnalisme de Mounier, s'entend) propre à lui-même et qui pourtant fait de la collectivité sociale d'aujourd'hui son clone ! En fait, c'est à partir de ce principe que l'on comprend ou du moins évalue le degré de déstabilisation de la pensée commune de toute une population qui organise sa réflexion selon des schémas stéréotypés moyennant un langage communautaire adopté pour les circonstances par tous. Cette analyse sociologique qui réside sur une observation assidue des sociétés pluriculturelles, annonce une déchéance dans la relation établie entre classes disparates sur le fond des valeurs cultivées avec outrecuidance par une majorité souveraine qui se persuade de la réalité actuelle. Ne songez point, ici, à la notion de politique que cette réflexion pourrait, à brûle pourpoint, vous inspirer. Et si vous avez songé, ne serait-ce qu'une fraction de seconde, à de la politique, alors cela révèle que vous n'avez pas compris le sens profond de ce texte ; je ne peux que vous prier de ne pas le lire. Jean Canal. 17 janvier 2018.

L'Empire Ottoman prédomine la scène de l'Islam en Europe orientale

Leader populiste mais aussi authentiquement populaire, Recep Tayyip Erdogan ne passe pas une semaine sans un meeting public ; en ce moment pendant la campagne électorale c'est au moins deux par jour comme à Gaziantep ce 21 juin Crédits :KAYHAN OZER / ANADOLU AGENCY - AFP
Voici la victoire de la souveraineté qui au même titre que certains états européens inscrits dans ce scrutin populiste ont exprimé, comme le peuple Turc, de rester chez eux afin de cultiver le nationalisme ! On peut donc affirmer que le retour vers une autarcie identitaire se répand sur l'Europe qui se voulait, à ses fondements, une terre de libertés ! On sent bien que les milieux intellectuels et artistiques souffrent des régimes dictatoriaux que les populations ont choisis, en optant pour la reconnaissance de leur existence, dans un espace trop vaste pour recouvrer les valeurs auxquelles ils croient ! Est-ce un échec des démocraties qui croyaient aux valeurs universelles ? ou bien sont-ce les affairistes qui ont saboter la démocratie ?
Le pouvoir de Erdogan indéfectible ! Sa réélection atteste d'un fin stratège pour se maintenir en place. « Les résultats non-officiels des élections sont clairs. Selon eux, notre nation m’a confié la responsabilité de président de la République » déclare Recep Tayip Erdogan, au soir de ce dimanche 24 juin. Le parti d'opposition social démocrate du CHP, représenté par Muharrem Ince, ne se considère pas vaincu, jusqu'au résultat final. L'incarnation d'une "démocratie" dictatoriale (forme d'autocratie) en Turquie aux accents religieux atténués par une espèce de liberté conditionnelle, s'affirme ostensiblement par de grandes manifestations sociopolitiques ! Erdogan galvanise les foules populistes avec des discours fondés sur le développement économique comme référent en signe de réussite, cependant incontestable, dans le pays. La France est le témoin de ce changement idéologique qui fournit une manne pour l'Allemagne, où les populations turques, alliance de la guerre de 14/18 oblige, sont importantes. Le monde musulman européen n'a plus de leader susceptible de conduire les communautés éparses dans l'espace Schengen, vers un islam laïque (Tariq Ramadan a perdu de sa crédibilité) ! L’événement provoqué par l'affiche relative à Erdogan, présentant le dossier de presse sur sa politique, dans le Point donna lieu à des réactions de contestation contre ce genre de publication, évidemment interdite en Turquie (considérant qu'il s'agit d'un manque de respectabilité à l'égard du leader) ! Le Maroc, l'Algérie et la Tunisie n'ont pas de leader suffisamment charismatique pour emmener leur idéologie religieuse vers un consensuel entendement entre les différentes entités identitaires qui incarnent l'islam dans chaque pays : Erdogan seul occupe une place qui dame le pion aux anciennes colonies du Maghreb, affectées par la chute de DAECH qui a affaibli l'espoir de conquêtes occidentales ! En effet, paradoxalement aux attentes djihadistes ayant misé sur la psychologie de la terreur, les attentats ont eu un effet contraire, contre la représentation d'une religion intégrée et intégriste sur les territoires européens ayant considérablement durci leur politique d'intégration, moyennant des mesures de haute sécurité. Les communautés musulmanes sont désormais regardées avec méfiance en Europe ! La suspicion s'est instaurée dans les esprits, délitant le tissus socioculturel qui avait été acquis depuis les décolonisations ! Le pire reste à venir... Jean Canal. 25 juin 2018.

L'article se consacre au Revenu universel dont il tente d'attester sa faisabilité, malgré une conjoncture économique qui en démontre son improbabilité, face à une dette endémique qui frise une nouvelle crise, masquée sous les aspects d'une reprise de la croissance encensée par le Politique. La pauvreté, l'assistanat et l'aide sociale ont des coûts très onéreux aux dépens des contribuables à qui l'on impute une contribution sous forme de prévarication justifiée au nom de la nation. Les sociétés dites autrefois industrielles ne peuvent se permettre de laisser sur le banc des accusés ces pauvres qui accroissent une dette dont les origines sont purement capitalistes (le terme n'est plus péjoratif, en ce sens que le monde ouvrier s'est aussi, à juste raison, embourgeoisé) ! Et pourtant, l'esprit d'entreprise individuelle émanant de particuliers aspirant à travailler selon leur propension, existe. Il suffit de libérer encore plus les moyens d'entreprendre, sans ubérisation du système s'entend, pour donner libre-cours au travail. En France, il est toujours autant difficile de gagner de l'argent : tout travailleur vit soit au-dessus de ses moyens, soit acculé à l'impossibilité de franchir les limites de l'émancipation financière ; il doit compter ! Le passage obligé par les banques pour contracter des crédits à la consommation en est une preuve alarmante dans la mesure où l'aliénation qui en découle débouche sur un appauvrissement programmé : les biens immobiliers sont hypothéqués à l'achat et facturés deux fois et demie leur prix ! Ajoutons les crédits aux véhicules et les agios bancaires, les détenteurs de l'économie de marché se portent plutôt mieux...grâce à Vous ! Le pire restant à venir, pour des raisons évidentes, il faut d'ores et déjà en mesurer les conséquences rédhibitoires. Démographies et exodes de populations déracinées feront l'objet d'une convocation des peuples européens qui devront comprendre que les siècles précédant leur avènement pourront s’avérer fatidiques dans leur intention de préserver le pouvoir d'ascendance sur ces civilisations qui aspirent à une reconnaissance identitaire ! Jean canal. 12 mars 2018.

LES ÉCRIVAINS COLLABOS
Derechef, la République se questionne sur son passé glorieux : faut-il commémorer ou célébrer Charles Maurras ? Haine, xénophobie, racisme et antisémitisme sont les griefs retenus à l'encontre du royaliste, fondateur de l'extrême droite ! Embarrassés les chargés du dossier ont statué pour une sanction : amnésie complète ! Les morts font toujours peur... Ils peuvent en éveiller d'autres qui raviveraient des idées cultivées ailleurs. Jean Canal. 29/01/2018.
GALLIMARD SE RAVISE SUR L'EDITION DES PAMPHLETS DE CÉLINE  REBATET-Les-Decombres
Les écrivains de la collaboration. Quelles places occupent-ils encore aujourd'hui dans la littérature. Rebatet avec les Décombres, Drieu La Rochelle, Louis Ferdinand Céline, alias le docteur Destouche et Robert Brasillach. La Pléiade leur a fait honneur en publiant leurs œuvres, fussent-elles le fruit de l'avortement antisémite, raciste et xénophobe ! Les maisons d'édition les plus prestigieuses (NRF) chez Gallimard, leur ont ouvert leurs portes (Denoël fut assassiné par un opposant aux idées de ce genre). Dans l'expectative de revenir sur ce sujet polémique encore aujourd'hui, nous vous invitons à relire ou découvrir quelques lignes de ces auteurs ; ainsi vous jugerez l'oeuvre et non ceux qui les ont écrites... C'est le jugement intellectuel que vous porterez sur ces écrits qui détermineront le degré de responsabilité de chacun.
Drieu La Rochelle d'obédience fasciste, fut directeur la La Nouvelle Revue Française (NRF) qui deviendra Gallimard ; ayant collaboré activement sous l'occupation, il se suicidera en 1945, signant sa trahison par ce dernier acte. Robert Brasillach fut exécuté à la libération, après un procès aux plaidoiries patriotiques aléatoires. Le Général de Gaulle refusa sa grâce, invoquant le fait qu'il est mis sa plume au service de l'ennemi. Louis Ferdinand Céline, lui, était antisémite notoire, et il le restera jusqu'à sa mort ! Le pire fut Rebatet qui longtemps après tous ces événements s'entretenait sur ses écrits à la radio, il mourut en 1972, sans rien regretter. Il fut condamné à mort puis gracié, à juste raison, souligne-t-il, pour ses écrits diffamatoires et antisémites virulents. Léon Daudet, nationaliste d'extrême droite, cultivait également la haine du juif à travers des écrits intéressants d'un point de vue informationnel, s'entend ; donnant ainsi une idée de la haine qui s'exprimait à ces époques. L'affaire Dreyfus fabriqua des bouc-émissaires et la boucherie de 1914 orchestrée par le Maréchal Foch laissa dans les mémoires des traumatismes profonds chez ceux qui la vécurent et en réchappèrent. Bref, si l'histoire apporte ses explications à la montée du fascisme en Europe, elle ne justifie en rien cette "Bagatelle pour un massacre" sous les "Décombres" de la société. L'héritage de Charles Maurras était encore dans ces esprits-ci qui retinrent de l'histoire un nationalisme fasciste expliqué par le pouvoir de Franco, Mussolini et Hitler en Europe. En ayant lu tous ces auteurs, notamment la correspondance de Léon Daudet*, je fus choqué face à cette incompréhension de haine accentuée qui se dégageait à l'encontre des juifs notamment ! Choqué que l'on puisse intentionnellement amalgamer une situation sociale précarisée par le choc boursier de 1929, en critiquant très adroitement des personnes responsabilisées pour la cause qui englobera femmes, enfants et vieillards. Cinquante années après les avoir lus, ils me deviennent surréalistes, hors de la contemporanéité et de tous les problèmes qui se dressent chaque année dans nos sociétés complexes, y compris celui qui oppose Israël avec la Palestine. De tels écrits sont devenus inoffensifs et appartiennent aux fables cocasses comparables à celles des mythes antiques où fabliaux du moyen-âge. Ils informent, certes, plus précisément sur un intellectualisme limité à la pensée rationnelle de la nation prise comme entité historique ! L'évolution civique et sociale de nos sociétés ne nous permet plus de commettre de tels "massacres !" Et cela malgré le degré d'injustice qui demeure toujours de part le monde. Les nations se surveillent mutuellement, épiant l'occasion de dénoncer des exactions commises par les uns et les autres. L'histoire a suffisamment tiré profit de son passé pour éviter derechef un même conflit de civilisations analogue à celui des années trente. On le voit, de nouveaux fous tentent de nous impressionner, en agitant leur pouvoir limité par la raison internationale qui garantit à tous les atteintes aux libertés ! Doit-on interdire l'édition d'écrits historiques qui révèlent une période sombre de notre histoire ; personnellement je ne le pense pas et crois plutôt que leur lecture éclairerait sur l'idée que certains se faisaient de l'espèce humaine dont ils étaient issus  ! *Léon Daudet dirigea "L'Action française avec Charles Maurrast. **La plupart de ces ouvrages se trouvent en PDF gratuitement sur internet... ***La voix de Lucien Rebatet avec Jacques Chancel.
Post-Scriptum :  La spéculation n'ayant point de limite et étant dénuée de morale : "Bagatelle pour un massacre" se vend actuellement sur Priceminister à 25.000 euros !                                                                               Jean Canal. 13 janvier 2018.