Année 2024
L'alternative d'un média qui tend à préserver sa place dans le monde concurrentiel de la presse officielle, se situe entre le professionnalisme et les novices de la presse fraîchement émoulue, issus d'un système formaté ; c'est-à-dire reconnue comme référent au sein des professionnels. Presselibre.fr maintient son rang dont dépend sa liberté d'expression, très controversée par les fonctionnaires de la Sécurité ; et cela depuis mars 2007 ! L'intégrité demeure notre soucis en appliquant une vertu cultivée sur nos pages et articles : celle de la probité. La pugnacité nous est fréquemment reprochée par des quidams, sans grande envergure intellectuelle et qui manifestent une animosité superficielle à notre encontre. Nous diffusons une opinion autre, strictement différente de l'analyse conventionnelle pratiquée sur les plates-formes de diffusion nationale, plus précisément. Peut-on conclure que la toile étant saturée d'informations déformées, la crédibilité des uns et des autres médias est mise en doute, selon la façon de l'exploiter. Nonobstant, de très bons médias s'évertuent de rester intègre. La place de second rang qu'occupe presselibre.f, n'entre pas dans un concours d'excellence de médias auxquels l'on distribuerait un satisfecit pour les plus méritants ! Évidemment, et nous nous en doutions un peu, au début de notre prise de position (à savoir en avoir aucune) que les menaces, les pressions, les diffamations et accusations en tout genre ne nous ont pas manqué et continuent à croître au rythme du contenu de nos publications. L'année 2022 est d'ores et déjà derrière nous. 2023 risque de nous apporter d'importantes catastrophes qui modifieront nos comportements dans nos sociétés ; jusqu'à nous faire abandonner certaines habitudes néfastes pour notre environnement social. Le pire est devant nous, de sorte à aspirer à vaincre une existence inhérente à notre destiné universelle. Jean Canal. 1er janvier 2023.
13 decembre 2022. L'aventure de cette initiative, en ce qui concerne la création de presselibre.fr en 2006, découle d'un départ forcé de la place de correspondant de presse à la Dépêche, organisé par les Gendarmes du Comminges, secteurs Salis du Salât et Canton de Aurignac précisément, dans le département de la Haute-Garonne, en Occitanie, chère Carole Delga. C'est à la suite de cette fin de ce travail réalisé avec assiduité que la reconversion devait indéniablement aboutir à une plus importante visibilité de lecture, dépassant la région, des articles libellés ! Quinze années après la création du site presselibre.fr sur l'unique initiative de Jean Canal, notre média qui ne sera jamais le vôtre, n'en doutez pas un seul instant, inquiète toujours autant si ce n'est plus la gendarmerie et désormais la police qui ont gagné en considération de notre part, par la pratique de leur connerie professionnelle. Nous leur attachons un grand intérêt et nous faisons un devoir de citoyen d'informer d'un point de vue général, nos lecteurs des frasques régulières qui de la gendarmerie, qui de la Police dont les faits sont, en partie, relatés sur la page qui leur est spécialement consacrée : Justice & Société
Depuis la création du site en 2006 sur papier sans enregistrement de son intitulé chez OVH, qui se fit en mars 2007, les polémiques intentionnellement destinées à l'encontre personnelle de Jean Canal ne firent que s'accroître jusqu'à aujourd'hui où le recrutement des idiots inutiles de service atteint des chiffres pléthoriques. Il est vrai que les idiots ont nettement augmenté en France. Les prochaines élections nous en donneront les chiffres exacts...sous une inattendue pour tous les acteurs de la politique. Il semblerait que nous gênons quelques "institutions" qui se veulent garantir la Sécurité du territoire, en vain ! Ce qui reste tout de même étonnant, (et pose-toi la question, ô mon traitre lecteur), est que la plume demeure en ce nouveau millénaire un danger potentiel pour ceux qui ont des histoires sales à se reprocher. Ainsi, Jean Canal a découvert la face cachée d'un peuple se disant français, allant jusqu'à s'inscrire dans des valeurs républicaines, sous prétexte d'en défendre les droits ! Nenni ! Des socialistes du Con-Minges où Jean Canal vécut, notamment à Bachas, 31420 (5 ans suffirent amplement à étudier les autochtones Droite-Gauche con-fondues), lesquels en fait courtisaient en leur for intérieur un fascisme latent, inhérent à leur identité propre, déjà fort sale par l'histoire de leurs familles, en des périodes les plus noires de la France. On sait très bien au regard des statistiques que la Gendarmerie, plus particulièrement admet un maximum d'électeur dans l'Extrême Droite, et c'est leur droit ! La Police, elle, aurait tendance plutôt à entretenir des relations très intimes avec la Racaille (les chiffres et dernières exactions en attestent par les bavures récurrentes). Ce qui néanmoins s'avère un fait divers notoire repose dans cette expression écrite que Jean Canal adopte, afin d'exprimer une certaine vérité sur un système sociopolitique administré par des personnes indignes des fonctions publiques qui leur sont attribuées par un Droit, aujourd'hui bafoué (lire les ouvrages du Capitaine Moreau qui demissionna de la gendarmerie) ! C'est donc à titre de français, qui plus est de souche, qu'il exerce un véritable travail de journaliste de proximité tout en préservant son statut indépendant de correspondant international. On ne peut pas plaire à tout le monde, notamment les élus ; n'est-ce-pas ?! Mise à jour le 30/10/2023.
Le pied de nez à l'enseignement général ! Jean Canal est un pur autodidacte dont l'enseignement fut acquis uniquement par correspondance. Son professeur de Grec ancien, de Latin et de Rhétorique, Monsieur Charles Desrieux, décédé depuis les années 80/90 (toute la correspondance est préservée) dispensa un savoir dans la connaissance qui paradoxalement nourrit des idées inappropriées à la société actuelle. Jean Canal. Octobre 2022.