L’Éditorial,
pour y souscrire, il faut qu'un thème se présente spontanément dans l'actualité traitant de sujets relatifs aux événements sociopolitiques. Sélectionné parmi la pléthore de faits sociaux qui se produisent dans cette actualité, l'édito mettra un point d'honneur à en exploiter le fond... Jean Canal.
AL-QAÏDA en France. Le terrorisme est-il toujours présent en France ? La réponse est sans appel : oui ! Dans les esprits, le terrorisme végète au sein même des groupuscules musulmans, radicalisés pour des circonstances évidentes de domination islamiste, idéologiquement espérée par une importante minorité étrangère au sol européen, plus précisément. L'infiltration des acteurs de cette menace, fut opérée moyennant les périodes fortes de migrations africaines. Un contexte dangereux qui tend à se durcir face aux entraves que les institutions européennes posent à tout étranger indésirable sur son sol ; la France devient victime de sa politique laxiste, pratiquée durant des années. Il est pratiquement impossible d'entraver la détermination de terroristes aguerris aux combats dans des pays en conflit. Le profil ne se détermine plus sur des critères ethniques, top facile à repérer : les terroristes l'ont compris. On comprend donc très bien que la vaste majorité des musulmans en Europe rêve d'une société entière, gérée par les lois de l'Islam. L'Algérie a su gérer ce problème, en maintenant militairement le pays sous une surveillance accrue par l'expérience désastreuse des années quatre-vingt-dix. La France ne peut plus faire la différence entre les musulmans radicalisés et ceux du cœur, fidèles à leur religion ; parce que tout est une question d'esprit ! Ce phénomène échappe complètement aux exégètes de l'analyse politique qui découle pour opérer sur des terrains minés en permanence... Faire peur est le moyen le plus convaincant sur un peuple n'ayant plus de repère dans sa propre culture. L'échec est donc total au cœur même de l'Europe qui a ouvert ses frontières à l'empire du mal, sous couvert d'humanisme n'étant pas reconnu comme tel par les terroristes ! France culture consacre ses Affaires étrangères à l'Iran. 16/09/2023. L'Islam radical qui tue son propre peuple. Reportage Arté.
Est-il réel de vouloir tirer un bilan d'une situation précise, voire impérieuse, retenue par l'attention que certains portent à des événements exceptionnels ou considérés comme tels ? Un bilan factuel ne détermine que de loin la situation en question, dans laquelle se déroulent des faits, considérés comme importants au regard que la société porte à ce phénomène. Pour qui, cependant, un contexte peut-il apparaître comme l'exception à l'évolution linéaire du monde ? Le nouveau bilan de la planète, synthétise son état d'hier et ne fera que reproduire celui de demain. Celui évalué des sociétés civiles est désastreux : la violence stigmatise tout un système social érodées depuis plusieurs années d'impuissance politique à pouvoir apaiser des tensions entre classes sociales d'une part, et entre génération ensuite qui continueront à se disputer l'hégémonie d'un héritage dilapidé. Le contexte actuel, on le constate et cela quand bien même d'aucuns eussent émis un avis différent pour des raisons toutes personnelles, ne présente guère d'espoir pour les générations à venir qui d'ailleurs manifestent sur les concepts de leurs aïeux ; remettant en question leur façon de vivre ! Crise individuelle d'abord, puis sociale ensuite, au pis idéologique d'un système qui n'eut cesse de se détruire et se reconstruire, incessamment, l'état actuel du monde est inquiétant. La phase finale à des siècles d'histoires mouvementées semble prendre fin, au cours de ce XXI° siècle, c'est-à-dire à l'instant même. Les conjonctures successives advenues récemment en attestent la finalité, corroborant ainsi des résultats inattendus dans toute l'Histoire de l'Humanité. Sommes-nous vraiment conscients de notre rationnel devenir ? 16 août 2023.
Ce dimanche 23 juillet l'Espagne vote pour élire son représentant ministériel. Le taux des votants est évalué à 70%. La Gauche est assise entre deux chaises avec Podemos et Sumar, tandis que la Droite du Parti Populaire fait du pied à VOX, le parti de l'Extrême Droite espagnole, héritier des cendres de Franco ! En quoi les résultats du vote espagnol doivent intéresser la France ? Il traduira d'abord une tendance idéologique encore vivante et qui tant à revenir sur la scène politique internationale à titre de parti élu par la souveraineté du peuple : c'est là que tout change. Politiquement, on ne peut remettre en question la volonté du peuple, lequel recherche la stabilité politique du pays, affecté économiquement ! L'effet boule de neige ne peut se former que si un état s'érige en modèle ; notamment l'Espagne qui semble avoir comme alternative le retour aux sources : le conservatisme, celui de valeurs sûres ; quand bien même le contexte international ne présenterait-il aucune garantie pour un avenir équilibré pour l'Europe. Pologne, Hongrie, Italie et enfin l'Espagne, sans omettre les états européens aux tendances nationalistes comme l'Autriche, la Gauche a du plomb dans l'aile... C'est tout l'enjeu de la démocratie dont les fondements ne se peuvent être contestés, plus particulièrement en Europe où elle constitue le seul fonctionnement politique fiable et représentant les opinions des peuples. Comment réagirait justement cette opinion, critique aux circonstances, si l'Extrême Droite emporte le Pouvoir ? L'élection de Giorgia Mélonie a inquiété les dirigeants européens, le temps de constater que les Italiens, dans le grand ensemble, ne souhaitent guère un retour à la dictature que le fascisme incarne. Les problèmes de fond, aujourd'hui, de l'Europe sont dans l'ordre : la Sécurité et l'Economie ! L'assimilation des migrants n'est qu'une étape dans le système européen qui s'accorde le droit d'asile en des conditions strictes. C'est sur ces critères que l'Europe ne peut déroger sur ses principes. Une fois cet équilibre rétabli, l'Europe aura enfin atteint ses objectifs civilisationnels, sur aucun modèle en exemple en ayant démontré ces valeurs inaliénables des Libertés souveraines. Dimanche 23 juillet 2023.
L'Extrême Droite revient en force en Europe, plus particulièrement en réponse aux vagues migratoires excessives qui par le nombre croissant des passages de frontières sont apparus comme indésirables par une majorité silencieuse de populations émaillées sur tout le territoire Schengen ! L'attitude de la population tunisienne, dans sa grande majorité populaire touchée par l'arrivée des migrants africains, en masse, traduit une situation anxiogène qui perturbe les schémas d'une réalité que l'Europe masque sous les aspects de l'insécurité. Les Anglais avaient pris des mesures drastiques pour contenir les migrants sur le sol européen, moyennant des accords financiers avec la France, notamment. Les Européens directement concernés par ces mouvements populistes qui durcissent le ton sur le partage du territoire avec des « étrangers », aspirent d'abord à une sécurité rassurant leur vie et celles des leurs enfants. Hélas ! Les exemples foisonnent dans les exactions commises par des individus ne présentant aucune garantie pour adopter une vie au sein de la société occidentale de l'Europe ; ni la culture, ni le mode de vie ne sont compatibles avec l'entité européenne. La candidature de la Turquie, remise en question, au regard des efforts que Recep Tayyip Erdogan a bien voulu concédé en faveur de la Suède, peut avoir un effet contraire aux craintes suscitées par la politique ségrégationniste de la Turquie, pratiquée à l'encontre des Kurdes et des minorités. Les exactions commises par cette voie migratoire ne doivent point être occultées du débat public éventuels qui devrait s'ensuivre selon la tendance politique générale : l'Extrême Droite européenne existe et semble renaître sur les mêmes critères, à chaque problème identique... Pologne et Hongrie ont opté pour un durcissement de leur politique migratoire. D'autres états mettent en place des processus d'accueil drastique, à condition dont l'intégration se doit de respecter les codes de vie dans la communauté. Pour lors, la France connaît des manques à ce principe depuis des décennies, dans un esprit de tolérance. Le gouvernement italien incarné par Giorgia Méloni prend de nouvelles mesures contre la présence de migrants illégaux, comme le font les Anglais. C'est donc un véritable problème qui préoccupe d'abord les Européens redoutant d'être submergés par ces incessantes vagues migratoires ; un phénomène à ne pas dédaigner ! 21 juillet 2023.
LA MENACE. La blancheur de la peau d'un individu en serait-elle à l'origine ? Il est vrai que si vous avez le teint mat, légèrement halé ou virant au brun foncé, vous encourez moins de risque de vous faire agresser par ces fanatiques venus de pays lointains, où se sont perpétrés des guerres et conflits atrocement meurtriers, comptant des centaines de milliers de victimes, femmes, enfants, vieillards et jeunes-gens. Bref ! Un tel article ne passerait sûrement pas dans les colonnes des plus grands médias, politiquement officialisés afin de se préserver des diatribes de leurs adversaires, toujours prompts à saisir une embellie pour se débarrasser d'un concurrent ! Évidemment, nous sommes dans la fiction ! Rien de pareil ne doit faire l'objet de vraisemblance avec le réel ! Les malades qui se baladent dans nos sociétés européennes ont été légitimement reçus en commun accord, reposant sur des clauses européennes relatives à l'accueil des migrants dû (là nous sommes presque dans un discours du Rassemblement Nationale). Nonobstant, cette directive, qui embarrasse moult états pratiquant une politique de l’ambiguïté, revêt des inconvénients au niveau de la sécurité des territoires occupés (aucun jeu de mots, ici). Il est évident que la sécurité des citoyens européens n'est que partiellement assurée au regard du nombre insuffisant des agents employés à cette tâche ! De surcroît, l’ambiguïté qui règne au sein des personnes étrangères issus de pays en conflit, ne fait qu'ajouter des handicapes aux mesures à prendre pour « surveiller » des individus suspects. Pourtant, les services hautement autorisés à effectuer un tel travail, ne chaument pas et réussissent souvent à nous éviter, notamment en France, des attentats spectaculaires et autres tentatives d'homicides à l'encontre des citoyens que nous sommes. Certes, ceux ne sont pas les patrouilles de militaires qui dissuadent les terroristes occasionnels, mais les militaires ont un impact positif sur la population, rassurée par leur présence. Que faut-il faire pour éviter le pire ? Tout simplement être plus solidaires les uns des autres, en mutuelle surveillance de la vie en cité ! La lâcheté des actes caractérise une entité haineuse à l'encontre des peuples européens et qui pis est occidentaux ; qu'ils soient chrétiens, juifs, musulmans..! Il faut tout simplement en avoir conscience, et ne pas hésiter à réagir contre un individu présentant des velléités dangereuses. Se faire justice pour défendre les siens dans un cadre de légitimité est un devoir républicain ! 9 juin 2023. En direct de Arles Centre. Photo-Phone Jean canal. "L'Arlésienne."
Dans un cadre bien définit, déterminé moyennant des paramètres empruntés à l'éthique, si tant est qu'elle en donnât des normes relativement reconnues par le Pouvoir, au cours de son histoire politique, la Liberté d'expression eût tendance à s'être disputée entre des pensées émises par des adversaires historiques de cet outil qui fit avancer toutes les libertés individuelles, en cours de pratique à l'heure actuelle ! Le Monde Diplomatique titre, page 3 : « Quand la liberté d'expression passe à droite ». Démerdons-nous, nous lecteurs avec un intitulé de texte journalistique croustillant qui ajoute à la situation sociale et politique une once de controverse sur le droit de parole dont abusent d'aucuns, siégeant dans des hémicycles trop étroits pour tous ceux qui devraient réellement s'exprimer publiquement, sans mandat, ni lectorat de reconnaissance, confortant ainsi l'idée de cession démocratique courue pour des circonstances nobles ! Jusqu'à présent, c'est le peuple qui condamne encore le droit de parole, si l'on observe correctement ce dernier qui manifeste contre tout ce qui ne rejoint pas sa pensée ! Twitter est cité dans cet article qui relève l'atteinte portée à ceux qui se permettaient de divulguer des accusations avec outrance et des diffamations sans fondement, à l'encontre de personnalités condamnées par le gente populiste, s'étant arrogée le droit de juger son prochain ; pour ne pas dire son voisin. La délation est le propre de la France ! Elle caractérise le Français pas forcément moyen, mais doté de suffisamment d'idiotie pour se faire magistrat au profit d'un groupe à la pensée identique ! Une forme de solidarité existe, dès l'instant que ce dernier prend partie de l'Autorité ; une attitude lâche certes, mais pratiquée, en France, comme durant la dernière guerre mondiale où les courriers anonymes foisonnaient dans les boîtes à lettre pour dénoncer ses voisins juifs, résistants et anti pétainistes (rares en cette période). Aujourd'hui, la technologie est au service d'un système de communication qui peut et le doit déclencher des affaires pourries perpétrées par des gens également pourris ! Dénoncer un juif, en 1942, rapportait de l'argent à ceux qui s'adonnaient à ce genre de méthodes ignobles. L'identité française est toute établie, au regard des contemporains qui se targuent, évidemment, de ne point participer à cette vindicte à laquelle la nouvelle pensée de Droite a mis fin, à son profit en mode de défense. Twitter est la plate forme de ceux qui ont quelque chose à dire d'intéressant ! Le langage de la haine n'est plus admis ! On ne peut plus incriminer une personnalité politique ou/et l'élue des circonstances politiques, sans encourir une suppression de compte. Pourtant, il existe une manière de combattre pacifiquement ses propres ennemis, en les laissant pour ceux qu'ils sont, sans employer un vocabulaire cru, vulgaire et obséquieux qui dégrade celui qui l'utiliserait pour faire valoir sa raison ! On peut très bien écrire que les entités politiques incarnant les extrêmes ne représentent pas les valeurs espérées par un Tiers, et que la Politique en général n'illustre pas l'idée du monde que ce Tiers se fait de la vie en particulier et qu'il existe d'autres idéaux répondant aux problèmes impérieux du moment ; et cela tout en rajoutant que les Cons sont suffisamment nombreux et variés dans leur appartenance sociale pour ne pas s'ennuyer entre eux... Et là, Ducon ! Tu l'as sens ma Verve ?! 26 mai 2023.
Un bilan négatif pour l'été 2023, en Europe évidemment, et plus précisément en France. Le Sud de façon unilatérale est intrinsèquement frappé par les conséquences du changement climatique, défavorable aux cultures et aux habitations dont certaines, très endommagées, sont destructibles. L'agriculture supplée en général aux principes de substitution qui reposent sur l'exportation de fruits et légumes, en cas de pénurie nationale, due à des phénomènes extra naturels. Heureusement que l'Europe s'organise sur certains points relatifs à l'agriculture qui exigera, désormais, plus de capacité de réaction spontanée, afin d'éviter des ruptures de livraison. Écrivons-le, comme les scientifiques l'ont pensé et le pensent, sans doute plus encore aujourd'hui, le climat commande les cultures et le bâti ! Ne revenons plus sur l'eau ! Elle est fondamentale, jusque dans le refroidissement des réacteurs nucléaires...des Centrales ! C'est un sujet qui agace les élus, confrontés à des problèmes d'alimentation et de redistribution en zones sinistrées, que le manque d'eau. Pour lors, la situation ne présente guère de configuration alarmante ; mais invite sagement à prévenir les risques encourus, dans quelques années proches. Comment réagir aux phénomènes devenant naturels au fil de leur développement national ; puisque c'est la France qui, ici, est instruite. Deux facteurs inhérents aux conséquences actuelles et qui se reproduiront dans l'avenir, de manière plus violente (et ce n'est plus être alarmiste que de gloser sur la réalité), définissent un paysage de plus en plus sec, configuré dans des espaces asséchés où des rivières, retenues d'eau et lacs accuseront un étiage faible ! Jusqu'à un asséchement total, comme prévu. L'inquiétude est plus ressentie sur les risques de pénuries locales, ou plutôt régionales, dans des domaines liés à la consommation spécifique des éléments essentiels de notre vie quotidienne. Des détails pourtant devraient attirer l'attention sur des produits de consommation, invalidants les mesures d'hygiène à observer pour résorber au possible les superflus du consumérisme, toujours trop importants dans le marché de la consommation globalisante ; et ce n'est pas le cas de la part du système qui maintient des procédés de fabrication polluants et pratiquement inutiles au niveau des apports nutritionnels ! On ne peut plus légitimer tels produits, sous couvert que l'offre répond à une forte demande ! Demande de s'empoisonner et d’accroître non seulement la pollution, mais aussi de fragiliser l'environnement moyennant les procédés d'exploitation de produits entièrement alimentaires, attentatoires à l'environnement ! Évidemment, les enjeux sont importants dans la balance commerciale. De plus, tant que la fabrication continue avec le consentement du Politique, et que certaines denrées alimentaires ne sont pas définitivement écartées du marché, au mieux bannies, le système accentue l'état délétère du climat. L'acte qui accompagne le geste du choix de vie, définit l'avenir des autres, et notamment des enfants qui, eux, subissent, innocemment, l'irresponsabilité des adultes (d'une espèce de culpabilité attribuée à un comportement entièrement viscéral des parents) ! Quoiqu'il en soit le bilan est strictement négatif pour les années à venir. D'un point de vue santé. Eu égard aux engagements des associations, des personnes elles-mêmes, dans un cadre strictement individuel, sans compter un seul instant sur les démarches électorales des politiques qui œuvrent pour la salubrité individuelle de quelques uns, d'un point de vue relationnel, le climat n'épargnera personne ; pas mêmes ceux qui s'auto-persuadent de posséder un havre de paix quelque part, là où le temps serait plus clément et la configuration de l'espace sociétal répondant aux esprits désuets de la situation... Les conséquences ne feront aucun compromis avec l'humain qui, à un moment donné de son Histoire, réagira de façon à sauver sa peau, au détriment de celles des autres. Nous n'en sommes point encore à ce stade d'une civilisation sous l'emprise de sauvegarde civilisationnelle. Les scientifiques en connaissent parfaitement les finalités, sans la fiction que l’avenir génère dans des imaginations fantasques ! Les guerres et les conflits que l'on crut fini, après les signatures de 1945/47, pour une paix universelle, ne furent jamais à cours de querelles et s'entretinrent sous l'égide des Nations Dés-Unies. Et en ce moment-même où les armes trouvent preneurs sur son marché international, le contexte mondial ne laisse augurer d'aucune tranquillité, là où les humains se battent ! Israël vient tout juste de concevoir une espèce de char performant, aux technicités inégalées jusqu'à ce jour : certains états européens ont déjà passé commande..., notamment l'Allemagne ! A moins de les exposer dans un musée, on comprend que leur utilisation pourrait être expérimentée bientôt. Salut ! Et courage...Revu et corrigé a 17h16mn. 20 mai 2023.
UN CHOC FRONTAL dommageable frappe l'humanité
Une affaire en chasse une autre. L'actualité se forme sur des faits divers aux tendances diverses qui émaillent les sociétés de leurs scandales financiers ; puisque ce sont ces derniers qui intéressent la doxa populaire, restant impavide face à cette espèce de crime devenu permissif, jusqu'à la révélation publique de ses forfaits ! Ayant réussi à banaliser le crime de l'argent, les politiques vont jusqu'à en prévoir les conséquences juridiques, en évaluant les dommages financiers encourus. Il s'agit plutôt des rouages qui permettent ce fonctionnement avec l'assentiment tacite du système économique, à l'origine des échanges internationaux des valeurs financières détournées pour des causes informelles que la politique peut justifier allègrement ! Sur toute l'échelle où apparaît l'argent publique, une manne riche en quantité, les abus se présentent discrètement sous différentes formes que seuls les spécialistes des enquêtes peuvent déceler, en fouillant des comptes bancaires opaque en leur fonds ! C'est presque une tradition ! Voire une coutume de gestion des avoirs d'entreprises immensément complexe dans leur fonctionnement disparates que les chercheurs en la matière peinent à mettre au jour. Les coupables de cette bévues sont à rechercher dans des sociétés d'exploitations situées dans les hautes instances du monde des affaires dont le citoyen lambda fait partie, en cautionnant indirectement tout un système consumériste dont il porte dans une moindre mesure une responsabilité évidente ! Innocent dans sa vocation à contribuer à l'évolution sociale par sa participation directe au fonctionnement du système social, dès l'instant qu'il vit en société, le citoyen se sent étranger aux actes de décisions prises à son encontre ! D'ailleurs, tout est non seulement fait pour qu'il en arrive à cette déduction, mais encore il lui appartient d'en résoudre les problèmes en optant pour le seul acte qui lui rend une liberté surveillée : son vote ! Une prise de décision consciente cette fois-ci sur son propre avenir dont lui seul détient l'avènement. Samedi 6 mai 2023.
L'Afrique tourne-t-elle définitivement le dos à la France, misant ses propres enjeux sur le pion russe ? Wagner, le groupe armée de mercenaires enrôlés dans des guérillas favorables à l'expansion géostratégique de la Russie, ne présente guère de danger devant la Légion Étrangère, le fer de lance de l'Armée française ! La Régulière n'intervient toujours que derrière cette dernière, comme le rappelle son Histoire, au cours des conflits coloniaux qui ont coûté à la France toutes ses colonies ! Poutine n'est pas un militaire. Un simple homme d'état, égaré dans sa stratégie de conquête territoriale. On remarquera que la Chine cultive la philosophie confucéenne dans des concepts purement communistes ! Le livre Rouge du Grand frère Mao se lit toujours, le soir avant d'éteindre la lampe de chevet. Un mélange d'idées qui a donné naissance à une nation qui opère sur toute la planète, depuis le XIX° siècle, précisément, en étant encore présent aux Amériques. Le XIII° arrondissement de Paris leur appartient de droit. Ceux sont eux qui ont réhabilité la ligne de chemin de fer de Djibouti/Éthiopie, ainsi que les infrastructures qui se rattachent à ces deux états indépendants. L'addition, lourde en circonvolution militaro-économiques, a fini par asservir ses propres services à ces deux peuples piégés par l'avarice de leur ambition ! L'affaire du Juge assassiné par les sbires du Président de Djibouti, appelé « Petit-Bidon », par les militaires français de là-bas, ne fut jamais élucidée, sous couvert de froisser les relations diplomatiques entre la France de Jacques Focart et Djibouti, ancienne colonie française, indépendante depuis juin 1977. Détail de l'histoire eût dit Jean Marie Le Pen (pour ne pas le citer), lequel fut militaire colonial aussi durant la guerre sanglante de l'Algérie. L'Afrique ce fut également, cette nonchalance de vie que ses habitants cultivèrent durant des siècles, à l'ombre des feuillages d'arbres millénaires, symbole pour la culture locale. Certes, les autochtones guerroyaient entre voisins hostiles, dont les tribus défendaient des territoires ancestraux ; mais qui n'eut pas envie de trucider ses voisins, non seulement pour s'accaparer leurs biens !? L'Europe en fut le théâtre suffisamment longtemps,de sorte que le bas Moyen âge s'en souvient ! Les traces historiques foisonnent ! L'Europe crut en avoir fini avec les guerres internes à son continent, elle fut surprise par les massacres de Sebrenica en 1995 ; soit cinquante ans après la fin de la deuxième guerre mondiale ! Et voici que l'Ukraine fait l'objet de violence armée, presque trente années après le conflit de Sarajevo ! En interrogeant les peuples, ces derniers répondent qu'ils aspirent à la paix entre les nations. Dès le début de ce XXI° siècle, l'Ukraine désirait intégrer cette Europe prometteuse de liberté dans un «cadre» respectueux des autres états. Une même monnaie qui permet aux européens de se mouvoir dans l'Espace Schengen, en ayant le droit de s'installer là où la localité le permet. Le respect des lois va de soi et celui du citoyen également. Une fédération à laquelle rêvait Jean Monnet. Ce néolibéralisme laissa penser que la richesse pour tous sera bel et bien au rendez-vous de l'Histoire européenne d'où partirent les colonisateurs de cette Amérique, aujourd'hui controversée dans ses intentions empathiques de secourir, derechef, l'Ukraine. Il faudrait tout de même consigner dans un coin vif de chaque mémoire, que Kiev, les 29 et 30 septembre 1941, fut le théâtre de l'exécution de 33 771 juifs, tués par balles, par les soldats ukrainiens, enrôlés sous l'insigne Nazi ! Bonne lecture. Jean Canal. 5 Mars 2023.
On ne peut s'exonérer d'une analyse sur la conjoncture qui se déroule en Europe ces temps-ci. Une certitude cependant, nous n'aurons pas d'armée européenne ! La Pologne est désormais la mieux armée dans l'espace Schengen. L'ALLEMAGNE la talonne avec une technologie de pointe suffisamment élaborée pour répondre aux agressions les plus meurtrières, éventuelles. La Grande Armée de Napoléon, Elle, occupe tristement la troisième place. Les causes de ce recul sont toutes politiques en en attribuant la responsabilité à une gestion fantaisiste de l'état depuis le sarkozysme libéral ! Le pouvoir politique découlant de la souveraineté du peuple, ce dernier endosse les responsabilités du choix électoral et de la conduite du pays vers des priorités qui varient selon l'étiquette politique. Avec Emmanuel Macron, on sent l'inquiétude du Président de tout perdre en un seul jet de dès (Allea Jacta est). Sa timide initiative de participer à la bataille de ce début du XXI° siècle, s'explique par des finances condamnées à chuter, à la moindre erreur de gestion de son "entreprise" politique, en France ! En effet, puisque le contexte se prête à des conjectures insolubles, caractéristiques d'une tension persistante au sein des états impliqués directement ou indirectement dans les relations internationales européennes, au sens géographique du terme, il appartient à tous de se poser les bonnes questions, celles qui tenteront d'apporter les seules réponses aux conséquences des engagements des uns et des autres états dans cette guerre ukrainienne qui prend des allures de troisième guerre mondiale. Qui sont ou bien qui seront les Alliés d'aujourd'hui et de demain engagés dans un combat perdu d'avance quand on songe aux coûts de revient de cette "entreprise donc" dont les chiffres qui s'annoncent, dépassent les crédits que l'Ukraine pourra allouer aux occidentaux vainqueurs, en guise de remboursements en nature ou en matières ; et cela dans un désastre humain organisé autour des intérêts de chacun, impliqué intentionnellement dans cette nouvelle conquête économico idéologique, notamment nos amis fidèles : les Etats-Unis ? Il faut, effectivement envisager tous les scénarios capables d'advenir au cœur d'un conflit désormais mondial qui pourrait prendre des allures dictatoriales selon les puissances investies, en instance dernière... Chine et Corée du Nord suffisent à elles seules à contribuer à l'anéantissement de la configuration politique actuelle édictée par un occident qui impose sa marchandise ! Pensons, également, aux alternatives africaines qui ne doivent pas être considérées comme mineures du point de vue force active sur le terrain. La désorganisation des africains, sans cesse guerroyant entre eux, peut se modifier selon les intérêts économiques en proposition de la part d'ennemis potentiels hors espace occidental ! La Chine est présente en Afrique depuis les années cinquante... et elle étend son hégémonie jusqu'au Cameroun confronté à un néocolonialisme auquel son pouvoir législatif ne représente aucune force légale ! Avec ses méthodes économiques au service des pays pauvres, la Chine a réussi à s'imposer à Djibouti avec son Port, entièrement reconfiguré selon des travaux chinois et sa présence en ce point stratégique de la Corne de l'Afrique Orientale, fragilise les Américains et les Français omniprésents en ce lieu ! Il en est de même avec l'Ethiopie décimée par une guérillas fratricide entre population prise derechef en otage (Erythrée y compris) ; une fois le gâteaux chinois mangé, il ne reste même pas les miettes pour apaiser l'appétit vorace des présidents et dictateurs à la fois qui pactisent avec l'esprit de conquête uniquement idéologique des chinois...de Chine ! Dans cet imbroglio mondial, l'issue de secours d'une Europe en quête d'identité mondiale reconnue, est mince face aux enjeux internationaux qui se disputent entre les très grandes puissances dont ni l'Europe, ni l'Angleterre ne font plus partie ! Quant à la France, elle est chassée de son Afrique coloniale ! La Rédaction. 29/1/2023.
Quatre-vingts centimes ! C'est le prix de la fabrication d'un billet de 20 euros ! C'est cher ! Si l'on tient compte de la quantité fabriqués régulièrement de billets qui remplacent les coupures usagées. A l'échelle européenne, une goutte d'eau dans le sable.
En pratiquant une politique de durcissement au sein de son état, la Suède affiche sa tendance politique de Droite nationaliste, comme la démocratie européenne le permet. Les migrants en sont les sujets indésirables par une vaste majorité de la population exacerbée par la présence d'individus peu scrupuleux sur les lois suédoises. La Hongrie et l'Italie se sont positionnées sur l'accueil des migrants. Hostiles à une migration sauvage, ces trois pays font savoir à l'Europe qu'ils veulent rester maîtres chez eux. Qui seront les prochains états sur la listes de cette tendance de Droite dure. La Rédaction. 18/1/2022.
<Hitoire mondiale du xx° siècle>. Un ouvrage édité aux PUF acheté en ligne au mois de novembre (avec les frais de port 44 euros et quelques). 1150 pages consacrées à l'aventure humaine, au cours de laquelle sont détaillées les différentes périodes qui ont écorché les conflits humains. 50 historiens sollicités pour approfondir une histoire qui ne fut jamais autant enrichie de références et donc d'informations nouvelles. Les cent pages lues, le defrichement historique des événements mondiaux du siècle, font comprendre que le déclin de l'Europe fut évident des les années soixante. La richesse de cet ouvrage qui se lit comme un outil de travail universitaire, apparaît inestimable au regard qu'il lui est consacré. Ainsi, plus les données historiques précises les causes de tous les événements survenus, moins le doute est permis sur l'appréhension faite sur notre histoire commune ; la prédestiné des sociétés actuelles en est la résultante... Jean Canal. 8/12/2022.
Quelle place occupe Michel Onfray dans la société intellectuelle française qui se dispute la pensée philosophie politique ? Il faut se frotter à cet intellectuel de qui nous bannirons l'intitulé philosophique attribué de fait pour son œuvre, restant tout de même majeure dans la bibliographie occidentale de la pensée contemporaine ! Dérange-t-il ? Pertinent et à la fois impertinent en démantelant les œuvres des plus éminents intellectuels, Onfray n'a cesse de critiquer et à la fois de reconstruire la pensée ! Il a débuté en écrivant son premier livre en une nuit ; son éditeur lui demanda si c'était lui qui l'avait écrit ? Oui, répondit le jeune écrivain. C'est déjà là des signes qui ne trompent pas et qui annoncent que le monde devait se préparer à accueillir une pensée critique qui dérangera les plus grands de notre société intellectuelle et politique. Jean Canal. 20/12/2022.
L'Iran a été, et n'est déjà plus, le symbole d'un islam chiite contesté dans sa forme par ses ennemis de toujours, notamment l'Irak, pour une pratique rigoureuse de la religion : le port du voile en est devenu le grief retenu ces jours-ci par des femmes exacerbées du non-sens de ce détail de coiffe qui, effectivement, ne figure pas dans le Coran.
Le pacte d'alliance du Président de la République, Emmanuel Macron, annoncé par les heureux rescapés de la Droite républicaine en désertion, plus notoirement connue sous l'intitulé, maintes fois rebaptisé pour des circonstances évidentes, Les Républicains (au cas ou quelques adversaires eussent des doutes sur leur appartenance politique), ce pacte admet une « collaboration » -le mot est fort de café ; mais osons le pire pour obtenir le meilleur- entre des déçus et non déchus, d'une idéologie toute sympathisante fût-elle, durant les années soixante, laquelle prétend aider Emmanuel Macron dans son échec politique actuel ! En politique française, retourner sa veste est une pratique courante, exercée le plus fréquemment de manière courtoise, s'entend ! On sent tourner le vent ! L'atmosphère est au bilan comptable d'une situation précaire dans une économie au plus bas de son organigramme électoral. Emmanuel Macron est seul ! Abandonné par ses plus proches collaborateurs de ses débuts. La politique pratiquée jusqu’alors ressemble étrangement à celle de l'ultra libéralisme qui tend à envoyer à la casse l'appareil social français : les entreprises sont bradées. Les emplois en instance d'être renouvelés. Et la vie sociale livrée à la vindicte de hordes barbares qui profitent allègrement d'un système que les Français payent au quotidien. La France de hier ne reviendra plus et celle d'aujourd'hui ne peut se sortir de l'engrenage de dettes dans lesquelles les ont plongé les divers dirigeants de nos mandats présidentiels. Il nous reste le virtuel du passé pour rêver à un monde meilleur ! Jean Canal. 28/10/2022.
1-Bonjour France 🇫🇷. J’ai rencontré @EmmanuelMacron pour le faire savoir que l’Iran est en train de vivre une révolution. La France peut être le premier pays à reconnaître cette révolution. Les autorités françaises doivent rencontrer l’opposition iranienne au lieu du régime pic.twitter.com/VoPbYDIt6n
— Masih Alinejad 🏳️ (@AlinejadMasih) November 11, 2022
Emmanuel Macron est-il à la recherche d'une alternative politique située à Droite. Les Républicains sont-ils toujours dépositaires de la Droite traditionnelle française ? Les résultats de la dernière présidentielle en démontre le contraire, avec l'avènement du Rassemblement National dont la présence à l'Assemblée Nationale se comptabilise avec quatre-vingt-dix députés siégeant dans l’Hémicycle. Une claque pour l'ancienne Droite ! Nicolas Sarkozy aurait conseillé le Président de la République de se rallier à l'ancienne Droite qui souffre de sa dépréciation auprès des anciens adhérents qui ont rallié le RN ! Le flop de Zemmour qui aurait dû continuer sa carrière de journaliste éditorialiste sur CNEWS, à refroidi les idées de certains enclins à saisir les opportunités favorables à une idéologie tombée en désuétude ! Un malaise évident déjà observé, au cours des législatives, confirme une politique française malade de la culture entretenue durant plusieurs mandats présidentiels. La France manque de nouvelle politique hors référents historiques ! Les grands partis emblématiques, y compris le PC, ont vu leur électorat partir à la recherche d'idéologues appelés à changer la politique ; en vain. En franche minorité, le nouveau parti de Emmanuel Macron, « Renaissance » ne glane guère d'adhérents qui eux également cherchent une porte de sortie d'un imbroglio européen qui nous amènera à un durcissement du conflit Russe ! Jean Canal. 24/10/2022.
Le dogme se fissure. L'Islam chiite connaît une crise dans sa pratique, au sein même de sa paternité, en terre Persane. L'orthodoxie remise en question dans ses fondements par une contre-révolution populiste, agite le peuple iranien qui aspire à une entière liberté dans une société étant privée de droits ! Ni la démocratie, ni la laïcité sont des valeurs revendiquées comme celles à adopter et suivre, à l'instar de l'Occident, éternel modèle de progrès. Les iraniens et précisément les femmes, veulent se libérer d'un carcan ancestral hérité d'une frange religieuse rigoriste qui en exige le port. Le voile du Temple de Salomon s'est-il réellement brisé, lors de la condamnation du Christ ?
Le Wokisme aura à son tour voulu éradiquer de la mémoire universelle, l'Histoire de l'Humanité et celle des sociétés existantes ; et cela quelles qu'en fussent les idéologies qui marquèrent le monde des plus cruelles horreurs commises avec assentiments des grandes puissances colonisatrices ! La religion a longtemps procédé de ce nihilisme qui lui a permis d’asseoir son pouvoir religieux dans le sang ; les Hérétiques en furent les essentielles victimes notoires de l'époque, en Europe où l'Inquisition fit inhumer les « Bons Chrétiens » à dessein de brûler les restes mortuaires. La peur du phénomène récurrent hanta cette Église romaine qui sera, au XX° siècle, persécuté par l'immoralité des prêtres pédophiles.
Reste l'idéal universaliste qui ne préfigure point la société de demain dans son évolution promise par la démocratie, et ne semble toujours pas avoir réussi à s'intégrer dans les sociétés européennes, plus particulièrement. La condition humaine reste un sujet dans la collectivité qui entretient toujours les différences entre les genres. La couleur de peau s'étant estompée, avec un mélange racial évident, demeure une haine viscérale chez les adhérents du racisme pur et dur.
Deleuze et Bourdieu se situant à Gauche et parfois à Gauche de la Gauche ; Dérida et Foucault, situationnistes par vocation à combattre la société libérale de leur temps, dans une pensée semi révolutionnaire sociale, ont, chacun dans une pensée critique propre à leur idéologie universitaire, essayé de sortir la société de ses fondements académiques que la République de 1792 pérennise encore en ces temps mouvementés de la politique gouvernementale de la France. En effet, l'intolérance et le sectarisme ont préoccupé les penseurs des années soixante/soixante-dix, à la charnière du néocolonialisme occidental annoncé par l'implosion libérale ; en vain. La notion de démographie n'ayant point été retenue par les penseurs éphémères de ces quarante dernières années, il advient un nouveau problème de taille qui dépasse l'entendement des gouvernants européens : la nouvelle immigrations non désirée !
L'extrême Droite européenne saisit ainsi l'occasion pour crier au loup face à cette atteinte protée à nos libertés individuelles et à celle que défend toujours cette République qui n'attend qu'à se renouveler...
Aujourd'hui, on aurait volontiers cru que la Liberté est atteinte dans son concours de circonstance politicosocial. Il n'en est rien et paradoxalement, la société est en train de perdre la seule valeur intrinsèque qui l'eût sauvée de cette perte inéluctable.
Ce n'est point le suprémaciste blanc dont il faut avoir peur, dans toute son extrême dangerosité quand il réveille les vieux démons de son histoire ; mais de la nouvelle inquisition religieuse qui procède d'une méthode fallacieuse, instillée malignement au sein-même de la société laïque, déboulonnant son dogme de son socle ! Jean Canal. 17/10/2022.
LE PROCES DE MILLAS
Le procès de Millas deviendra la pierre tombale de celle qui refuse de reconnaître son erreur ! "N'avoue jamais !" fut, jadis et naguère, la devise des truands qui gardaient l'omerta dans des affaires qui les auraient envoyés soit à l'échafaud, soit à perpette... Reconnaître la Vérité est une vertu en soi, quelle que soit les circonstances du délit ! Une libération de la conscience qui permet, à nouveau de relever la tête. L'entêtement avec lequel, la présumée coupable reconnue dans ses fautes d'appréciation de conduite par les élèves survivants de ce drame, refuse de se reconnaître comme coupable. C'est d'autant plus ignoble que l'ignominie signe son crime ! Jean Canal. 09/10/2022.
Du mensonge à la Vérité ! La justice aura-t-elle su tirer toutes les conclusions qui conviennent à une impossible condamnation, cependant toute relative à ce drame ; une faute professionnelle qui n'incombe pas qu'une seule personne ? Il a fallu d'une défaillance humaine provoquée par l'effet de neuroleptiques incompatibles avec la conduite d'un véhicule, d'autant plus dans la fonction de transport scolaire, pour que la réalité devienne un cauchemar pour des adolescents confiants ! Le patron de l'entreprise de transport était si sûr de lui, à l'annonce du sinistre, en 2017, qu'il prit d'emblée le partie de la conductrice, sans mettre en doute son innocence. Le médecin qui prescrit ce genre de médicament ne doit-il pas informer le patient des risques encourus et, au regard d'un résultat d'analyse positif, refuser son utilisation dans des cas similaires à celui relevé dans cet accident ? Autant de questions qui recevront des réponses évasives sur un phénomène insoluble.
La souffrance est intense au cœur de ce procès. Elle est palpable, à chaque audience qui se rapproche d'un verdict. Les Parties Civiles deviennent alors les victimes d'une cause indéfendable !
Le lundi 19 septembre 2022, débute le procès de Millas, à Marseille.
14 décembre 2017, aux alentours de 16 heures, un autobus scolaire franchit le passage à niveau quand un TER arrive à cet instant. 23 enfants furent alors percutés. 17 blessés. 6 morts ! La conductrice, Nadine Oliveira, 53 ans soutient toujours la même version des faits, la sienne : "le passage à niveau était ouvert." La SNCF conteste ! Ce que les médias officiels taisent, sans doute par omission, c'est que la conductrice était sous neuroleptiques.., prescrits par un médecin n'ayant pas notifié le danger de ce médicament déconseillé pour la conduite de véhicule. 'Un détail' de cette affaire, où les coupables se dérobent, pour le déshonneur de la vérité !
Le 20 septembre 2022 au tribunal de Marseille, la jeunesse devenue témoin/victime, rescapée du drame, raconte sa vie au tribunal, la résumant à un traumatisme qui a saccagé tous les rescapés. Une adolescente détruite !
Le 22 septembre 2022, les experts comparaissent à la barre, ils ont rendu leur rapport. Leur conclusion est sans erreur possible : "la barrière du passage à niveau était bel est bien fermée, quand la conductrice à voulu franchir la voie ferrée !" Responsable. Madame Nadine Oliviera est donc, effectivement responsable d'avoir tenté de franchir trop rapidement la voie. Son employeur avait lui aussi défendu cette version des faits, lors du drame, en intervenant dans la presse, responsabilisant la SNCF. La Vérité est enfin mis au jour ! Quelle est la peine encourue pour un tel accident ? Le code pénal minimise ce genre de fait, retenant que la mort des enfants ne fut pas intentionnelle et que l'on ne peut condamner quelqu'un qui est victime de sa propre erreur, à une lourde peine. Les parents des victimes se contenteront-ils d'un tel verdict ?
Le même jour à Marseille, en plein tribunal l'audience fut interrompue par les larmes de crocodiles de Madame Nadine Oliviera qui faillit s'évanouir en revoyant la scène dont elle est, seule, responsable de cet accident. Les familles qui porteront ce deuil à vie n'ont pas été prises de malaise, elles, devant les faits évoqués...
Après les témoignages des enfants ayant fait le déplacement à Marseille, une des toute jeune victime du drame, relate les faits sans erreur possible : "la barrière était fermée quand la conductrice à traversé. C'est sa faute, continue la jeune adolescente. Je lui en veux..." Un témoignage qui en dit long sur le mensonge entretenu par cette conductrice, jusque devant les juges ; soutenant que la barrière était ouverte... A la lecture qui en est faite, à travers une presse régionale, couvrant, le Procès, jour après jour, une spéculation juridique conclura sur les responsabilités de ce drame qui ne repose pas uniquement sur la seule coupable, absente pour des raisons médicales. 5/10/22. Le verdict sera rendu le 18 novembre. Jean Canal. 10/10/2022.
Les polémiques politiques appauvrissent le débat des assemblées dont la convergence doit se faire au profit de la nation, et non des intérêts d'un groupe, soit-il majoritaire. 19/09/2022.
Ségrégation. Racisme. Antisémitisme. Xénophobie. Quatre courants de pensée qui sont demeurés intacts, voire entretenus, cultivés depuis les quelques manifestations institutionnelles ayant tenté de les abolir. La démocratie a échoué, dans ses tentatives législatives. La constitution prit maintes fois les devants en recourant, effectivement à la législation afin de faire écrire des lois pénales à l'encontre d'exactions commises aux victimes de cette haine viscérale qui gangrène la vie en société. Les sociétés ne peuvent toujours pas se débarrasser de ce fléau, en nette propagation sur la planète. La paix entre les peuples reste un leurre. Une espèce de prêche communautaire recluse dans un espace trop vaste afin de pouvoir le contrôler, défend une idéologie mortifère. Nous vivons avec et dans la discrimination coutumière, parce que c'est le propre de cet individu social de critiquer ce qui ne lui convient pas ou plus. Un esprit de défiance prejuge de l'autre, en se fondant sur des critères d'apparence. Jean Canal. 6 septembre 2022.
Le coût de la vie à l'ordre du jour des politiques. Le Président de la République sortira-t-il le pays de la crise sociale qui se prépare ? Malgré les aides de premières nécessités dévolues aux plus démunis, l'indexation des marchandises semble prisonnière d'un système économique dépendant des valeurs des produits de base. Les français sont-ils préparés à sélectionner les centres d'intérêts primordiaux du quotidien et indispensables à leur vie ; sacrifiant les pôles artificiels qui plombent leurs budgets ? L'addiction à la consommation se compare à un mimétisme maladif, souvent incurable. A suivre. 28/08/2022. Jean Canal.
LES STATISTIQUES SONT FORMELLES SUR UN POINT : la majorité des français minimisent la qualité de leur nourriture en y consacrant seulement 20% de leur budget ! L'effet papillon qui s'enclenche, dès qu'une décision est prise avant même d'être appliquée, provoque des effets irréversibles sur l'ensemble de l'humanité. On ne peut plus prendre des initiatives sans prendre en compte l'ensemble de la communauté humaine de la planète. Nous sommes responsables des comportements d'autrui quel que soit le lieu de vie ! Nous dépendons désormais les uns des autres dans le cadre des pollutions émises. Cette signification trouve son origine en amont de la chaîne du consommateur qui, souvent inconsciemment cautionne un système qui lui est néfaste, entraînant ainsi toute la chaîne d'exploitation du consumérisme, jusqu'à une saturation globale au niveau mondial des éléments qui constituent, actuellement, notre survie. Ce phénomène est à prendre au sérieux : 2030 sera la date ultime des alternatives restantes concernant les capacités à s'extraire d'un environnement privé des essentielles ressources ! Et vous ne pouvez plus dire : "Je ne savais pas !" Les derniers effets climatiques en France se répercutent au cœur des citoyens qui semblent enfin comprendre que le climat se modifie inextricablement. Jean Canal. 18/08/2022.
De la transition énergétique pratiquement inexistante et qui demeure encore à l'état de pensée politique, intéressons-nous à celle de la substance qui obligera l'humanité à abdiquer face aux fléaux que présente le résultat des modifications climatiques, systématiquement inévitables à notre évolution planétaire. C'est très simple à comprendre, mais difficile à faire accepter aux plus hautes instances des états concernés par ce phénomène, contre lequel il est aléatoire de prétendre à en modifier le processus. L'état des choses actuelles l'atteste ! Le bilan tiré en conclusion de notre existence, ne présente guère d'optimisme pour un avenir proche ; étant donné qu'il est autorisé à croire que la science évitera le pire, avant la fin du présent siècle. Quels sont donc ces risques qui adviendraient de sorte à nous obliger à rompre définitivement avec un mode de vie qui n'est plus en adéquation avec celui vécu jusqu'à présent et qui, peut être, casserait la chaîne, reliant les maillons avec la culture du passé ?
La première conséquence évidente pour tous, mais invisible au cœur même de certains pays, pourtant indirectement concernés, est le déplacement des populations qui migrent vers des espaces où les paramètres d'un climat tempéré permet l'exploitation d'un cadre de vie conforme aux nouvelles normes restant toujours à définir. Une démographie exponentielle aggrave les contextes sociétaux, incapables de répondre convenablement à la mise en place d'infrastructures conformes.
Les efforts de l'homme face à sa propre situation sont paradoxaux au constat qu'il fait d'un contexte où il est le premier responsable. Les effets d'annonce faites part les autorités publiques qui mettent en exergue « l'écologie d'abord », ne modifient guère ce processus qui à tendance à progresser dans son action dévastatrice inéluctable. L'époque est donc dédiée à l'écologie qui englobe dans son vaste projet d'assainir « le monde » des pollutions fossiles, la transition énergétique dont les résultats n'effleurent que la partie émergée de son projet en devenir.
Les états et à une échelle toute relative à l'urbanisme, usent avec succès de ces arguments pour justifier toutes entreprises nouvelles, répondant à la volonté politique de l'urgence climatique, selon des cahiers des charges élaborés aux normes établies par les autorités qui en appliquent les paramètres. Le système est tel qu'il ne parvient toujours pas à se défaire d'un mécanisme industriel inapproprié pour édulcorer son urbanisme. Cette manière de manipuler les paramètres de l'écologie devenue subrepticement pluridisciplinaire ne résolve en rien le problème inhérent à notre existence qu'est le processus irréversible du chamboulement climatique. Les faits sont là ! Et ils annoncent des conjonctures entrecroisées de problèmes insolubles devant un système pratiquement impossible à changé, tant que les mimétismes individuels n'auront pas été radiés des habitudes consuméristes de l'ensemble de la société ; à l'heure actuelle, ce n'est toujours pas le cas ! Jean Canal. 23/06/2022.
LA QUESTION non inquisitive résiderait dans la seule réponse qu'elle renferme dans son acception même. Il suffirait de la contenter, afin de la maintenir au dehors de la raison dont elle est fondée. Le savoir intelligible de l'entendement dont les limites commencent, là même où l'esprit règne dans la pensée ou du moins par la pensée quand celle-ci ne trouve aucune réponse, ce savoir est perdu. Au diable la raison pratique qui tend justement à conforter le progrès dans son aveugle dangerosité à vouloir gommer du passé l'archéologie artisane de l'art ! Une question donc qui ne trouvera jamais de réponse contrairement à la rationalité cartésienne qui soutient le contraire dans l'axiome matérialiste de la modernité ! Le monde de la pensée s'est effondré au cours du début de ce XXI° siècle où il fut abjuré par la vaste majorité des populations industrieuses de l'Occident ! Point de morale de la pensée pour reconstruire les mondes d'hier encore présents dans les textes. L'évolution technologique qui dirige nos faits et gestes sera toujours acculée à cette impossibilité de s'extraire de sa dépendance envers tout ce qui la rend aliéné à une attraction matérialiste actuelle. Les philosophes du XVII° et XVIII° siècles ont été inhumés avec leur savoir dont il ne reste que des hypothétiques raisonnements ne répondant toujours pas aux problèmes rationnels du présent. La Réponse est toujours dans l'expectative d'être entendue ; en vain ! 26/05/2022. Jean Canal. Réflexion sur la lecture des philosophes et penseurs des siècles derniers ; excepté le XX° !
Un état totalitaire ne se dissimule-t-il point, en fait, derrière la souveraineté des peuples qui optent pour un seul représentant dont le pouvoir peut mettre en danger une démocratie, lorsque cette dernière idéologie perd de sa force constitutionnelle dans sa persuasion légitime ? Devez-vous avoir peur de Marine le Pen, plus que de cet hypothétique « grand remplacement » d'une seule et unique population au cœur des sociétés déjà fortement imprégnées de mixités ? Et si l'évolution de l'humanité, puisque c'est d'elle dont il est question, reposait plutôt, et cela paraît de plus en plus évident, sur le mélange des genres au profit d'un seul : la Liberté. Les démons ont évoqué une espèce d'arabisation de l'Europe qui succéderait au christianisme, en l'ayant supplanté, sur des points de conquêtes, non plus criminelles, mais ethniques, moyennant le prêche religieux ! Une essence divine comme éthique sociale eût été la valeur d'origine, avant l'avènement politique des idées qui en découlent. Là, la religion n'a plus sa place de jugement sur ses fidèles. Le spirituel eût sauvé le monde s'il eût été conduit conformément aux préceptes religieux qui le commandent. A ce sujet, tout fut enseigné, pour ceux qui en connaissent les principales révélations ; en quelques mots : tout est écrit. L'histoire qui en résulte, certes n'est point teintée de paix universelle comme aboutissement mondial -deux milles cinq cents ans que les civilisations s'entretuent ! Pourquoi espérez-vous que cesse cette haine de l'autre envers l'autre ?! Le XX° siècle fut le plus meurtrier avec 14/18 et la Choa ! Un entêtement idéologique d'éliminer une entité ! Eussiez-vous imaginé que les femmes et les enfants soient épargnés, tout simplement parce que les nations unies autour de valeurs humaines statuent sur le sort de chacun ! Les Droits de l'homme sont également des fragments de textes édités pour rassurer ceux qui connaissaient les conséquences que l'homme pouvait provoquer, si des interdits ne lui furent pas signifiés par des lois de papier... Il fallait des guerres pour ponctuer ce XXI° siècle qui commença par la peur de fin de monde, annoncée par quelques illuminés ! La guerre de l'Ukraine qui couvait depuis les derniers conflits devient la synthèse de ces Nations qui ne contrôlent toujours pas les propensions des uns et des autres, animés d'animosités à l'encontre de populations considérées comme hostiles, selon des critères subjectifs, infondées, néanmoins suffisants pour trouver un prétexte de s'en débarrasser ! A l'heure actuelle, la Palestine est toujours en conflit éternel comme il est écrit dans les textes, l’Éthiopie provoque une guerre sur son propre territoire, l'Afrique entretient des conflits sur des critères à éclaircir et enfin l'Ukraine meurtrie et livrée à son sort semble faire une pause dans les massacres que perpétue la Russie de Poutine. Pensez-vous vraiment que vous pouvez être apaisés, par l'assurance d'une paix universelle promise ? Ne dormez que d'un œil, en laissant la paupière de l'autre entrouverte...sans pour cela perdre le sommeil ! Jean Canal. 13 avril 2022.
Lorsque le constat qui est établi répond scrupuleusement aux analyses de nos plus grands intellectuels qui s'arrogent effectivement de droit de critiquer judicieusement la société et ses composantes humaines, l'on se doit d'adopter profil bas et de retirer de cet enseignement une culture intellectuelle ayant pour fonction de prévenir les risques encourus qui nous guettent tous (que ce soit d'un point de vue du chamboulement climatique ou/et d'éventuelles guerres) ! En une période sombre de nos relations internationales qui se sont considérablement détériorées, il est recommandé de se fier à ceux qui réfléchissent sur notre propre condition, vouée à connaître une mutation majeure dans l'évolution de nos sociétés actuelles. La France possède depuis les périodes du moyen-âge, en héritage des Grecs et des Latins, s'entend, une manne intellectuelle exploitée sous toutes ses formes, artistiques et culturelles. Vain serait de s'en enorgueillir et de se mirer en se reconnaissant dans cet héritage qui ne fut pas, nonobstant les quelques penseurs qui en retirèrent un profit universel, à la hauteur non reconduite par les hoirs du XIX° et XX° siècles ! Regardons plutôt la richesse livresque dans laquelle furent consignés les témoignages et traductions des écrits anciens, comprenant des textes autant juifs que arabes desquels nous surent tirer profit, en exploitant la pensée. Nous n'en citerons aucun, pas plus que nos contemporains ne verrons leur patronymes excipés, dans cet Edito de Mars. Pensez-vous un seul instant qu'il soit sérieux que l'on retrouvât la sépulture de Socrate, créant ainsi un culte sous forme de pèlerinage ; à l'instar de celui de Lourdes ?! En contre partie, la conjoncture actuelle qui se dessine en pleine Europe centrale, s'il faut la situer géographiquement, revêt des controverses ahurissantes de la part de personnes fort considérées dans un entourage refermé sur lui-même, en précarré d'un quant-à-soi pluriel, et non pluraliste ! La sophistique étant une des nombreuses sciences du langage issue des Grecs anciens (lire le Gorgias) en une période faste pour cet intellectualisme du V° siècle de Périclès, elle connaît une pratique grotesque de la part de "journalistes" et hommes politiques dont l'entêtement entretient véhémentement une idée reçue telle qu'elle est interprétée par ceux qui ont une ferme intention orientée vers la controverse de l'opinion générale, plus particulièrement ! En pensée, rarement le peuple eut raison, au cours de l'Histoire nationale de la France ! La plus signifiante période fut celle de la Révolution française, précisément définie sous l'époque de la terreur (1793/94). Les médias d'aujourd'hui ne manquent jamais d'en faire leur, cette rhétorique usagée, si l'on l'utilise à mauvais escient, comme il est souvent le cas. Ce qui est évident pour les intellectuels autorisés en cette matière, ne l'est point pour la vaste majorité repentante qui se contente, à défaut de réfléchir, d'acquiescer, sans mot dire, si ce n'est en opinant ostensiblement à ce qui vient d'être conclus sur un sujet majeur, devenant pour des circonstances engagées, mineur, et cela afin de réconforter l'idée du mensonge que la sophistique cultive, avec outrecuidance ! Jean Canal. 4 mars 2022.
La jeunesse a-t-elle le devoir de se sacrifier à la faveur des causes humaines ? Qui donc s'arroge-t-il le droit d'expédier à la mort un seul individu de sa propre nation ?! Pour ceux qui se sont construits une existence sans morts dans leur propre histoire, ceux-là mêmes qui ne comptabilisent aucun chiffre de décès commémorés de la sorte : « Mort pour la France. » Ceux-là ne peuvent comprendre cet accent de révolte émané du fond des âges endeuillés par les hommes eux-mêmes. L'occasion se présente à nous comme une opportunité appelant à la réflexion sur le contexte civique que suscite une guerre dont l'ampleur ne peut être établie sur de simples échanges armés, entre ennemis. Qui sacrifierait sa vie pour défendre un état considéré comme son pays quand ce dernier ne répond plus aux doléances de son propre peuple ? Le patriotisme d'antan quand les Poilus ne pouvaient refuser l'engagement solennel du soldat envoyé au front pour mourir en héros !, ce patriotisme-ci existe-t-il encore au cœur de la citoyenneté française, plus particulièrement ? La Lettre du déserteur adressée au président de la république, de Boris Vian, ne traduit-elle pas le paroxysme du nihilisme humain, confronté à sa survie, quel qu'en soit la moralité à en déduire ?! Les jeunes gens en France auraient-ils réellement envie de mourir pour des idées, comme le chanta Brassens, plutôt que déserter comme le fond les jeunes soldats russes, aujourd'hui ?! Un pays vaut-il vraiment la peine que l'on se sacrifie pour une nation ?! Quelle qu'en fût sa valeur élevée au rang de suprématie, la mort ne doit point être le choix d'autrui qui en commanderait la raison ! La gloire n'appartient qu'aux suicidés de l'Histoire ! Jean Canal. 25/03/2022. Photo Jean Canal (archives).
Repenser notre organisation nationale au chevet d'une politique citoyenne adaptée aux risques éventuels de maladies inconnues et/ou de situations ubuesques relevant de conjonctures inappropriées à la vie en communauté. Recentrée vers des pôles sécuritaires assurant la parfaite sûreté de l'individu, la politique nouvelle à adopter reposerait plutôt, en effet, en une culture des besoins fondamentaux de première nécessité, selon l'usage usité, répondant aux valeurs humaines relatives à notre système démocratique dans l'esprit des cinq Républiques. Pourquoi abandonner un héritage historique qui fit preuve de progrès sociaux, certes lents et cahoteux, mais suffisamment persuasifs pour modifier à chaque république le contenu d'une politique devenue, à ce jour, progressiste. Le coronavirus révèle les inquiétudes présidentielles d'états dont on ne soupçonnait point qu'ils pussent éprouver des difficultés d'ordre rationnel dans leur organisation du traitement d'une maladie pandémique ! C'est une preuve de faiblesse légitimée par l'ampleur de l'importance du virus, par son action dévastatrice auprès des plus fébriles. A l'heure où les centres de cancérologie fleurissent en France en des espaces aménagés avec les dernières technologies de pointe, l'incapacité d'éradiquer promptement le virus a pris de court toute la classe scientifique soudainement démunie. Un exemple donc à consigner dans les registres des annales de la médecine générale de sorte à anticiper sur des événements de cette envergure ! A l'exemple de la peste ayant sévi durant la période indiquée par Thucydide qui en donna une description mémorable, Il y aura, néanmoins, toujours de nouveaux cas de perturbation dans un métabolisme qui lui-même subit des disparités dans son organisme ! Les conclusions trop hâtives pour en dresser un contenu exhaustif, suivront sans doute une voie jusque là inexplorée dans le domaine de la science, inspirée pour les circonstances par cette sinistre expérience subie avec le covid-19. Malgré, effectivement, un progrès évident des conquêtes sur des maladies dangereuses comme la peste de Marseille, persiste
LA PRESSE ILLUSTREE. Sur fond de page blanche l'écriture journalistique vit le jour. La caricature alterne avec le dessin représentatif du fait divers à traité selon le degré d'importance à lui conférer. Très vite, la presse s'organise autour de la présentation des idées qui doivent rendre compte des situations sociales, politiques et populaires de la vie quotidienne du pays.
La virtuosité qui se dégage insidieusement de l'image, à considérer dans son reflet identitaire de l'actualité prise comme toile de fond, tend à détourner le regard de la réalité conjoncturelle, focalisée sur des événements encensés pour l'occurrence. Un paradoxe à considérer avec une certaine perplexité, si l'on veut aboutir à une vérité toute relative de la situation mise en exergue dans l'information spécifique. Le journalisme trouve l'essentiel de sa nourriture dans son exploitation médiatique, au service de circonstances, souvent dévoyées de l'illustration factuelle du sujet. Sans elle, l'écriture apparaît insolvable d'un point de vue marchand. Elle manque de crédibilité au regard du lecteur qui recherche un témoin de ce qui lui est raconté sur une page, à travers des articles notamment. Les sujets qui s'y référent renverront systématiquement à l'idée qui découle du fait, interprété par l'auteur. Le lectorat, lui, portera son jugement par rapport à la lecture qui en fait finit par illustrer l'image devenue pour l'occasion un support d'écriture. Le Journal local reste, cependant, le référent de l'actualité. Il est survolé dans les cafés où le consommateur régulier sait qu'il va retrouver son quotidien, protégé du vol par une barre de bois qui le rattache à son propriétaire, le patron du débit de boisson qui a toutefois le mérite d'acheter, chaque jour, ce que certains considèrent être "la bible" de l'information. La caricature existe toujours et ajoute à la presse une touche de savoir. Contrairement aux prévisions des exégètes de la connerie, hautement diplômés, qui prévoyaient la disparition du papier au profit de l'internet, les deux sont désormais devenus compatibles, voire complémentaires comme les nostalgiques des crieurs de journaux, qui ont disparu. Jean Canal. 5/01/2022.
"L'usage illimité que nous en faisons est-il avantageux ou préjudiciable au bien public ?" Cette dernière phrase est absente de certaines éditions. David Hume, Essai sur la liberté de la presse (1752)
Hé !, Ducon ! Tu la sens ma Verve..? QUI SONT NOS ENNEMIS, aujourd'hui ? Le désarmement des grandes puissances comme signe de paix unilatérale fut invoqué dans les années soixante-dix quatre-vingts, quand les tentions EST-OUEST atteignirent leur paroxysme. C'est cet engagement qui fut prit entre les États-Unis et l'URSS, quand cette dernière puissance, la plus surarmée de la planète pour l'époque, touchait le fond de son idéologie communiste, à bout de souffle, à l'aube de 1989. La chute du Mur de Berlin annonça la fin du socialisme soviétique et donc une fragilité dans sa politique économique en panne, affaiblissant tous les états étrangers qui se rattachaient à leur politique (Cuba, quelques états africains). Les états satellites de l'URSS provoquèrent des conflits, notamment en cette Europe, lesquels déstabilisèrent l'unification sous un seul emblème : la guerre du Kosovo qui fut un modèle de cruauté dont l'exemple se retrouvait au sein de l'Allemagne Nazi.
ERNEST RENAN QU'EST-CE QU'UNE NATION ?
De la Nation pour la reconnaissance de l'individu. «L’existence d’une nation est un plébiscite de tous les jours. Ce qui distingue les nations, ce n’est ni la race, ni la langue. Les hommes sentent dans leur cœur qu’ils sont un même peuple lorsqu’ils ont une communauté d’idées, d’intérêts, d’affections, de souvenirs et d’espérances. Voilà ce qui fait la patrie. J’en ai pesé chaque mot avec le plus grand soin. C’est ma profession de foi en ce qui touche les choses humaines.»
Universités à la demande
Le modèle anglo saxon définitivement adopté à l'unanimité par la politique française, en pleine connaissance de cause. Eussions-nous Fillon au présidentielles de 2017, c'eût été une politique identique qui fut tenue. Celle de Emmanuel Macron révèle son vrai visage plus ou moins masqué, à la fin d'un mandat chaotique qui ne laisse rien augurer de favorable à sa réélection pour 2022.
Extrait de la Revue esprit juillet-août. "L'immatérialité de l'information"...la libération de l’information de son ancrage matériel passe par la forme algorithmique et, comme si cela ne suffisait pas, les algorithmes « poussent les humains hors du marché du travail, la richesse et le pouvoir pourraient être concentrés dans les mains de la minuscule élite qui possède les algorithmes tout-puissants, créant une inégalité sociale et politique sans précédent ». Le xxie siècle verra l’émergence d’une sous-classe inutile. « Cette “classe inutile” ne sera pas simplement sans emploi, elle sera inemployable. » Les algorithmes informatiques pourraient devenir si performants qu’ils seraient susceptibles de devenir des personnes juridiques, et de posséder eux-mêmes des entreprises. Il va sans dire que les avancées de cette technologie sont pensées comme inéluctables."
Le Président de la République parviendra-t-il à mener son dessein à terme, en réformant de fond en comble un pays on ne peut plus attaché à ses valeurs sociales ? Pour l'heure, rien n'est gagné ! Le dernier bras de fer avec la population risque de faire plier le pouvoir sur certains points d'achoppement : septembre entamera une énième rentrée des contestataires ; aucun doute à avoir sur ce sujet récurrent qui, rappelons-le, pose une contrainte générale pour tous ! -les réformes des retraites étant pratiquement adoptées, il appert une conjoncture délétère d'un point de vue social. Jean Canal. 16/08/2021. Lire la suite
Loin des turpitudes politiques qui forcent le trait des mesures de précaution garantissant une sécurité sanitaire nationale, persiste un courant contradictoire (signe de bonne santé des contestataires français) qui refuse catégoriquement d'être bâillonné en permanence : le masque ! En bref ! La désobéissance manifeste derechef ses intentions de contester les directives gouvernementales. C'est le port du masque à l'extérieur qui, en plein air, plus précisément, génère des tensions au sein d'individus sensibles. Un phénomène qui n'a pas manqué de susciter des vocations culturelles dans l'écriture et le dessin, sanctionné par des livres et le dernier de Charlie Hebdo ! C'est dire si tout thème est exploitable, y compris la mort dont il découle une liste sinistre depuis la frappe du coronavirus. Jusqu'où, donc, l’indiscipline peut-elle être admise dans un contexte qui exige quelques règles de proximité..? Dans une fiction encore à rédiger, "on" devrait regrouper les cons dans un même endroit : un lieu où il conforteraient l'idée du vivre ensemble sans masque (les grandes agglomérations sont suffisamment vastes pour y parvenir). Le problème serait que nous, ceux qui jouent le "JE" serions soudainement isolés par la vacuité de l'espace devenu désert... Jean Canal. 4 septembre 2020.
«Je ne fais de guère à personne ! Garder le meilleur et changer le pire.» « L'indépendance de la justice. » Dupont-Moretti.