La photographie du jour, symbolisant une époque, revécue sous les signes de la balade en une ville d'exception, Aix en Provence. Le bonheur fugace fût-il comme dans toute histoire d'amour, se manifeste derechef en de frêles pensées qui donnent à la balade une raison de vivre ! Cette "affiche" collée sur les panneaux de bois qui masquent intentionnellement les travaux effectués sur la structure de l'ancien Café, très connu à Aix, se veut le reflet des belles années du lieu, où, comme le confirment les signatures des illustres artistes ayant séjourné ici, -Sartre ne fut point un artiste, sa notoriété n'est plus à faire- les mondanités parisiennes se rendaient, à l'instar d'un rendez-vous au Café de Flore. C'est cet ensemble d'éléments composés qui fit qu'un cliché fut indispensable pour mémoriser ce montage urbain. Les ombres ne pouvaient que servir ma cause, celle de l'Art manifeste en ce coin de photo. Les deux personnes qui traversent mon champ de vision, ajoutent à l'histoire d'une époque définitivement terminée. Un lien strictement intime m'attache encore quelque temps a cette ville : une fille, celle qui me prit ma virginité... Photo Jean Canal. Copyright. 27 mars 24.
Clap de fin pour ImageSingulières à Sète !
Très exhaustive dans son panégyrique de présentation des idées mises en forme pour les bonnes causes de la Culture de cet art décrié, puis admis comme œuvre d'exception, et enfin ancré dans la postérité toute relative à chaque artiste, cette rétrospective de la création apporte suffisamment de réponses aux questions que les amateurs en cette matière pourraient réussir à se poser, confrontés à l'inexplicable ! Il faut plus que se réjouir que les médias audiovisuels, plus particulièrement la chaîne Arte, s'organise pour traiter des sujets relatifs à la culture de l'art. Jusqu'à présent, tous les documentaires, y compris ceux à connotation intellectuelle, ont apporter un enseignement sur cette culture particulière dont l'histoire, prend son élan dès le XIX° siècle avec les premiers mouvements de peinture, hors toute forme académique. Les Impressionnistes ont su s'éloigner des formes conventionnelles pratiquées dans les institutions officielles des écoles ! C'est aussi à partir de ce siècle, étrangement, que l'ont redécouvrit le Temple de Delphes, comme signe d'un retour aux sources. A suivre. Mars 2024.
Pour s'y être rendu plusieurs fois l'an, depuis son ouverture et même avant son ouverture, puisque presselibre.fr fréquente les lieux depuis 25 ans déjà, par le truchement de Jean Canal qui voulait en faire quelque chose de sain ! Les expositions photos dans un espace pas tout à fait répondant à un aménagement conventionnel, rivalisaient entre elles avec majesté. Les artistes furent toujours aux rendez-vous des Rencontres d'Arles. On ne peut pas reprocher un manque de goût aux organisateurs qui déploient tout au long de l'année une énergie conceptuelle pour "montrer" aux gens venus parfois de loin, les dernières trouvailles en matière de photographies insolites.
CULTURE PHOTOGRAPHIQUE : Café Blachère un Mythe de la ville d'Avignon, comme tant d'autres, s'est éteint. Photos Jean Canal. En direct. 12/13 mars 2024. Nous ne sommes plus à ARLES, chez LUMA. Le rendez-vous à ne pas manquer se tiendra le 15 mars : DIANE ARBUS et nous ne sommes plus également à Avignon...Nous sommes descendus en Provence, direction Aix-en-Provence...
On nous envoie ce lien, nous vous en faisons partager le contenu exceptionnel... Un Homme raconte com ment il frappait sa femme ! Un des nombreux reportages réalisés par Jean Canal. Un grand merci aux narbonnaises...et, en particulier à la prof de Français dont Jean Canal préserve un souvenir mémorable, en cet hiver pluvieux, froid et où Phébus, lui-même, ne daigna darder quelques rais pour illuminer ces rencontres. On peut en cette journée, donc, lancer des baisers dans le ciel afin qu'ils retombent sur la bonne personne. Poutou d'un toulousain. Mise à jour le 12 mars 2024.
L'Art, en effet, a complètement dépassé les normes que l'on lui imposait, jadis et naguère, quand il fallait donner des limites à l'expression, voire, au pis, à la pensée, parfois et même souvent dans un cadre moral. L'Art a fini par imploser dans les cites urbains, surpeuplés, où les manifestations artistiques se multiplient, convergeant vers un pôle unique : celui de s'exprimer ! Le phénomène enfin accompli, il reste à l'inspiration peu d'espace dans un matérialisme presque désuet dans sa pratique à deux doigts de devenir obsolète. Le virtuel est déjà en ligne. Il propose des créations en tout genre. L'Art académique demeure dans les musées plutôt assez bien conservé par les classiques qui se référent toujours aux balbutiements de la création artistique. Ces artistes-ci qui s'ignoraient sans doute, ne prirent conscience de la valeur historique de leurs œuvres. Il nous a fallu suffisamment de temps, clôt dans des époques, elles-mêmes circonscrites dans un espace intemporel afin de découvrir son existence. L'Art fut comme la vieille pierre tombée des murs des châteaux abandonnés au fil des guerres, un sujet tabou à ne considérer que par quelques rares exégètes et amateurs du beau, lesquels distinctement des uns et des autres, confondirent le patrimoine d'avec leurs richesses... Un phénomène de démocratisation artistique qui oblige à considérer toute création comme pouvant prétendre à de l'art. On le sait, l'histoire contemporaine nous l'a démontré : seuls les plus grands demeureront dans la postérité artistique. Il faut que le temps passe et que la distance qui sépare la création de sa reconnaissance soit suffisamment long pour que le jugement fasse à nouveau renaître la quintessence de l'œuvre, ainsi représentée à une nouvelle modernité ! Des œuvres sont figées et ne connaîtront aucune dévaluation ; elles sont enchâssées dans l'Histoire, contre leur volonté. A suivre. Jean Canal. 1er avril 2024.