CRITIQUES MEDIAS

By | 23 mars 2024

Article XI « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. » La France devenant, à nouveau, le premier état européen, devant la Suisse, de la délation populaire ! Cet article issu des Droits de l’Homme de 1789, vous garantit la liberté de laisser un con pour ce qu’il est, quel qu’en soit son identité ! Rien ni personne ne peut donc vous interdire de déblatérer des inepties aux individus que votre jugement impartial considère comme étant par nature cons et/ou connes ; lesquels formuleraient, insidieusement, des intentions malveillantes à votre encontre. Une méthode qui repose sur une investigation dans votre vie strictement privée, lors d’une rencontre, non pas fortuite, mais mûrement réfléchie par une espèce d’autorité institutionnelle que l’Uniformité du genre orchestre, avec médiocrité ! Votre tranquillité ayant été perturbée pour des raisons peu louables par cette espèce humaine déclassifiée dans la hiérarchie sociale et/ou professionnelle, votre devoir de liberté d’opinion impose une réplique sous les formes de justice rendue moyennant des représailles à l’encontre de ceux et celles qui osent violer votre tranquillité. En s’enquérant de vos activités personnelles, ces individus ont suscité une curiosité malsaine dans le but ultime d’en détourner les raisons au profit de l’Autorité déchue, en ces circonstances, de son pouvoir devenu illégitime. La justice défend et protège votre vie privée. Larticle de Marianne, rubrique politique, nous exlique les raisons qui amènent a changer d'idées : <Violette Spillebout, la rapporteure de la loi sur la sécurité des élus locaux revient sur l’amendement qui porte sur l’allongement du délai de prescription en matière de diffamation envers les élus et dont elle demande finalement la suppression. Elle assure que le texte était destiné à protéger les élus locaux, constamment injuriés sur Internet, et non pas à restreindre la liberté de la presse.>

La leçon de journalisme admet une connaissance des situations géopolitiques à traiter, de façon à ne pas, en effet, pencher du côté du plus fort ! L'Ojim nous invite à y souscrire notamment pour des médias qui dérivent vers la facilité d'une presse manichéenne, exhaustive dans un genre populiste voire populaire (quoique le populisme en France eut ses heures de gloire avant 1936 et après 1945). Et pourtant ce Monde Diplo cité par le Directeur de l'OJIM, Claude Chollet, ose publier un article qui apporte, effectivement, une réponse aux questions que ne veulent pas ou plus se poser les journalistes d'investigation, lesquels malgré qu'ils en aient, se situent toujours dans une position ambiguë insoluble pour des déductions non partisanes ! Non pas qu'il cultivât l'incertitude de leur travaux journalistiques, mais le constat des faits est désolent au regard des contextes qui émaillent les terrains de conflits et guerres, abandonnés par la conscience générale ! Et pourtant, Le Monde Diplomatique que Jean Canal depuis juin 1984 et auquel il fut et est aujourd'hui abonné, fut le seul Mensuel à n'avoir reconnu, par sa plume, avant l'arrivée de Ignacio Ramonet qui n'avait pas sa langue dans la poche gauche de son éditorial, qu'il n'y avait pas de Charnier attribué aux tueries de Ceausescu, lors du renversement de pouvoir en 1989, en Roumanie ! La presse générale étant sur place avait soutenu que Oui ! Son erreur d'analyse traduisit le côté politique duquel elle penchait le plus... Jean Canal. 8 novembre 2023.

Attention ! Ne vous m'éprennez pas sur la pensée rousseauiste prise dans l'ensemble de son œuvre qui repose, effectivement, sur ses "rêveries d'un promeneur solitaire". L'écart avec le monde profane,  qu'il se fût enrichi par un savoir maladroitement exploité ou/et un enseignement dilapidé au profit des plaisirs artificiels, cet écart ne se prive pas de la société dans laquelle il se reproduit. Tout au contraire, sans sa présence la distance avec elle ne se peut réaliser et sa remise en question permanente être effectuée au profit de tous. A partir d'un élément qui la composent, la masse (terme péjoratif) agira selon des préceptes formés sur les modèles les mieux adaptés à la Communauté humaine. L'individu obéit à une logique d'apparence qui protège son identité. Reproduit en nombre cela devient un phénomène admis dans la norme et adopté pour l'ensemble des composantes du système dans lequel l'individu évolue relativement aux attentes de l'organe directeur... Ainsi, il n'existe plus de distinction entre les uns et les autres, si ce n'est celle fondée sur le paraître, non pas sur le modèle des années soixante/soixante-dix (Guy Debord : "La société du spectacle" a mal vécue) mais un inattendue raisonnement intellectuel enrichi de données d'actualités courantes qui fond l'individu nouveau ; comme le vin éponyme à sa nomination publique en automne. En étant plus sérieux, la passivité qui s'exerce au quotidien répond correctement aux injonctions du pouvoir qui est désormais centralisé dans le conditionnement des spécimens pensant ; hélas, tout le monde n'est pas élu. Malgré les apparences évidentes pour cette minorité, paradoxalement non dirigeante, les faveurs du système lui reviendront pour des raisons inhérentes aux conjonctures. Revu corrige et augmenté mars 2024. Jean Canal. 

Jusqu'où peut aller la critique ? La question est tacitement reconduite dans les débats médiatisés et dont la thématique tourne toujours autour du problème de fond des protagonistes qui la créent, intentionnellement. Il y'a avantage à cultiver le quiproquo qui s'insinue dans un contexte, une situation, voire un débat d'idées. A qui profite le crime ? A ceux qui ont énormément de reproches à subir de la part de la vox populiste ; la collaboration en France à mis à jour son dossier : les noms des traitres est donc public. À Saint-Girons, en Ariège, le Maire (1939-1944) de l'époque se nommait Achille Loubet : dans cette information toute la vérité vient d'être dite par un simple renseignement historique, légal. De même à Tarascon sur Ariège un marchand de spiritueux fit sa fortune grâce à la collaboration. À Ax les Termes, un restaurateur s'est gavé en faisant fusiller des Résistants ! Pamiers, ville la plus peuplée à l'époque exécuta le plus de collabos. Quant à Foix, elle fut le lieu de la torture. La délation n'a rien perdu de ses effets et elle existe toujours en Ariège ! Chacun l'exploitera à l'escient des intentions qu'il y recherche... 14 février 2024. 

La Revue Esprit invite la Rédaction de presselibre.fr à assister au débat. Dans un tel contexte, seul le soliloque convient pour défendre cette idée qui nourrit la raison de la vérité. Paul Louis Courier, notamment sous Louis Philippe, effectua, en effet, quelques séjours en prison à cause d'une verve acrimonieuse, mise au service de cette Vérité, tellement redJquelqu'un, ce dernier obtient de droit le choix des armes ; pour l'instant la Plume suffit amplement à régler les contentieux. La rumeur appartient aux pleutres et aux traitres ! 13 février 2024.

DÉNI de LA DÉMOCRATIE. L'article pertinent de Marianne L'article pertinent de Marianne au sein nu : "Marianne, montre-moi ce nichon que je veux revoir." Ensuite et pour en finir une bonne fois pour toute : c'est l'occasion inattendue de saisir ce contexte pour renverser le Régime politique actuel d'une présidence vacillante.  31/01/2024.

Le fait est avéré. Aujourd'hui même, les faits se produisent à contre courant de l'institution qui représente, paradoxalement, la souveraineté du peuple français dont la légitimité est remise, derechef, en question, au profit de la dictature de la pensée. Voltaire vient de mourir une énième fois ! 7 Députés et 7 Sénateurs se concertent actuellement sur la loi immigration de laquelle doit ressortir un compromis commun. Dépendra de ce consensus, la stabilité sociale des villes, au demeurant de la politique à la prochaine présidentielle qui risque de surprendre. Nonobstant cette instance tenue urgemment dans le cadre de la politique institutionnelle que la Constitution exige dans pareille situation, la République est mise en position de gravité euclidienne par une manifestation de rue, ce mardi 19 décembre, contre l'idée d'appliquer les recours permis par la Démocratie française jusqu'en ses moindres possibilités politiques. Ce 19 décembre, le quotidien Le Monde fournit des explications suffisamment exhaustives pour que le simple idiot du village en comprenne le fond. 19/12/23. 

700 morts en Palestine sur le sol de Gaza, en 24 heures. Le théâtre de ces opérations préfigure la fin définitive de la stabilité au Proche Orient : l'Europe doit s'attendre à des opérations de représailles contre les états cultivant des affinités avec Israël ! La France demeure l'état le plus en danger, au regard de la population d'immigrés excédentaire par rapport à ses capacités à gérer la sécurité du territoire ! Est-ce à conclure que ces derniers représentent un danger pour la population française ? Oui ! en grande partie des individus illégaux, rattachés à des groupes islamistes. 4/12/2023.

DERNIERES NOUVELLES DE ACRIMED

Chères lectrices, chers lecteurs,
Alors que les « États généraux de l’information » sont lancés, et que des « États généraux de de la presse indépendante » sont en préparation, nous remettons en avant 8 propositions pour transformer les médias, formulées début octobre et dans le Médiacritiques n°48 :
1/ Lutter contre la concentration et la financiarisation des médias, en interdisant aux groupes dépendant des commandes publiques de posséder un média et en interdisant à une personne de posséder plus d’un média ;
2/ Soutenir les médias indépendants et à but non lucratif, en leur réservant les aides publiques à la presse ;
3/ Renforcer l’audiovisuel public, en le libérant des contraintes commerciales et de sa tutelle politique, en lui garantissant un financement pérenne, en déprivatisant TF1 ;
4/ Protéger l’indépendance des rédactions, en créant un statut juridique des rédactions qui donnerait aux journalistes un pouvoir sur le choix du directeur de la rédaction ;
5/ Garantir le droit d’informer, en empêchant les procès-bâillon et les entraves policières ;
6/ Mettre en place des instances de régulation démocratiques, avec de vrais pouvoirs ;
7/ Assurer un pluralisme effectif de l’information ;
8/ Développer une éducation critique aux médias.
Pour aller plus loin : « Transformer les médias : nos propositions »
Vous trouverez ci-dessous un bref récapitulatif des dernières publications sur le site d’Acrimed. Et comme toujours : en accès libre et gratuit. N’hésitez pas à partager ce courriel.  Bonne lecture !

Archives presselibre.info : le second site de presselibre.fr, ayant suppléé durant des années, ce dernier. Il n'est plus en ligne pour des raisons évidentes.

Si des critiques devaient être adressées aux médias en ligne, plus que la presse écrite, ce serait le délayage de l'information dans l'actualité focalisée sur la Guerre israélo-palestinienne. Nonobstant ce constat, ce serait malhonnête de la part de notre Rédaction (ayant le mérite de toujours existée, après 16 ans de présence en ligne sur la toile) qui relaie en grande partie les publications de ceux-ci, suscités, en y ajoutant une critique n'engageant strictement que notre responsabilité.  Il est, effectivement, difficile de ne pas expliquer ce qui vient de l'être ! 29/10/2023.
Jean Claude Michéa n'est pas passé inaperçu sur France culture ce jeudi 6 octobre. les critiques fusent encore dans nos oreilles de cette radio restant néanmoins exceptionnelle, par la qualité de ces émissions, rivalisant au fil des années entre elles. "L'esprit d'ouverture" est donc réussi, depuis que la radio n'a eu cesse d'innover. Et ceux sont bel et bien les invités qui l'enrichissent ! Michéa vieilli, certes, mais son analyse reste correcte ; elle appartient aux gens d'expérience qui se sont penchés sur les problèmes des sociétés, sans véritablement les changer. Ce n'est pas leur rôle. Penser l'existence sociétale fut rarement une démarche politique. 07/10/2023.
Hors Médias cultivant la neutralité circonstancielle de conjonctures compliquées, l’information se formalise de plus en plus vers une transparence, sous couverts d’être exclue de la grande famille des médias officialisés pour des circonstances socio politiques, clos dans des intérêts purement économiques, s’entend (nous ne révélons rien de bien exceptionnel, ce fait est connu de tous, y compris les acteurs de la presse). Ceux-ci, nonobstant, s’orientent vers une vérité toute relative, sans en encombrer le récit entretenu pour la forme, de détournements factieux qui terniraient la rhétorique que l’art de présenter l’actualité incombe aux plus éminents appareils médiatiques, obligés d’afficher une présentation bon chic – mauvais genre ! Pourtant d’aucuns, ancrés dans une espèce de récurrence professionnelle exonérée de suspicion, parviennent à instiller non plus de la désinformation, trop perceptible avec les réseaux sociaux qui leur pourrissent l’existence, mais une empathie pour des événements dont l’actualité nous a tellement habitués, que les faits les plus marquants d’un point de vue sensibilité, se logent dans notre mémoire de façon à les archiver, sitôt en avoir pris connaissance. Et l’on aura remarqué, pour les mieux dotés d’un cerveau qui fonctionne correctement, que les effets d’annonces des faits ponctuant le quotidien, le plus souvent arrachés au social, sont énoncés les uns après les autres, sans ménager les sujets traités ; fussent-ils empreints d’une gravité sentencieuse ou/et d’un événement heureux, à défaut présenté comme tel ! 1er octobre 23.
ABAYA : Gilles Kepel glose sur ses origines et ses intentions en France La juridiction a définitivement statué sur l'interdiction vestimentaire à caractère idéologique, incarnant tacitement une religion hostile aux démocraties occidentales. Remplacer les Libertés de la République par une dictature de l'esprit n'est pas du goût de la France -il fallait le comprendre avant d'essuyer un échec stratégique humiliant ! Lire l'article d'Olivia Dufour.
C'est une thématique qui se décline à tous les temps que la société vit désormais au quotidien. Ce n'est pourtant pas une religion qui pose problème, mais l'usage que d'aucuns en font à des fins non spirituelle, plutôt politique. La presse éprouve des difficultés à traiter ce sujet, craignant de froisser des susceptibilités qui réagiraient violemment aux publications concernant leur entité ! Charlie Hebdo restera dans le mémoire. Le problème demeure : peut-on parler, écrire plutôt sur une religion intouchable ? C'est toute une philosophie à débattre. Gilles Kepel, éminant islamologue de la sociologie et maître de conférence au Collège de France, bénéficie de protection parce qu'il a voulu s'immiscer dans l'islam en glosant intellectuellement sur son fondement. C'est une privation de liberté d'expression qui instaure une dictature de la pensée et organise des sociétés européennes sur le modèle inexistant ailleurs, dans le monde arabe, empreint d'occidentalisation. 11/09/2023. 
Extrait de l'entretien que la Ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, a accordé au JDD. "La loi protège les journalistes en leur permettant de refuser toute pression ou de signer un article qui aurait été modifié contre leur volonté. Si ce cadre s’avérait encore inadapté ou imprécis, nous travaillerions à son évolution en lien avec les parlementaires. Le président de la République a annoncé des états généraux de l’information menés par un comité de pilotage indépendant à partir de septembre. Ce sera un cadre très important pour associer largement les citoyens, les associations à une réflexion sur notre accès à l’information, notre droit à être informé par une information fiable, pluraliste, indépendante. C’est crucial pour l’avenir de notre démocratie." août 2023.
Voici comment Wikipédia présente le nouveau patron du JDD, journal qui a trouvé un dénouement au conflit qui opposé Geoffroy Lejeune, à ses employés, inquiets sur la manière dont l'actualité sera traitée. "Geoffroy Lejeune né le  à Avignon, est un journaliste français d'extrême droite. Entre 2016 et 2023, il est le directeur de la rédaction du magazine Valeurs actuelles. Il prend ensuite la tête de la rédaction du Journal du dimanche." En quoi un journal peut-il avoir une incidence sur l'actualité, dans un monde où foisonne une presse internationale, émaillée de médias opposés dans l'idéologie politique actuelle ! La pression qui est exercée par l'ensemble des médias, médiateurs de l'actualité populaire... agit sur une frange de la population encline à suivre certaines idéologies en vogue qui n'aboutissent qu'à du néant ; jusqu'à ce que la politique s'en approprie la publication, en l'occurrence ! Nous patienterons donc, attendant patiemment que ce journal, malade de ses idées, publie le nombre de vente... Ensuite, nous écrirons en conséquence ! 5 août 2023.  

Emmanuel Derieux Professeur à l’université Paris 2 (Panthéon-Assas) Auteur de Droit des médias – 8e édition – LGDJ 2018 "Les instances européennes réprouvent la multiplication des procédures judiciaires, notamment pour diffamation, engagées, à des fins d’intimidation, à l’encontre des journalistes, des lanceurs d’alerte et des défenseurs des droits, par ceux que, dans l’intérêt public, ils ont mis en cause en raison de comportements considérés comme fautifs et contraires à l’intérêt général."

Le 3 mai comme un coup d'éclat en une période où la liberté de la presse est remise en cause par des manifestants qui ne supportaient pas la présence de nos confrères suisses durant les mouvements sociaux en France ! Une attaque en règle selon des méthodes violentes appliquées pour des raisons d'identité...politiques ! Doit-on interdire les presses pour leur activités politiques ? On l'a vu en France quand l'extrême Gauche chasse les médias d'extrême Droite ! Au cours des manifestations, les reportages diffèrent selon l'appartenance idéologique. Et pourtant, cette liberté devrait être acceptée par tous, sans distinction d'obédience ! Ce n'est toujours pas le cas, comme on peut sciemment le constater dans les manifestations où la violence gratuite s'exerce selon la couleur des idées. 3 mai 2023.

Ce 12 mai 2023. Le pays des intellectuels, dénommé ainsi d'après un historique qui prend forme dès la reconnaissance de Montaigne, comme étant le premier du genre, ce pays-ci qui n'est autre que la France (et que cette induction n'en déplaise à d'aucuns issus de l'étranger, ils se doivent de reconnaître que la manne littéraire étrangère est une somme de travaux importante qui honore la France, au demeurant la langue française qui se porte à merveille), admet tous les genres que la pensée eût pu fomenter dans son esprit. Leur publication chez les plus majestueuses Maisons d’Édition, est un aveu de faiblesse démocratique pour des pays qui avec sévérité, censurent au moindre iota, égratignant de fait le pouvoir politique, appliquant des mesures préventives, favorables aux dictatures de la pensée ! Lire la suite :  Le pays des Intellectuels

Déboires sexuels de la direction de ScPo
L’école bénéficie bien sûr de l’aura de la prestigieuse institution à laquelle elle est intégrée, même si l’image de la « rue Saint Guillaume » a été quelque peu ternie par les déboires de deux de ses grandes figures, le toxicomane amateur d’escort boys Richard Descoings, ancien directeur, et la grande conscience de gauche accusée de pédophilie incestueuse Olivier Duhamel, éminent professeur de l’établissement et président de la Fondation nationale des Sciences Politiques.

LA LETTRE DE L'OJIM QUI MIGRE SON SITE AUX ETATS UNIS.

Chers lecteurs et donateurs, vous avez constaté que votre site était inaccessible pendant près de 36 heures. Cette situation n’était pas due à une quelconque attaque digitale mais à un changement de registrar, de serveur, et d’hébergeur.

En effet, pas plus tard qu’en décembre 2020, notre hébergeur français OVH a subi des pressions pour fermer notre site suite à une action du lobby LGBTQIA(?)+ de Radio France.

Nous avons donc suivi les recommandations de notre conseil juridique : sortir du carcan des lois liberticides de la France et de l’Union Européenne. Nous avions deux choix : les États-Unis ou la Russie. Un choix paradoxal, la France pays de la liberté en face de deux empires. Pour des raisons de facilité de langue nous avons choisi – la mort dans l’âme – de nous faire héberger aux États-Unis, plus protecteurs. Nous avons également choisi de protéger là-bas nos noms de domaine. Le temps que les nouveaux DNS se propagent… cela a entraîné une mise hors service d’un peu plus de 36 heures dont nous vous prions de nous excuser.
Un hébergeur tout neuf, de nombreux projets, le recrutement d’un stagiaire, la lutte contre les multiples censures des GAFAM, les portraits mis à jour, de nouvelles infographies, le travail ne manque pas. Nous y sommes prêts, avec vous et avec votre aide.              Claude Chollet  Président
PS : La deuxième audience (première plaidoirie) du procès que nous fait Ramzi Khiroun, ancien chauffeur et garde du corps de DSK se tiendra le 1er avril, nous plaiderons une faute de procédure. Nous vous tiendrons bien entendu informés.

FRANCE CULTURE MET UN POINT D'HONNEUR SUR LE JOURNALISME

Le droit de l’Union européenne contre les « procédures bâillons »

Publié le 25/01/2023 slide 1 of 1
Les instances européennes réprouvent la multiplication des procédures judiciaires, notamment pour diffamation, engagées, à des fins d’intimidation, à l’encontre des journalistes, des lanceurs d’alerte et des défenseurs des droits, par ceux que, dans l’intérêt public, ils ont mis en cause en raison de comportements considérés comme fautifs et contraires à l’intérêt général.
Pour contribuer à y remédier, elles incitent les États membres de l’UE à adopter diverses mesures offrant notamment, aux défendeurs, des garanties procédurales et des voies de recours comportant, à leur profit, droit à réparation. L’éclairage d’Emmanuel Derieux, professeur à l’Université Panthéon-Assas (Paris 2) et auteur de Droit des médias. Droit français, européen et international.
Le droit de l’Union européenne contre les « procédures bâillons »Adobe/Richard Villalon
Constatant, avec préoccupation et désapprobation, la multiplication des « procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public », appelées aussi « poursuites stratégiques altérant le débat public » (en anglais : Strategic Lawsuits Against Public Participation-SLAPP) ou « poursuites bâillons », portant, par la voie de la menace et de l’intimidation, atteinte à la liberté d’expression et de dénonciation, notamment des journalistes, des lanceurs d’alerte et des défenseurs des droits, et ainsi au droit du public à l’information, les instances de l’Union européenne (UE) ont récemment et simultanément adopté deux textes par lesquels elles tentent d’y faire obstacle : une « Recommandation (UE) 2022/752 de la Commission, du 27 avril 2022, sur la protection des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme qui participent au débat public contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives » (« poursuites stratégiques altérant le débat public »), relative aux litiges de nature interne à un des États membres, et une « Proposition de directive sur la protection des personnes qui participent au débat public contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives (« poursuites stratégiques altérant le débat public »), visant les affaires ayant des implications transfrontières entre plusieurs États membres.
Il convient de considérer les motifs de l’intervention des instances européennes et les modalités de réglementation envisagées.
Motifs d’intervention
 L’exposé des motifs d’intervention des instances européennes se retrouve tant dans la Recommandation de la Commission, que dans la Proposition de directive.
Recommandation de la Commission
 Par les « considérants » de la Recommandation, il est rappelé que l’Union européenne « est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’état de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme ».
Mention y est faite de ce que les textes fondateurs de l’Union disposent que « tout citoyen […] a le droit de participer à la vie démocratique » et consacrent notamment « la liberté d’expression et d’information, qui comprend le respect de la liberté des médias et de leur pluralisme ».
Précision y est apportée que « ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières ».
Se référant à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), il est ajouté que « la liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique, et qu’elle vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent ».
Il est considéré qu’« il est important de protéger, les journalistes et les défenseurs des droits de l’homme, de procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public », dont « le principal objectif » est « d’empêcher, de limiter ou de pénaliser » ledit débat, du fait du « caractère disproportionné, excessif ou déraisonnable de la demande […] de l’existence de plusieurs procédures engagées par le requérant concernant des questions similaires, ou de l’intimidation, du harcèlement ou des menaces de la part du requérant », constituant « un recours abusif aux procédures judiciaires ».
Il est estimé qu’il est nécessaire « de fournir une protection cohérente et efficace contre les procédures judiciaires manifestement infondées altérant le débat public ».
En conséquence, ladite « recommandation définit des orientations à l’intention des États membres pour qu’ils prennent des mesures efficaces appropriées et proportionnées afin de lutter contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public et de protéger les journalistes et les défenseurs des droits de l’homme contre ces procédures, dans le plein respect des valeurs démocratiques et des droits fondamentaux ».
Proposition de directive
Dans son « exposé des motifs », la proposition de directive mentionne également : que « les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public (communément appelées aussi ‘poursuites stratégiques altérant le débat public’ ou ‘poursuites bâillons’) sont un phénomène récent mais de plus en plus répandu dans l’Union européenne » ; qu’elles constituent « une forme particulièrement néfaste de harcèlement et d’intimidation utilisée contre les personnes qui œuvrent en faveur de la protection de l’intérêt public » ; et que leur « but est d’obtenir un effet paralysant, de réduire les défendeurs au silence et de les dissuader de poursuivre leur travail ».
À l’encontre de ces pratiques, il est posé que, « dans une démocratie saine et prospère, les citoyens doivent pouvoir participer activement au débat public » et « accéder à des informations fiables ».
Il est considéré que « les poursuites-bâillons constituent un abus de procédures judiciaires ».
Il est indiqué que la proposition de directive « vise à protéger les cibles des poursuites-bâillons et à empêcher que le phénomène ne s’étende davantage dans l’Union ».
Modalités de réglementation
Les interventions des instances de l’Union européenne en la matière prennent la forme d’une Recommandation de la Commission et d’une proposition de directive.
Recommandation de la Commission
La Recommandation de la Commission dispose notamment que « les États membres devraient veiller à ce que leurs cadres juridiques applicables prévoient les garanties nécessaires pour lutter contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public, dans le plein respect des valeurs démocratiques et des droits fondamentaux, notamment le droit à accéder à un tribunal impartial et le droit à la liberté d’expression ».
Elle pose que les États membres devraient assurer « l’existence de garanties procédurales permettant d’accorder un rejet anticipé des procédures judiciaires manifestement infondées altérant le débat public », et « s’efforcer de prévoir d’autres mesures », telles que « la condamnation aux dépens, afin qu’un requérant […] puisse être condamné à supporter tous les coûts de la procédure, l’indemnisation de toute personne […] ayant subi un préjudice », ainsi que « la possibilité d’infliger des sanctions effectives, proportionnées et dissuasives à la partie ayant engagé » la procédure.
Elle ajoute que « les États membres devraient également veiller à ce que les sanctions contre la diffamation ne soient pas excessives et disproportionnées », et que, sous l’influence du droit du Conseil de l’Europe, ils « sont encouragés à supprimer de leur cadre juridique les peines d’emprisonnement pour diffamation ».
Proposition de directive
Visant à instaurer des « règles communes concernant les garanties procédurales », la proposition de directive prévoit notamment que « les États membres veillent à ce que, lorsqu’une procédure judiciaire est engagée contre des personnes physiques ou morales en raison de leur participation au débat public, ces personnes puissent : demander », outre des garanties financières, « un rejet rapide des procédures judiciaires manifestement infondées » ; et formuler « des recours contre les procédures judiciaires abusives ».
Elle pose que « les États membres prennent les mesures nécessaires pour qu’un requérant qui a en engagé une procédure judiciaire abusive altérant le débat public puisse être condamné à supporter tous les frais de procédure », et, au titre de la « réparation des dommages », pour « qu’une personne […] ayant subi un préjudice du fait d’une procédure judiciaire abusive altérant le débat public, soit en mesure de demander et d’obtenir réparation intégrale de ce préjudice ».
S’agissant des « motifs de refus de la reconnaissance et de l’exécution d’une décision rendue dans un pays tiers », la proposition de directive ajoute que « les États membres veillent à ce que la reconnaissance et l’exécution d’une décision rendue dans un pays tiers dans le cadre d’une procédure judiciaire en raison de la participation au débat public d’une personne […] domiciliée dans État membre soient refusées comme étant manifestement contraires à l’ordre public dans le cas où cette procédure aurait été considérée comme manifestement infondée ou abusive si elle avait été portée devant les juridictions de l’État membre dans lequel la reconnaissance ou l’exécution est sollicitée et où ces juridictions auraient appliqué leur propre droit ».
Autant l’accès au droit et à la justice doit être accordé à ceux qui estiment raisonnablement avoir été injustement mis en cause, sans motif et sans preuve, dans des conditions qui portent atteinte à leur honneur et à leur réputation, de façon notamment à leur permettre d’en obtenir la cessation ou au moins la réparation. Autant il convient, au nom des garanties de la liberté d’expression, du droit du public à l’information et de la préservation de l’intérêt général, d’empêcher, par des moyens de droit, comme l’envisagent les textes européens ici présentés, que soient engagées des « procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives, altérant le débat public ». À cet égard aussi, un juste et délicat équilibre des droits doit être établi par la justice.
LA LIBERTE DE LA PRESSE atteinte dans son droit d'informer. C'est évidemment Mediapart qui en fait les frais. Les réactions contre cette censure furent immédiates, dès la prise de parole de Mediapart. 23/11/ 2022. Lien.
L'alternative d'un média qui tend à préserver sa place dans le monde concurrentiel de la presse officielle, se situe entre le professionnalisme et les novices de la presse fraîchement émoulue, issus d'un système formaté ; c'est-à-dire reconnue comme référent au sein des professionnels. Presselibre.fr maintient son rang dont dépend sa liberté d'expression, très controversée par les fonctionnaires de la Sécurité ; et cela depuis mars 2007 ! L'intégrité demeure notre soucis en appliquant une vertu cultivée sur nos pages et articles : celle de la probité. La pugnacité nous est fréquemment reprochée par des quidams, sans grande envergure intellectuelle et qui manifestent une animosité superficielle à notre encontre. Nous diffusons une opinion autre, strictement différente de l'analyse conventionnelle pratiquée sur les plates-formes de diffusion nationale, plus précisément. Peut-on conclure que la toile étant saturée d'informations déformées, la crédibilité des uns et des autres médias est mise en doute, selon la façon de l'exploiter. Nonobstant, de très bons médias s'évertuent de rester intègre. La place de second rang qu'occupe presselibre.f, n'entre pas dans un concours d'excellence de médias auxquels l'on distribuerait un satisfecit pour les plus méritants ! Évidemment, et nous nous en doutions un peu, au début de notre prise de position (à savoir en avoir aucune) que les menaces, les pressions, les diffamations et accusations en tout genre ne nous ont pas manqué et continuent à croître au rythme du contenu de nos publications. L'année 2022 est d'ores et déjà derrière nous. 2023 risque de nous apporter d'importantes catastrophes qui modifieront nos comportements dans nos sociétés ; jusqu'à nous faire abandonner certaines habitudes néfastes pour notre environnement social. Le pire est devant nous, de sorte à aspirer à vaincre une existence inhérente à notre destiné universelle. Jean Canal. 1er janvier 2023.
Les critères retenus pour l'obtention du Prix Albert Londres ont-ils été dévalorisés depuis la disparition mystérieuse et jamais élucidée du reporter/journaliste dont le nom éponyme donne à ce prix une valeur intrinsèque à la profession ? Les vertueux journalistes qui s'immiscent sur le terrain d'opérations conflictuelles, "méritent" une reconnaissance de leurs pairs qui jugeront sur pièce de leur travail. Une gratification qui, comme les expositions de photographies à VISA se doivent de révéler une partie cachée de l'actualité internationale couverte par de nombreux "acteurs" de l'information. Félicitations aux heureux élus de cette année, en hommage à Albert Londres. Jean Canal. 03/12/2022. 
 LE BULLETIN DE ACRIMED
Liberté d’informer, journalisme économique, écologie et compagnie : revue de presse de la semaine
par Maxime Friot

Critique des médias : une revue de presse hebdomadaire. Si ce n’est exhaustive, au moins indicative. Au programme : du 19/11/22 au 25/11/22.

Liberté d’informer « Peut-on censurer des articles qui ne sont pas encore écrits ? En première instance, le Tribunal de commerce de Nanterre a répondu oui », et Reflets a été interdit « de publier de nouvelles informations issues de la fuite de données qui avait servi à la rédaction des premiers articles. » L’audience en appel, prévue le 23/11, a été renvoyée au 30/11. De plus, une audience « au fond » est prévue le 15/12. Ce n’est pas tout : le même Patrick Drahi – c’est Altice qui avait assigné Reflets – a aussi « tenté de censurer France Culture » !

« La liberté d’informer devant la justice », Reflets, 21/11 [article réservé aux abonnés].

« Censuré, le média Reflets.info passera en appel le 30 novembre », L’Humanité, 24/11 [article réservé aux abonnés].

« Comment Patrick Drahi a tenté de censurer France Culture », L’informé, 22/11 [article réservé aux abonnés].

Autre contexte, autre tribunal, mais procédé comparable : « Le président du tribunal judiciaire de Paris a fait injonction à Mediapart de ne pas publier de nouvelles révélations sur les pratiques politiques du maire de Saint-Étienne, après celles du chantage à la sextape. » De nombreuses sociétés de journalistes, associations et organisations de journalistes ont exprimé leur solidarité envers Mediapart, qui a contesté la décision. Une audience s’est tenue le 25/11, et le délibéré sera rendu le 30/11.

« Un magistrat ordonne la censure préalable d’une enquête de Mediapart », Mediapart, 21/11.

« Derrière la censure de Mediapart, l’étrange ordonnance pré-écrite par la défense de Gaël Perdriau », Marianne, 23/11 [article réservé aux abonnés].

« Une attaque sans précédent contre la liberté de la presse », Informer n’est pas un délit, 22/11.

« Recours contre la censure : les syndicats de journalistes et la FIJ aux côtés de Mediapart », communiqué intersyndical, 25/11.

« Communiqué de presse de la NUPES », 22/11.

« La censure préalable d’une enquête de Mediapart provoque un tollé et une proposition de loi », Mediapart, 22/11 [article réservé aux abonnés].

« Proposition de loi visant à faire respecter la règle du contradictoire en matière de droit de la presse », Sénat, 21/11.

« Au procès de la censure de Mediapart, un front uni contre une "catastrophe judiciaire" », Mediapart, 25/11 [article réservé aux abonnés].

Bon ! Nous sommes obligés, nous aussi, pour ne pas laisser la parole aux Médias qui veulent insidieusement s'accaparer ce pouvoir de conviction, illustré par la plume ou l'image, de traiter un phénomène d'actualité viral dont la propagation enlève toute la critique inscrite dans une controverse formelle, autorisée ! Une Député est molestée lors de son intervention à une manifestation rupestre... Les Forces de l'Ordre, déplacées pour l'événement, diffusé sur tous les réseaux sociaux, ne tolèrent aucune entrave aux directives que leurs supérieurs hiérarchiques ont passé en une telle occasion, aux conséquences prévisibles donc. Il en ressort un attouchement de matraque sur la Député, en une partie du corps non visible à la caméra. L'affaire devient immédiatement politique, hurlant au Droit de manifester pacifiquement, selon la constitution ! Hélas ! Ce pacifisme est émaillé d'actes de vandalisme sur les infrastructures agricoles des paysans, pris pour cible. Quant aux Forces de l'Ordre, il ne faut pas s'attendre à vous faire offrir une tasse de café ou de thé en pleine bataille de ru (le ru est un filet d'eau (un ruisseau) qui coule dans les campagnes...). Jean Canal. 12/11/2022.
Anne-Laure Bonnel, la journaliste qui dérange ses confrères. Elle ne faisait plus parler d'elle depuis quelques mois, déjà ; alors que sa présence en Ukraine est antérieure au conflit. La presse officielle s'en est débarrassée, en bonne et due forme, conformément aux procédés habituels qui consistent à ne plus la considérer sur les plates-formes audiovisuelles officielles, où son 'image' a soudainement disparu... Pertinente, isolée dans son travail, réalisant des reportages sur le vif, Anne-Laure Bonnel, enseignait également dans le Supérieur ! Les représentants de son Institution universitaire, lui ont dernièrement notifié qu'elle ne faisait plus partie de l'enseignement, suite à un manquement à la déontologie...en question. Circulez, il n'y a rien à voir ! Jean Canal ; 20/10/2022. La photographie nous a été envoyé sur nos réseaux sociaux. Adieu, Mon Amour ! Moi, je t'aime toujours...
Lorsque l'on fait partie du monde alambiqué des médias officiels, il faut s'attendre à être critiqués, dès lors que l'appareil médiatique prend part au traitement de l'information ! La même critique s'adresse à tous ces journalistes qui s'arrogent le droit d'émettre un avis sur un fait sociétal qui en fait appartient à tous, quand bien en seraient exclus ceux qui n'en comprennent gouttes ! Au contraire, la critique devrait venir de ceux qui ne sont pas soumis à des restrictions de vocabulaire dans la presse écrite, de censures rédactionnelles, au demeurant de menaces de licenciement. La presse audiovisuelle, elle, se doit d'observer une correction dans l'information divulguée, de sorte à révéler ce que tout le mode sait déjà...mais en y mettant les formes correspondantes à ce que le spectateur attend de son journal télévisé. On pourrait croire que le journal doit s'adresser à LUI, personnellement, le touchant dans son intimité sensibilisée par une révélation : le spectateur engagé, comme aurait dit Aron Raymond. La responsabilité est cruciale dans la diffusion d'information qui aujourd'hui connaît des controverses dans la véracité des témoignages recueillis sur le terrain de préférence. Nous rendrons, ici, un hommage à Anne-Laure Bonnel, journaliste, pour son travail avant-gardiste reproché par la profession qui y a vu une atteinte à son éthique ! De surcroît, contrairement à l'idée intentionnellement véhiculée par des rédactions intéressées par cette profession qui influe sur les sociétés et la population inculte, précisément, les Réseaux sociaux sont une mine d'information inestimables par sa provenance en direct des phénomène de société. Lire l'article ci-dessous. Nous conclurons sur cette critique des médias critiques, lesquels cultivent toujours un cercle privé qui ne porte aucune atteinte à presselibre.fr et plus particulièrement à l'intégrité de son Rédacteur en chef (terme ampoulé) Jean Canal. 23/10/2022.
 LE VERDICT DE L'OJIM SUR L'HEBDO : une "odeur" d'argent émane des relents journalistiques des "Francs-Tireurs" UN ARTICLE DE L'OJIM. Les médaillés des aides à la presse, chiffrée ! Question bête de Jean Canal : Donc les actionnaires sont servis, les premiers ?  Médaille d’argent pour Le Monde de Niel, Pigasse et Kretinsky avec un petit 12M€ dont un bout – les pauvres chéris – pour compenser la crise sanitaire. Médaille de bronze (peut mieux faire) pour Le Figaro du groupe Dassault 9M€. Plus petits joueurs mais bien méritants Sud-Ouest avec un peu moins de 6M€ et Bayard/La Croix avec un peu plus de 5M€. Ces chiffres ne comprennent pas les aides indirectes (TVA réduite, aide postale etc). Les chiffres pour les autres groupes ne sont pas connus, une discrétion du ministère de la Culture en période électorale incertaine. Les chiffres connus ressemblent étrangement à ceux des autres années. Allez savoir pourquoi ? OJIM
Anne-Laure Bonnel, la journaliste qui dérange ses confrères. Elle ne faisait plus parler d'elle depuis quelques mois, déjà ; alors que sa présence en Ukraine est antérieure au conflit. La presse officielle s'en est débarrassée, en bonne et due forme, conformément aux procédés habituels qui consistent à ne plus la considérer sur les plates-formes audiovisuelles officielles, où son 'image' a soudainement disparu... Pertinente, isolée dans son travail, réalisant des reportages sur le vif, Anne-Laure Bonnel, enseignait également dans le Supérieur ! Les représentants de son Institution universitaire, lui ont dernièrement notifié qu'elle ne faisait plus partie de l'enseignement, suite à un manquement à la déontologie...en question. Circulez, il n'y a rien à voir ! Jean Canal ; 20/10/2022. La photographie nous a été envoyé sur nos réseaux sociaux. Adieu, Mon Amour ! Moi, je t'aime toujours...
LE COMMUNIQUE DE ACRIMED juillet 2022
Nouvelle nouvelle dans la presse
L'Observatoire du Journalisme monte à l'assaut ; armé jusqu'aux ratounes, il charge l'ennemi qui agonise ! Pas question de faire des prisonniers, les traites doivent mourir ! Le lien sacré.   La dernière nouvelle de l'Observatoire du Journalisme, tombe dans notre boîte mail ! Surprise ! Un autre journal né dans les années soixante-dix (les miennes), en 1973, si ma mémoire est toujours bonne, épinglé par la Presse... En période de crise, en effet, le charbon revient à la mode. Il dépanne les entreprises en difficulté financière. Libération a recourut à un argent propre. 
QUAND UN CANARD SE DECHAINE ! "Passe-moi le canard qui est sur la table ! -Le journal ?! -Bien sûr ! -Merde "Le Canard enchaîné" a triché !" L'emblème de l'anarchiste soixante-huitard, fraîchement émoulu des universités bourgeoises, vient de démontrer que Le Capital de Marx est la seule raison qui vaille la peine d'exister ! L'idéal reste l'apanage des idéalistes ; déjà condamnés par Platon ! Heureusement l'OJIM surveille ceux qui nous dés-in-forment. Jean canal ; bien sûr. 5 septembre 2022.
En préambule de cette mise à jour de la présente page, nous citerons sans vergogne, un extrait d'un article présenté sur L'OJIM :
Je t’aime, moi non plus
Alors que 91% des interrogés répondent oui à la question « le journalisme est-il utile ? », ils ne sont que 47% à avoir confiance dans le travail fourni sur la politique par la caste journalistique, contre 29% qui font peu confiance et 19% qui ne font pas du tout confiance. Lire la suite. 
ET NOUS DEFENDRONS TOUJOURS CEUX QUI ONT TORT D'AVOIR RAISON. Un choix donc délibéré, sans contrainte policière jusqu'à l'avènement d'une dictature de la pensée, de reproduire cet article qui déjà date. Inversant la question dans ce sujet avivé en des circonstances qui s'y prêtèrent lors de sa parution, nous poserons le doigt sur les plaies encore béantes d'une presse engagée dans le maintien des richesses de ceux qui les emploient ! Tous les journalistes ne sont pas solidaires de leurs confrères, d'autant moins quand le partage du scoop se fait entre ouvriers de la presse du même genre ! Le journalisme fut un sacerdoce. Le seul à l'incarner encore reste Alain Duhamel dont nous saluons, ici, la probité demeurée intacte, n'en déplaise à des ennemis ombragés par son charisme. Certes, le journalisme d'aujourd'hui ne peut rivaliser avec celui d'hier soumis à des démarches difficiles pour approcher le sujet à débattre ; mais, il peut se conforter des outils qui lui sont disponibles pour propulser "l'information", émaillées d'agréments d'images exploitées pour l'occurrence, aux directions en des injonctions auxquelles il se doit de répondre promptement ! Nous ne critiquerons pas les officiels qui sont ce qu'ils sont, répondant à une forte demande d'audience popularisée par le contenu... Nous savons en se référant à son histoire que des journalistes ont, encore aujourd'hui et moins que hier, de très bonne relations avec la Police... Slate admet un des leurs... Nous ne fîmes que constater, au cours de notre professionnalisme dans différents journaux que nous ne citerons plus, pour des raisons évidentes de diffamations avérées, la concurrence sauvage que l'information suscite selon les tendances politiques. Rien de nouveau dans les Rédactions ! Le partage existe, certes, mais au prorata des ressources obtenues dans la confidentialité la plus accrue.
Ce qui désole notre Rédaction, encore intacte malgré les menaces régulières que nous recevons de façon insidieuse de la part des pleutres à la solde des services de Sécurité en question, que ce soit au Festival de Avignon où des entraves s'érigent à notre présence, à Arles également et jadis à VISA pour l'Image où Jean François Leroy boudait notre présence..., ce qui nous désole, sans nous arrêter dans notre volition de pérenniser notre Média jusqu'à ce que mort advienne, c'est ce comportement de basse besogne qui caractérise ses vils auteurs ; et cela quel qu'en soit leur statut !
Jean Canal. 17 août 2022.

"Ma réponse à Libération Et à  la Ladepeche.fr Puisque pour un obtenir un droit de réponse m'explique ce monsieur, il faut avoir l'accord de ses supérieurs... Je me l'accorde 🙂 Rappel de la déontologie de notre profession : Les dix devoirs de la charte de Munich Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents. Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents. S’obliger à respecter la vie privée des personnes. Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte. Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement. S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information. Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs. Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction." Anne-Laure Bonnel 

Anne-Laure Bonnel, l'égérie de la presse dissidente qui œuvre sur les terrains accidentés des conflits. Ses reportages décriés par la presse française, officialisée, mais pas qu'elle, jettent le discrédit sur les rapports erronés des émissaires, bon chic, mauvais genre, qui commentent, au loin, un conflit meurtrier commençant réellement à inquiéter les Européens de l'Ouest ! Hors concours des circonstances actuelles, paradoxalement les Américains attendent patiemment que le conflit s'aggrave jusqu'aux limites idéologiques des dirigeants chinois. Le monde économique connaît une panne dans son évolution ; il faut que certains états soient écartés du marché. Les guerres ont l'avantage de convenir à ceux qui les provoquent assis, derrière leurs bureaux. Qui avait intérêt à inciter Poutine à franchir les limites de la paix !? Qui a incité l'Ukraine à rejoindre l'Otan ? Nous risquons de payer très cher une guerre qui s'est déclarée à l'insu des peuples, tenus à l'écart. Le film de Anne-Laure Bonnel sur le Donbass. Jean Canal. 10/03/2022.
COMMUNIQUE DE PRESSE. Vous avez fini par le comprendre, d'après les communiqués que nous recevons sur nos boîte mails : la propriété intellectuelle ne se partage point avec un Méda comme le nôtre qui ne s'inscrit nullement dans les lignes éditoriales de la presse conventionnelle, ressentant comme une atteinte à son intégrité, lorsque nous relayons des vidéos dont elles est "propriétaire." Bref ! Le Droit est avec nous du moins de notre côté. L'AFP ne nous avait pas épargné quand nous diffusâmes quelques photographies en DR (Droit Réservé) : une forte amande nous fut infligée ; alors que nous n'obtenons aucun gain avec presselibre.fr et que notre travail est gratuitement exécuté au service des internautes qui nous lisent ; et ils sont nombreux à en croire les mails et commentaires... Nos sources nous informent également que les services de gendarmerie et de police sont à l'origine des "crocs" en jambe que nous subissons depuis 2006, exactement ! Nous en déduisons, depuis longtemps, d'ailleurs, que l'on ne nuit pas à une personne, si elle ne représente pas un certain intérêt dans la société et son dysfonctionnement. Se défendre contre la gendarmerie et la police est un grand honneur que lui rendent ces deux corps claudiquant d'une profession en déroute. 40% de flics est à mettre aux ordures (de préférence au Mirail où l'incinérateur élimine toute trace des déchets...). En effet, et nous n'en pouvons mais, l'actualité émaille ses faits divers de délits commis régulièrement par ces fonctionnaires auxquels il est difficile de faire confiance. Pas un mois, sans évoquer des bavures ! Vous reconnaîtrez que l'information se doit d'être bel et bien reconduite aussi par nous qui la commentons avec force critique. De surcroît nos gênons quelques médias ancrés dans un confort éditorialiste qui ne veut souffrir, non pas une concurrence (cela nous serait un honneur à presselibre.fr d'être con-sidéré comme un Grand - jean Canal confine à peine au 1,70 M), mais une autre manière d'interpréter l'actualité en mettant l'accent sur des événements traités souventefois avec une récurrence désobligeante pour leur relation politico économiques... A mauvais entendeurs salut ! Et évidemment, le contraire sera plaidé par ceux-là-mêmes à qui il est fait allusion. "Quant à la gendarmerie, Monsieur Canal," me rappelle véhémentement un fidèle lecteur ? -Ils meublent mon quotidien en farce et attrape, voire cotillon !  Jean Canal. 27/05/2022.
COMMUNIQUÉS DE PRESSE
Immersion dans le Centre de formation des journalistes
Louons la presse d'excellence et taisons celle qui ne parvient toujours pas à s'y exhausser ! La Rédaction et Jean Canal vous incitent à changer de lecture médiatique, si vous n'avez pas encore franchi le pas : la Revue Esprit.
L'Esprit public critiqué par un auditeur toujours fidèle à France Culture depuis le 20 juin 1984 (doit-il rappeler cette date à chaque diatribe?) !
« Bis repetita » Le discours puérile ne fait qu'appauvrir le thème exploité, éventuellement à dessein d'en extraire un dénouement concomitant avec la réalité furtive du contexte actuel. Patrick Cohen l'a reconnu « on ne sait rien ! ». Faute avouée, à demi pardonnée... Certes, comment connaître les réelles intentions de Putine (à condition qu'elles fussent fondées), lesquelles semblaient être formulées à travers une annexion militaire, répondant aux frustrations géopolitiques de jadis que l'URSS subit en perdant sa puissance. Les responsables qui se dissimulent derrière l'occident, sont bel et bien les États-Unis qui poussèrent Gorbatchev à rompre définitivement avec le passé soviétique. Le problème fut évident. On ne gomme pas en une année après quatre-vingts ans de dictature du prolétariat ! Le désarmement en fut la principale option qui permit la libération de pays satellites, du pacte de Varsovie ! La suite, tout le monde la connaît : chute du Mur de Berlin Est. Guerre du Kosovo épandue en Europe Centrale. Effondrement de la dictature roumaine : avènement de l'Europe avec son appétence pour des candidatures empreintes de mentalité soviétique -La liberté recouvrée à brûle pourpoint présente toujours un handicape de réadaptation à un monde différent de celui que l'on a connu, auparavant ; si tant est que l'on l'eût connu un jour... Puis, il y a la force passive de la planète, qui observe une situation complexe dont la Chine, citons-la, attend un sursaut favorable à sa politique généralisée avec une économie omniprésente sur la planète ! La passivité des occidentaux, frileux et à la fois prudents, refroidira un peu plus les relations entre deux pôles qui autrefois faisaient la pluie et le beau temps, dans les relations internationales, quitte à sacrifier les plénipotentiaires diplomatiques sur l'autel sacré de l'économie de marché !                           Jean Canal ; bien sûr. 20 mars 2022.
Trêve de trait d'esprit, l'heure est grave dans le monde des médias. Jusqu'à présent, France Culture avait su, cahin-caha honorer sa mission confiée par l'audiovisuel auquel nous payons la dîme, par nos impôts : ce qui donne un droit de critique à chacun d'entre nous. "L'Esprit d'ouverture" pratiqué par les nouvelles équipes de cette radio, autrefois mythique dans la sphère francophone, quel que fût l'audition planétaire qui lui eût été accordée ; cet Esprit-ci galvaude, nonobstant ses efforts d'intégration culturelle, l'éthique de cette radio ! Certes, les puristes eussent préféré entendre toujours les mêmes voix, ou bien préserver des émissions légendaires comme celles des années 70/80. Cela n'est pas possible ; car, comme les gens ordinaires, les présentateurs meurent aussi à l'instar du très regretté Jacques Le Goff, pour ne citer qu'un exemple majestueux des ondes. Le Panorama des années quatre-vingts sera inégalé, non pas parce que Olivia Gisberg ne peut le reconduire, tout simplement parce que son genre est devenu désuet ! Et Olivia, maîtresse de "La Grand Table" apporte une culture fort à propos de nos idées présentes. Il s'agirait plutôt de la transition de l'émission du Samedi, "L'Esprit public", au cours de laquelle les invités (et nous n'en citerons aucun) se sont éperdus dans des circonvolutions d'idées à travers un débat puérile qui aboutit à une conclusion erronée sur les conjonctures actuelles, animant le conflit Russo européen, pour ne pas dire Russo occidental. Evidemment, aucun des invités ne reconnut aux Etats-Unis une responsabilité cardinale dans les crises internationales dont les Européens payent, aujourd'hui, le prix fort ! La montée de l'Extrême droite en est un des nombreux résultats dont l'inflation ! Les naïfs de l'émission se sont congratulés sur un point : celui de l'agonie de Poutine dont la position politique le condamne presque au suicide, traduisant sa défaite idéologique, enseveli vivant sous les décombre de son économie ruinée !  En effet, privé de ses fonds financiers, le maître du Kremlin se trouverait dans une position de faiblesse au regard de l'économie sanctionnée sur tous les plans ; notamment en Europe. L'option à laquelle "les invités" (à  éviter) n'ont songé, et on comprend pourquoi, serait celle que Poutine prendra en décision ultime, quand aucune issue ne se présentera plus pour lui : une guerre nucléaire qui effacera de la géographie le paysage européen. Sa seule arme finale, sera justement ses armes sur lesquelles il mise, certes aveuglément ; mais avec une assurance qui le conduira à la destruction de cet occident dont certains pays des Nations Unis ont refusé de sanctionner Poutine ! Les français ont perdu l'esprit critique, en ayant dévolu leur savoir à ceux qui en revendiquent la paternité ! Les études, fussent-elles poussées au-delà du besoin pratique que requière la scolastique, ne peuvent souffrir d'un manque d'intelligence, faisant défaut dans un débat public, sans esprit...             Jean Canal. 14 mars 2022.

Si j'en crois la presse officielle qui pratique la redondance oiseuse d'informations récurrentes, en axant sa pratique vers des pôles d'actualité relatifs à une popularité avide de ce genre de presse factuelle, je me dois de préserver la ligne éditoriale de presselibre.fr, laquelle consiste, avec son piètre niveau de rédaction, de continuer à relever des faits considérés par nous comme cardinaux dans ce qui devrait préoccuper les français, contrairement à leur engouement pour tout ce qui les caresse dans le sens du poil ! Nous préférons avoir des ennemis que de faux amis qui d'ailleurs se manifestent sporadiquement à nos publications, selon le thème exploité. Celui de la Police, particulièrement, nous est précieux, d'autant plus quand la déontologie est bafouée systématiquement, jusqu'à commettre des exactions devenant fréquentes. Nous souhaitons une police propre ! Une gendarmerie respectueuse de la déontologie qui les oblige à ne point diffamer au profit des élus, d'une part, auxquels cette Institution obéit, et aux citoyens faussement victimes ! A suivre. Jean Canal. 21 septembre 2021.
Le monde intellectuel tombera-t-il entre les mains des grands patrons des affaires ? On peut favoriser un auteur médiocre dans des presses clientélistes ; en proposer un pour un prix ou bien inviter un auteur dans une émission audiovisuelle qui s'y prête ; mais, une plume ressort intacte des méandres littéraires, en passant à la postérité. Moult auteurs du XIX° siècle ont complètement disparu des rayons des lectures. Seuls les plus illustres résistent aux modes des "rentrées littéraires." Heureusement, ceux qui se référent aux penseurs majeurs, reviennent sur ces auteurs qui ont fixé la pensée dans des idées devenues indélébiles. La culture peut-elle Infléchir sous la puissance de l'argent ? Si le pouvoir s'empare de la presse, seuls les médias alternatifs pourront se permettre des écarts de vocabulaire jusqu'à une limite fixée par ce même pouvoir : tout le paradoxe est-là ! Le danger serait de réduire l'expression à des mots strictes, biffant du langage ceux qui provoquent. Fiction qui dans cet espace virtuel a fini par se formaliser sur des réseaux sociaux (Twitter, Facebook) où rien n'échappe aux censeurs. Pourtant, les verbes les plus obscènes sont définis dans les plus éminents dictionnaires comme le Littré ! Par glissement des vocables vers un usage commun, voire populiste, la langue est devenue commune -merde- dans ce qui paraît être une métaphore propre aux tropes, en préfigurant un style d'expressions les plus vulgaires comme "Je Vous encule !", entrée dans un registre de mots courants. Résister pour ne pas mourir. L'adage historique des franges révolutionnaires ne dément toujours pas la lutte : "mieux vaut mourir libre que vivre esclave !" Jean Canal. 20/12/2021.
 ..au fil des lectures du Monde diplomatique de mars 2021 "Vendre de la discorde plutôt qu'informer Un journalisme de guerres culturelles "Le juste milieu ne rapporte plus. Hier assise sur la manne publicitaire, la presse modérée recherchait une audience de masse et la cajolait en simulant l’objectivité. La recette change. Désormais, les médias prospèrent en alimentant les guerres culturelles auprès de publics polarisés et mobilisés. Pour le meilleur ou pour le pire. Et sous le regard vigilant, parfois sectaire, de leur propre lectorat." Serge Halimi. Mars 2021  Lire la suite
La liberté d'expression doit être censurée pour sa survie. Pour des raisons de pérennité de l'émancipation de son esprit critique, les réseaux sociaux doivent impérativement mesurer les propos qu'ils diffusent, sous des formes contextuelles tellement diverses que le doute sur la véracité des contenus, sème la confusion dans le raisonnement des consultants. C'est incroyable, en effet, le nombre accru de plates-formes en ligne qui s'attribuent le titre de Médias. Il y a, certes les officiels, BFMTV, Cnews et les autres qui dispensent une actualité générale, globalisant les informations. Puis les nouveaux médias, fraichement émoulus qui, opérant en direct sur le terrain des événements courus, retransmettent la réalité factuelle des phénomènes sociopolitiques (l'exemple des manifestations des Gilets jaunes en fut révélateur). Arrivé à un point anxiogène d'une situation conflictuelle au sein de la réflexion que l'analyse en soustrait, l'information laisse toujours une impression dubitative sur des faits dont la vérité demande à être établie ! De surcroît le déni fait son apparition chez les politiques dont la parole est systématiquement remise en question par des antagonistes de la désinformation continue. Comme conclusion, il faut se satisfaire de l'approximation de cette réalité qui traduit cependant une vérité tangente, celle que le mensonge dispense à outrance. Autrefois, l'information diffusée sous les auspices de la télévision qui en détenait le monopole...politique, tenait lieu de religiosité que personne n'osait contredire. Aujourd'hui tout et son contraire anime les débats puériles sur de sujets redondant qui s'étiolent au fil de leur exploitation médiatique. La liberté d'expression a ouvert la voix aux ténors du galimatias journalistique qui pérorent sous le journal à palabres, en déblatérant des inepties qui alimentent la satisfaction générale des diffuseurs ! Si l'auditoire est repu de cette propagande virtuelle, c'est parce qu'il entend ce qu'il veut qu'on lui dise. En abusant de la sorte de notre liberté d'expression qui permet de franchir les limites de la vérité, nous allons subir un désaveu envers nous-mêmes et perdre le crédit de la parole ! La mesure doit produire la modération qui nous indiquera, à nouveau, jusqu'où devons-nous aller dans la liberté d'exprimer ce que l'on pense ; se conformant à une information dont les origines auront fait l'objet de vérifications définitives : seule garantie pour durer dans le temps, comme certains médias qui continuent à se produire. De surcroît, et nous le constatons fréquemment, le détournement des idées par des professionnels de la désinformation régulière, ajoute à cette carence intellectuelle qui nuit à l'esprit critique du journalisme. Seules des entités ancrées dans les anecdotes séculaires se sont érigées humblement au-dessus de la mauvaise presse : le Monde diplomatique, la Revue Esprit et quelques autres en ligne peuvent s'honorer de réaliser un travail de réflexion non pas objectif, mais amplement construit sur des faits irréprochables, tellement que leur authenticité ne peut être remise en question !   Jean Canal. 19/02/2021. 
Esprit Une revue dans l’histoire 1932-2017 esprit historique
LA LIBERTE D'EXPRESSION ENCORE EN VIGUEUR Meilleurs vœux pour Assange : ceux formulés par tous ceux qui aspirent à la liberté ! La justice britannique refuse d'extrader Julian Assange aux Etats-Unis où il risque 175 ans de prison. Jullian Assange survivra-t-il au harcèlement psychologique des services secrets américains qui œuvrent en filigrane de la justice anglaise ? La France n'a guère manifesté son intention du droit d'asile accordé à un citoyen menacé de mort lente pour avoir révélé des vérités à caractère géopolitique. On comprend combien les Etats Unis influencent les états occidentaux qui auraient la vocation à faire preuve du droit d'asile ! Pour lors, seule la justice anglaise, indépendamment de son gouvernement, a eu le courage de prendre une décision qui protège cette précieuse liberté d'expression tant convoitée par les chefs d'état. Autrefois, l'Algérie aurait proposé un accueil national pour ce courageux journaliste, aujourd'hui, ce pays emprisonne les personnes qui s'expriment, revendiquant une volonté souveraine de changement politique. Lâches sont ces sociétés qui se nourrissent de la manne intellectuelle issue de l'information sur des événements offusqués pour des causes de stabilité internationale. L'occident dans sa pluralité légendaire de pouvoir pavoiser sur les bévues politiques en constante progression, ne brille point face aux Etats Unis qui imposent leur manière de voir cette liberté d'expression qui rappelle que toute vérité n'est toujours pas bonne à dire. Défendons sans limite le cas Assange en dévoilant de plus en plus des attitudes aux caractères attentatoires à cette déontologie politique qui n'existe toujours pas ! Créer l'événement est une forme licite d'attirer l'attention sur des cas qui ont tendance à tomber dans l'oubli. Jean Canal. 5 janvier 2021. 
PENTAGON PAPERS. Un film qui interpelle la presse française. France Culture en parle ce samedi matin. D'une façon générale et plus particulièrement en France, pays des intellectuels par excellence, la presse occupe-t-elle encore la place en tant que quatrième pouvoir ? Evidemment, c'est un film signé Steven Spielberg. La déception ne s'impose pas comme dans des films issus de production industrielle qui pourrit le Cinéma ! Vous le conseiller, serait commettre une erreur de jugement ; d'ailleurs, sur les places de cinq cents sièges, à peine un tiers était rempli... Du début jusqu'à la fin, on ne peut se permettre d'avoir un moment d'absence sur l'attention qu'il faut porter à ce scénario, libellé comme un article de presse. The Washington Post en est le centre de l'action qui se déroule autour des présidences successives des Etats-Unis, depuis 1966, en prenant comme référence la guerre du Vietnam. Le procès fait à la presse américaine accusée d'avoir, à juste titre, révélée et publiée des documents Top Secret dénonçant les mensonges des politiciens, entachera le Politique jusqu'au départ de Nixon, sali par le Watergate. Encore un chef-d'oeuvre, construit avec sobriété et mis en scène par des acteurs gardant la tête froide jusqu'au dénouement final. A voir, sans hésiter, en VO, bien sûr. Jean Canal. 24 janvier 2018. En revenant du cinéma...
CRITIQUE DE LA CRITIQUE DES RESEAUX. Dans les commentaires que nous recevons sur notre boîte de réception du site, et auxquels vous n'avez pas accès, il y en a pour tous les goûts. Si nous étions directement sur Twitter, la censure imposerait ses sanctions immédiates. Dans cette poubelle internationale, puisque la plupart est en anglais, des sujets intéressants, néanmoins, recyclés pour un usage éthique, nous arrivent directement de pays en guerre : le Yémen dont la dépêche dernière nous apprend qu'une roquette vient d'être tirée par les ennemis du régime. Un scoop qui ne vaut pas la penne d'être transmis à l'AFP ou bien sur les plates-formes journalistiques telles que BFMTV et CNEWS, plus précisément. Ce qu'il faut retenir de toutes ces manifestations de l'expression écrite libre, parce que nous ne sanctionnons aucun commentaire, fût-il rédigé dans un style insolent, voire au pis fleuri d'un vocabulaire surchargé de noms d'oiseaux, c'est la richesse culturelle qui en ressort pour notre culture personnelle sur le genre humain. La liberté d'expression, chez nous, ne connaît donc aucune censure ! Ce qui nous permet, contrairement aux réseaux sociaux qui font la chasse aux contrevenants du bon usage de l'écriture, devenant policée au possible de son utilisation correcte, c'est que nous avons tout de suite saisi l'intérêt intellectuel de laisser libre cours à la parole retranscrite sous des formes non conventionnelles et s'écartant, heureusement pour notre culture personnelle, des nouvelles règles d'expression écrite imposées par les lois étatiques, durcies pour l'occurrence par notre nouveau régime politique ! Sincèrement si l'on vous attaque sur des particularismes mineurs qui empêchent des personnes de recouvrer le sommeil perdu à cause de votre ligne éditoriale, cela atteste de l'intérêt que l'on porte à votre personne qui, comme ici, dérange énormément les institutions ! Emboîtant le pas sur ces critiques toutes élogieuses donc, nous continuerons à presselibre.fr et presselibre.info d'écrire ce que bon nous semble de révéler sur la connerie humaine dont l'espèce tant à mourir de son suicide collectif ! Jean Canal. 17 novembre 2020.
ACRIMED La presse en perfusion est alitée sur son lit de chevet. Il y a longtemps que le détournement des idées fait la Une de l'actualité, de manière à créer l'événement. Valeurs Actuelles n'est située qu'à la 102° place des magazines vendus en France : une piètre notoriété ! Soit derrière les journaux officiels de la presse nationale et locale qui connaissent une baisse dans l'intérêt qu'ils suscitaient, jadis et naguère ! Le Monde diplo du mois, donc, pour revenir sur l'article concerné, établit une carte indicative sur le paysage journalistique de nos médias : le net a ravi la prime place de la presse papier qui néanmoins se maintient, dans certains secteurs : ceux qui relatent une vue précise de l'actualité. La Revue Esprit, Le Monde Diplo et la Revue des deux mondes sont ceux que nous fréquentons, régulièrement -autrefois Le Magazine littéraire connut une assiduité dans ses lectures, aujourd'hui complètement abandonnées. Exemple à suivre pour l'exemple seulement. Être réellement informé est toujours possible, en faisant la synthèse sur une information reçue comme telle à comparer, bien sûr, en usant de vos propres analyses qui ne relèvent point de travail appartenant aux exégètes du monde intellectuel qui a tendance à raboter les sujets licencieux du débat d'opinion. La dernière intervention d'Hubert Védrine sur France Culture, lors d'une émission culte, "L'Esprit public", me laissa pantois sur sa propre analyse sur les résolutions à prendre pour freiner le chamboulement climatique... Arguant une rhétorique désuète sur l'esprit de conviction à en déduire. Les Petits Médias résistent contre la main mise sur la désinformation pratiquée régulièrement. par les plus importants qui influencent l'opinion ! Un regard sur ce qui nous intéresse et nous concerne directement : l'info ! Jean canal.23 novembre 2019.
L'histoire nous l'a maintes fois démontré : la liberté d'un état, dépend de celui qui lui est proche géographiquement. Séparée par la Méditerranée, l'Afrique du Nord fut souvent le théâtre de conflits meurtriers, ces quarante dernières années. La liberté des peuples influe sur la politique intérieure qui peut vaciller selon les conjonctures. L'Algérie est encore en crise avec son peuple. Le grief ! Les libertés citoyennes en attente d'être enfin obtenues. La problématique ? Établir une démocratie qui n'imposera pas les lois religieuses aux institutions ! Il faut donc, selon la volonté du peuple algérien, établir une nouvelle constitution qui protégera les libertés de chacun : celle de pratiquer la religion ou de la consigner au simple fait des traditions... La Rédaction.
Revue mensuelle indépendante fondée en 1932 par Emmanuel Mounier, Esprit est une revue d'idées engagée dans son temps. Elle s'efforce d'illustrer une approche généraliste de notre présent, entre la culture médiatique et les études savantes. Généraliste et soucieuse de l'intérêt général, elle se consacre à décrypter les évolutions de la politique, de la société et de culture, en France et dans le monde.
Sous-titrée depuis sa fondation "revue internationale", Esprit s'est toujours intéressée à ce qui se passe hors de l'hexagone et a tissé de nombreux liens avec des réseaux intellectuels à l'étranger. Son travail n'est donc pas pris de court dans le contexte de mondialisation, qui exige de penser autrement les liens entre l'esprit européen, les valeurs occidentales et le reste du monde.
Chaque numéro est construit autour d'un dossier, suivi d'un choix varié d'articles ainsi que d'un "journal" consacré à des textes brefs, plus subjectifs, parfois polémiques. Un panorama de l'actualité éditoriale ("librairie") offre quelques repères dans l'abondance de livres et de revues de parution récente.
A distance de l'actualité immédiate, l'histoire d'une revue comme Esprit est rythmée par des événements successifs et des convictions. Pour saisir la continuité de ces engagements, un historique, disponible à partir du lien ci-contre, retrace les grandes séquences, les équipes et les grandes figures qui ont marqué son histoire.
Dans l'antre des rédactions des médias qui diffusent en boucle une actualité présentée selon l'importance attribuée par des critères d'impacts sur l'audimat, on assiste, chez certaines chaînes, (nous n'en citerons qu'une) à une mise au pilori des ministres du gouvernement actuel. L'occasion est trop belle pour ne pas la saisir, en l'exploitant à l'escient des conjonctures qui se disputent  la responsabilité des sociétés confrontées à des crises de tout ordre et notamment celle de la défense de l'environnement ! Ou bien l'invitation d'une personnalité atteste de la volonté de transparence sur la chaîne en question , afin de démontrer la qualité du média ! On s'exprime d'ailleurs avec une liberté toute réservée cependant sur des points qui n'ont ni queue ni tête ; puisque, le contexte aura raison de l'oisiveté journalistique puérile qui n'encense que les rédactns. On se demande donc, comment un journaliste de BFMTV, fort loquace se permet-il de vilipender maladroitement Nicolas Hulot,  avec un acharnement qui traduit son animosité personnelle à l'encontre du Ministre soucieux de la santé publique ; interview suite aux rappels à la loi interdisant certains pesticides  ?! La raison collective est donc bafouée au profit de la productivité qui n'a cure de la santé publique ! Et le journaliste y va de sa verve insolente.  Sur ce reportage, la parole est également donnée à un agriculteur en betterave soucieux de ses rendements si on le prive de pesticides ; l'individu n'a cure de savoir si ses enfants, petits enfants subiront les conséquence de cette pollution industrielle instillée dans nos légumes ! Sans doute, ce dernier, comme tant d'autres, est-il persuadé que dès l'instant qui'il ne consomme pas de ces produits falsifiés à l'origine, il est à l'abri des conséquences qu'il génère sur le long terme. Le contraire fut déjà démontré et la leçon n'a pas suffit à instruire suffisamment ceux qui s'enferment dans des résolutions suicidaires ! Jean Canal. 27 juin.
EDITORIAL DE SEPTEMBRE. L’HOMMAGE A PIERRE PEAN. A trois jours du mois de septembre, les rentrées intellectuelles, présentées sous différents intitulés comme « la rentrée littéraire », celles des polémiques de sujets touchant à la culture, cinéma, théâtre, photos, et cætera, le Monde diplomatique attira toute mon attention, je dis bien toute, puisque je rêvassais à mon prochain voyage en terre étrangère à l’Europe que je vais entreprendre pour quelques mois ! Ne vous réjouissez pas trop vite, je préserve ce contact privilégié avec presselibre.fr où vous aurez l’immense joie de me lire ; d’autant plus que je parlerai de Vous, sous toutes les coutures, sans omettre de dépeindre vos défauts que vous tentez toujours de dissimuler, que ce soit à la radio ou/et à l’audiovisuel…  Lire la suite. Jean Canal. 29 août 2019.
REVUE ESPRIT
En photo, les élites de la Revue Esprit. Il est des personnes qui tiennent absolument à pérenniser une idée de l'information instructive dont le fondement dispense un savoir. Ici, point de délayage ou de redondance comme le pratique régulièrement la large majorité des médias officiels, en donnant à l'événement un caractère impérieux ; quand les sujets d'actualité sont explorés, ils font l'objet d'une sélection basée sur l'intérêt général que doit présenter l'information publique !  On ne s'appauvrit jamais en lisant ce que Emmanuel Mounier à voulu comme tel : une écriture intellectuelle lisible par tous, laquelle instruit et cultive le lecteur !  Jean Canal. 20 décembre 2019 .          Le spectacle médiatique ne peut servir de substitut à la justice.
Adèle Haenel nous a lancé un immense défi politique : changer une société encore trop patriarcale et inaugurer de nouveaux rapports entre les sexes, les genres et les générations, au centre desquels seraient préservées la dignité des personnes et l’intégrité des corps. Ce défi est collectif et engage chacune et chacun d’entre nous. Mais nous ne le relèverons pas sans construire les institutions qui seules permettent de symboliser la vie en commun, sans lesquelles on risque de sombrer dans l’affrontement sans fin – ou dans la solitude. Editorial Esprit décembre 2019. (Extrait).
A lire aussi : le bel article de la Revue Esprit Les femmes et Nous. Leur place occupe nos préoccupations quotidiennes en ce sens que nous leur jalousons quelque part, sans trop vouloir se l’avouer, leur suprématie intellectuelle, artistiques, culturelle, en un mot féminine ! En politique, elles sont à la traîne…  Est-ce par manque de parité ou désintéressement à un sujet qui ne vaut toujours pas la peine que l’on s’y investisse ! ?  Promptes à saisir l’occasion pour défendre leur identité bafouée, dans les affaires de mœurs où elles sont continuellement victimes, les femmes n’ont plus rien à envier aux hommes et leur ont démontré avec humilité qu’elles étaient capables de prouesses (en littérature notamment) que leur alter ego préservait de l’arrogance masculine. Leur défaut ?! Leurs humeurs régulières dues à une constitution physiologique naturelle..! Il faut s’en faire une raison… Jean Canal.
Prémisses de la prochaine crise économique imminente avant les réformes du capitalisme : L'OTAN se retirant de l'Europe, l'espace  Schengen est-il fragilisé face aux éventuelles menaces étrangères ? Autant gommer de la scène politique les civilisations à l'origine des États-Unis ! Il est vrai, néanmoins, que des civilisations se sont complètement éteintes, laissant un autre espace dédié aux conquérants !  Jean Canal. Samedi premier décembre 2019. Lire la suite.
MEDIA YOUTUBE. C'est Caroline Broué qui l'a relevé lors de son émission "La Fabrique médiatique" de ce samedi 21 septembre, sur France Culture : " ou désinformer", réplique la journaliste, en rappelant que le succès des médias en ligne rafle la mise aux médias officiels qui ont fini par institutionnaliser...l'actualité (France Culture n'est-il pas en train de se formaliser à la fabrique culturelle exigée pour augmenter ses audiences ?) ! Regarder youtube ou bien toute plateforme en ligne pour essayer d'en savoir un peu plus sur l'actualité et pourquoi pas, chère Caroline Broué, s'informer en comparant tout simplement la désinformation qui brouille intentionnellement l'information. Décrypter avant tout dans l'actualité de l'image en ligne diffusée à outrance semant ainsi le doute sur un contexte exploité ; exemple les manifestations des Gilets Jaunes ou/et les conflits armés montrés à l'état pur ! Quant aux politiques elles tournent irrémédiablement en rond et ne demandent pas de grandes réflexions sur leurs intentions qui se révèlent d'elles-mêmes ! YOUTUBE a donné la parole aux petits, aux sans grades, regroupés, aujourd'hui en festival :  Frames ! Les officiels de l'information médiatique l'ont compris et ont tenté de suivre ce chemin afin d'essayer de se placer parmi les premiers diffuseurs médiatiques en ligne (BFMTV, CNEWS et Cie). Victimes de centraliser, voire monopoliser l'information (cette dernière peut prendre des formes différentes dans ses thèmes spécifiquement choisis comme la culture, la politique, le climat, etc. - question de popularité !), les grands médias officiels ont perdu de leur superbe, quand bien même eussent-ils recours à des figures emblématiques du monde intellectuel pour étayer leur(dés)information. La liberté d'expression gène toujours autant ceux qui se targuent de la défendre, et cela que ce soit dans la presse papier que la presse en ligne... Trouvez les mauvais élèves de la classe sociale exclusive de cet appareil de, effectivement Caroline Broué, la désinformation...insidieuse ! Allez ! Salut ! Jean Canal. 24 septembre 2019.
Pourquoi traiter des sujets d'actualité relatifs à la manière journalistique que les médias officiels utilisent pour convaincre son auditoire déjà conditionné à leur méthode. ACRIMED sont des experts en la matière et se distingue, sans fioriture, par leur singularité d'analyse qui ne risque point de franchir les limites que tous les autres médias n'oseront jamais enfreindre ! presselibre.fr fréquente assidûment  ce collectif depuis son début vers les années quatre-vingt-dix. La puissance de la critique constructive qui s'en ressent, ne peut qu'enrichir le lecteur qui a la tête bien faite ; tant pis pour ceux qui se refusent à la réalité des circonstances, comme un interdit attentatoire à la vérité. Jean Canal ; bien sûr. 4 septembre 2019.
L'indépendance d'un Média est pratiquement improbable dès l'instant que de l'argent permet de le maintenir en vie ! Les intérêts fussent-ils nobles dépendent d'une caractéristique journalistique : la ligne éditoriale qui fait son identité !  Parmi les plus mauvais, nous choisissons les meilleurs. De sorte à ne garder que ce qui est conforme à la conjoncture du moment. Il n'est plus question de dénoncer de la corruption ou de rechercher une quelconque responsabilité chez des journalistes enclins de pencher du côté qui les attire, mais de trier afin de se faire une idée juste de l'information diffusée. D'aucuns sont des experts en rédaction, exploitant au possible de l’oxymore, le syllogisme qui démontrera au lecteur son erreur d'avoir cru le contraire de ce qui vient de lui être démontré ! L'art de démanteler les erreurs pour instaurer les siennes ! La presse semble presque s'ennuyer quand on observe ces réseaux qui tournent en boucle, rabâchant inlassablement l'actu qui vient d'être débattue dans les salons de la Rédaction. C'est la raison pour laquelle nous fréquentons régulièrement et depuis longtemps toujours les mêmes : le Monde Diplomatique, la revue esprit, France Culture et la chaîne culturelle Arte. "Le reste" nous le glanons sur le net, en parcourant les publications, les infos qui circulent et qui sont consignées dans les archives médiatiques de chaque média en ligne. Aucune véritable critique acerbe à leur encontre qui viendrait asséner un fatal coup de semonce n'eut effleurée notre esprit qui se situe ailleurs que ce monde impitoyable du près-carré de la presse officielle ! Nous la connaissons parfaitement pour l'avoir fréquentée et avoir préservé nos contacts avec certains journalistes en plein exercice. Paradoxalement, la mauvaise presse, celle qui a pignon sur rue, est en soi intéressante, dans la mesure sur ce qu'il faut éviter de faire et ce dont certains sont capables de publier ! L'audiovisuel est le plus pertinent, d'autant plus qu'il impacte directement l'auditeur ! Pourtant, il y a des sujets qui ne valent même pas la peine d'être traités et nous comprenons que certains le font pour des raisons de notoriété ! Telle une prostitué, il faut savoir se vendre ! La presse digressive, insolente et vindicative a le droit d'exister. Elle nous enseigne le déni et nous préserve de l'imiter... Salut ! Jean Canal. 23 juin 2019.
"Le journalisme fait de rapidité, exige le choix et le sacrifice. Celui qui se livre à nous avec confiance ne peut être trahi, quel que soit son métier ou sa vie. Nous ne sommes pas des policiers, ni des indicateurs." Joseph Kessel. 1933.
Précarité des journalistes pigistes : attaquons-nous aux vrais coupables !
Le SNJ regrette que la CCIJP (Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels) soit mise en cause sur la question des règles d’attribution de la carte de presse. L’adversaire, ce n’est pas la commission de la carte mais les employeurs qui s’ingénient à ignorer la loi et qui, en toute illégalité, paient les journalistes pigistes, rédacteurs et photographes, en droits d’auteur ou en honoraires. Il s’agit de travail dissimulé, passible d’un redressement de l’Urssaf, de 45 000 € d’amende, de six mois d’emprisonnement.
 Plutôt que de désigner la CCIJP comme l'éternelle coupable de tous les maux des journalistes pigistes, de leur précarité, de leurs difficultés à exercer leur métier ou même à faire valoir leurs droits sociaux, attaquons-nous aux véritables responsables. Poursuivons-les en justice, demandons la requalification des contrats de travail devant les prud’hommes, portons ces affaires au pénal pour travail dissimulé, alertons l’Urssaf sur les fraudes qu’elle subit. Le SNJ est déjà présent au côté de nombreux pigistes dans ce type de procédures. De bonnes décisions existent du fait de ces actions.
Le SNJ s’engage à accompagner tout journaliste pigiste dans les procédures qu’il souhaitera lancer contre son ou ses employeurs fraudeurs, que ce soit devant les Prud’hommes ou devant le Tribunal de grande instance.
Le SNJ s’engage à relayer auprès de l’Urssaf tout signalement que lui fera un journaliste pigiste concernant les entreprises qui ne rémunèrent pas les journalistes en salaire.
Le SNJ s’engage à demander que soient effectués par l’Urssaf des contrôles sur ces entreprises et les éventuels redressements qui en découleront.
Plutôt que continuer à subir, passons ensemble à l’offensive !
Question d'éthique... Les mots de la Rédaction En direct de l'info quotidienne pour un point de vue global sur l'actualité. C'est un choix délibéré de présenter les chaines médiatiques en préambule à nos articles. Eux et pas un autre média que nous considérons comme manquant d'impartialité. Décriée par les médias français officiels, dès sa parution sur le web, RT France nous a paru de bonne augure, tombant à brûle-pourpoint, pour une contextualité de circonstance. Parmi la flopée de chaines qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux dont elles font parties, les médias que nous sélectionnons, autant que les journalistes qui sont nos références, ont la dignité de traiter l'information de façon objective ; et cela quand bien même, d'aucuns penchent légitimement du côté politique qui les attire....
Il vous appartient, lecteur de l'audiovisuel, de décrypter l'actualité et d'analyser la manière avec laquelle est présenté l'événementiel. Faites votre propre synthèse sur le débat journalistique, orchestré autour de thèmes sociopolitiques, sans vous laisser influencer par "les acteurs" de la joute intellectuelle qui se déroule dans les arènes des écrans, où les invités du spectacle de Guy Debord, sacrifient, publiquement, un des leurs ! C'est vous qui devez en extraire la véritable information susceptible de vous apporter un éclaircissement sur les conjonctures nationale et internationale ; car votre condition en dépend ! Vous êtes responsables de l'information dès l'instant que vous en prenez connaissance : votre sens critique vous incombe directement et vous oblige à réagir de la manière la plus adaptée pour corriger cette information à l'échelle individuelle d'abord et collective ensuite, moyennant l'expression la mieux adaptée à votre réaction. Le débat d'idées vous appartient entièrement et il est de votre devoir d'en disputer le fond ! Diffusés en boucle, souvent rébarbative, entrecoupée de publicités agressives,  les médias en ligne restent consommables dans la mesure où vous en maîtrisez le contenu. Les journalistes qui y travaillent affichent, pour la plupart, un profil professionnel correspondant à ce genre de média audiovisuel -c'est-à-dire en vous donnant l'impression que tout peut être dit chez eux, sauf la vérité ; bien sûr. L'avantage de ces chaînes sur le net permet d'assister au défilé d'une myriade d'hommes et de femmes politiques, notamment, de façon régulière, de sorte à donner de l'importance aux phénomènes de société en les argumentant sur le vif des sujets ! Votre capacité déductive de l'événement doit répondre à vos préoccupations personnelles et collective afin de pérenniser un avenir chassé de tout intérêt individuel attentatoire à l'équilibre social. Jean Canal. 2018. Revu et corrigé le 18 juin 2019..
LA GROSSE TETE DE LA RÉDACTION JOURNALISTIQUE
Le principe dans ce genre de journalisme, est d'attirer l'attention du lectorat avec une ligne éditoriale traitant des sujets populaires en première instance : la redondance en est la pratique appliquée au quotidien à laquelle s'ajoute l'intervention de personnalités qui crédibilisent les propos allégués pour la cause (les Gilets jaunes en illustrent un très bon exemple) ! C'est banal et passé de mode. On a compris que certains médias en ligne, tournant en boucles entrecoupées de publicités excessivement ridicules, puisent leur manne dans l'actualité populaire entretenue au fil de la journée. Le ton sérieux adopté crédibilise ces chaînes présentes sur les lieux des événements (c'est un atout qui crédibilise l'info en question)! Animé par Frédéric Taddeï, Interdit d'Interdire diffusé sur RT France, chaîne décriée par des confrères a sa sortie, ravit la Une "intellectuelle" à un public populiste plutôt confiné dans des émissions infatuées par un égocentrisme exacerbé...(vous devriez trouver facilement leurs noms) !  Enfin une émission intelligente avec des gens intelligents ! Hormis ARTE, on désespérait de l'état actuel de nos penseurs qui jouent le jeu du show médiatique dans les arènes de la télé, au regard du grand public, persuadé, effectivement, d'en apprendre un peu plus sur sa condition humaine (Hannah Arendt). "L'opium des intellectuels" comme le précisait Raymond Aron dans son ouvrage éponyme, soulignait déjà la trahison intellectuelle de celui qui endosse la responsabilité d'informer par sa plume, sans enfreindre la vérité. Bref ! L'esprit critique s'est étiolé au profit du consumérisme qui maintient l'individu dans une inanité favorisant un passéisme dangereux pour l'avenir démocratique ; nos libertés individuelles en ont pâti ! Jean Canal. 17 décembre 2018. A la lecture du Diplo de décembre.
A LA UNE DES UNES de la Rédaction. La question de la place et du rôle de la sociologie dans les enquêtes journalistiques au cœur de l'actualité, notamment avec le mouvement des Gilets Jaunes, fait défaut dans l'information à restituer dans son intégralité au public. On le sait, l'intégrité des reportages est systématiquement mise en cause.
« Autour du Diplo »Le café noisette. Avec un léger goût d'amertume relevée par un arôme acre, il se boit par petites gorgées entrecoupées de lectures paraphrasant les nouvelles de l'info ; en l'occurrence enseignée par le journal mensuel de référence. La subtile pratique, en dégustant cette composition de caféine et de lait réside dans la saveur cachée qui en émane au fur et à mesure de sa dégustation dont il faut préserver la température suffisamment chaude pour qu'il ne soit pas imbuvable... Selon le café où vous irez, son goût sera strictement différent ; et lorsque votre noisette atteint la saveur que vous recherchez, consignez le troquet qui vous l'a servie ; mais n'en dites mot à quiconque... les trésors, comme l'Amour, ne se partagent qu'avec des intimes...  De préférence sucrez-le abondamment, contrairement aux idées reçues ; à l'instar des Éthiopiennes lorsqu'elles boivent leur moka. Et si votre imagination est aussi fructueuse que l'auteur de ce texte, vous y découvrirez en filigrane l'Abyssinie d'Arthur Rimbaud. Jean Canal. 
Notre dernier né, fraîchement émoulu de la contrariété médiatique ! Nous aussi, nous avons nos caprices à presselibre.fr Le nouveau dernier lien avec l'actualité nationale se trouve, désormais, également ici
Charte des devoirs du journalisme de 1938 par ACRIMED
Un certain regard sur l'actualité à sensibilité communiste qui pour l'époque, 1933, ne présentait point le monde sous les attraits de la dictature prolétarienne, tombée en désuétude, depuis l'écroulement d'un certain mur ! On entend les noms de ceux et de celle qui furent les auteurs de reportages photographiques immémorables : Capa, Chem, Gerda Taro, et d'autres encore immortalisés par l'histoire qui se résume à un drame espagnol ! Jean Canal.
MEDIAPART  EN PROIE A UNE PSYCHOSE DE HARCÈLEMENT POLITICO JUDICIAIRE  ! Les médias bavards déplaisent au pouvoir. La chasse aux sorcières commence toujours par des procédures légalisées, invoquant la légitimité institutionnelle, agissant au nom des lois qui garantissent la liberté individuelle dans le respect démocratique d'un état de droit ! L'atteinte portée au privé, en est le fondement. C'est sur ce principe que tout peut être invoqué au nom de la vérité dont dépend la liberté d'expression qui semble donc réduite comme une peau de chagrin  pas pour tout le monde, en effet... Charte de la liberté de la presse. Jean Canal. 9 février 2019.
A LA UNE DES UNES de la Rédaction.La question de la place et du rôle de la sociologie dans les enquêtes journalistiques au cœur de l'actualité, notamment avec le mouvement des Gilets Jaunes, fait défaut dans l'information à restituer dans son intégralité au public. On le sait, l'intégrité des reportages est systématiquement mise en cause. Le journalisme se doit de rendre compte des événements d'actualité sans forme de subjectivité (oserons-nous parler de transparence ?), quand bien même chaque organe de presse défendrait-il son éthique. Médiapart endosse l'étiquette de presse de l'ombre, d'investigation ; à savoir avec un travail fouillé qui remonte aux sources des conflits politico-sociologiques, en l'occurrence, définis comme tels dans la sphère médiatique ! Le problème de la presse traditionnelle et quelque peu conventionnelle dans la manière généraliste qu'elle a dans sa mise en forme, réside, on le sait, dans le manque de liberté d'expression non pas au regard des institutions, mais de leur propre Rédaction devant le plus souvent répondre à des prérogatives politico financières. Rien ne vaut l'indépendance, quand bien même cette vertu institutionnelle serait-elle fragilisée par des pressions institutionnelles et/ou populaires liées aux politiques, au pis, en ce qui nous concerne, policières... Un combat donc, comme le journal de Camus, auquel Raymond Aron collabora.  Jean Canal. 3 janvier 2019.
La presse affectée en son for intérieur, dans la culture même de sa profession. Le journalisme assisté par la manne étatique qui lui octroie une somme annuelle afin de pouvoir mettre en oeuvre son statut, n'est plus crédible ! Les patrons de presse sont les premiers bénéficiaires des revenus publicitaires et annonces légales. Le journaliste est assujetti à un compte rendu ; celui de l'éditorial qui doit répondre favorablement aux attentes de la Direction. C'est devenu banal et désolant pour un lectorat qui demeure toujours en quête d'information. Hormis quelques journaux comme le Monde diplomatique qui fait exception dans son travail de fond, la presse est devenue publicitaire. Jean Canal. 20 janvier 2019.
LE MEDIA  Le lien du journalisme  Critique des critiques par l'Observatoire du journalisme
Comme d'aucuns qui eurent droit à se faire tirer le portrait par l'Observatoire du Journalisme, Aude Lancelin est révélée sous des traits épurés qui lui vont à ravir. "On" la connaissait rebelle de nature et insoumise, elle aussi, en politique ; quoique positionnée à la Gauche de la Gauche. Laure Lancelin a toute notre estime et sympathie, soi-dit en passant, quand bien même en aurait-elle rien à fiche ! Effectivement, nous avons grand besoin de personnes de sa force analytique pour extraire des contextes socio politique la part responsable des conjonctures. Et "les amis", comme disait Malraux dans "L'Espoir" : "c'est quand on a tort qu'on en a besoin, pas quand on a raison." Et Jean Canal, de rajouter : "c'est pour cette raison que je n'en ai plus..."  Jean canal. 21 avril 2019.
-Répondre sans ambages à une déclamation sociale qui prend, évidemment, une connotation politique, est le propre de celui qui prend des responsabilités en relevant les anomalies qui font l'actualité médiatique !-
"La lutte des classes" n'existe plus depuis l’avènement du libéralisme sous François Mitterrand, quand la Gauche caviar, repensait la société à l'image de son idéologie. Les syndicats qui manifestent en France pour contrecarrer les réformes sociales, institutionnelles et même politiques entreprises par Emmanuel Macron, répondent à une nécessité que justement ces classes sociales ont encensé durant suffisamment  d'années, à l'abri de la précarité dont il n'ont jamais fait l'expérience ! Les classes sociales d'aujourd'hui n'idéalisent plus un régime communiste ou maoïste et encore moins un Troskisme revue et corrigé pour les idéaux d'une jeunesse majoritairement préoccupée par le renouvellement de son téléphone portable selon la tendance : périphrase qui à elle seule traduit impudemment l'état d'esprit de notre société. Les manifestations ne sont point nationales, mais individuelles, au même titre que l'indolence des cas écartés du système, lesquels sont dans l'expectative d'une grand changement différent de celui espéré des manifestants !
La société est devenue un terrain de "je" où les protagonistes des contre-courants idéologiques se produisent afin de se confronter à eux-mêmes, sans aucun espoir de se voir vainqueurs de cette joute sociale !
Avant de contester, il fallait tenir compte de l'évolution libérale à laquelle, ils ont, tous, contribué ! L'état actuel des "choses" est critique, mais au sens où tous l'entendent, chacun campé sur ses idées, mais de manière plus universelle, en quelque sorte.... Jean Canal. En regardant le journal de "Le Média." 5 juin 2018.

 ACTUALITÉ AUTREMENT. Les médias foisonnent sur la planète. Il y a l'information franco-française. Il y a l'information internationale. Le résultat n'a aucune incidence sur la modification des événements qui font l'actualité. Le pouvoir politique prédomine sur les états d'âme des conflits. Les images suffisent à donner au public une information générale de laquelle ce même public doit déduire une alternative pour que les choses changent. C'est donc dans cette démarche que s'enferme la responsabilité de chacun qui peut s'informer s'il le souhaite...vraiment. Néanmoins, être plus informé ne modifiera aucunement le cours des choses. Jean Canal. Février 2018.
CONVICTION JOURNALISTIQUE. Le choix de la chaîne RT répond à une forte concurrence des médias en ligne qui se disputent l'information, briguent la première place, convoitent la primeur de l'info. La mise en forme est essentielle, comme nous pouvons le constater avec des chaînes devenues officielles, BFMTV et Cnews (Itélé) qui soignent également le fond avec un accent de sincérité sur les problèmes socio politiques français, notamment. Des débats autour de sujets d'actualité sont organisés chaque jour avec des personnalités très importantes de la politique, apportant plus de crédibilité à ces "shows" télévisés. Le public croque à pleines dents ces nouveaux mets servis toute la journée en répétition afin que tout le monde puisse à tout heure se tenir informé de l'évolution de certains événements considérés, par ces médias, comme cruciaux. On peut décrier la manière, mais reconnaître que la liberté d'expression demeure encore entière, en France ! La Chaîne parlementaire est plus institutionnelle qu'officielle ; elle à le mérite d'informer sur les débats parlementaires et les décisions qui encourent. Jean Canal. Février 2018.

L'apostolat de la thèse journalistique à titre de démonstration intellectuelle au sein des Rédactions officielles de la presse française, tel est l'intitulé de ce chapitre ouvert sur l'actualité médiatique.
Le statut de journaliste s'acquière par le biais de la rédaction qui vous reconnaît comme tel en son sein et de laquelle proviennent vos ressources principales (justificatif à l'appui) et/ou à l'issu des écoles de journalisme qui délivrent des « diplômes ubuesques » selon le niveau d'études obtenues attestant de votre capacité intellectuelle à travailler dans cette branche professionnelle. En vous reconnaissant apte à l'emploi, vous obtiendrez votre carte de presse renouvelable chaque année. Il vous faudra indéniablement vous distinguer d'entre les vôtres de la Rédaction, sans piétiner leur territoire tout en ne ressemblant à aucun. Le style est important, c'est lui qui signera vos écrits toute votre vie (n'en cherchez pas, il est naturel) -évitez d'imiter. Le débordement en des digressions propre aux envolées littéraires est proscrit, il faut se résumer au sujet d'actualité, sans plus ! Évitez le zèle qui consiste à faire croire au lecteur que vous êtes cultivés et instruits, il s'en apercevra très vite ; parce que toutes les classes sociales auront accès à vos articles... Convaincre le petit peuple est facile, les gens cultivés, moins. Les écrits restent et les paroles s'envolent, précisaient déjà les Romains.
Il existe cependant plusieurs presses, vous vous en êtes rendu-compte. Celles qui nous intéressent ici se retrouvent dans le factuel traité au quotidien, le national et l'international, excluant une fausse presse qui gargarise ses lecteurs de reportages à sensations, en exhibant de l'actualité, les faits divers en tout genre, exploitant la vie intime des personnalités mondaines et politiques.
Les journaux papiers demeurent paradoxalement encore lus ; parce qu'ils traitent au quotidien l'évolution des événements. Les hebdos appartiennent à ceux qui veulent en savoir plus sur des sujets précis. Quant aux mensuels, comme le Monde diplomatique, ils font une synthèse sur l'actualité mondiale considérée comme majeure dans l'intérêt que le lectorat attend ! Minutieux dans leur travail, ils se doivent de livrer nûment la vérité sur les événements cruciaux qui se déroulent de part et d'autre de la planète. Et le Diplo réussit adroitement depuis Claude Julien.
Le quotidien local, lui, se nourrit du factuel de région en pratiquant une information nationale obtenu par l'AFP qui fournit 50% de l'info générale de la presse française !
Les rares journalistes qui respectent le code d'honneur qu'ils ont reçu dans le cadre de la déontologie à laquelle ils sont astreints, eux, recherchent toujours les raisons pour lesquelles un fait se produit : ils remontent à la source ! Il n'en faut pas plus que cela pour établir un dossier de presse en bonne et due forme, conforme à l'éthique que la presse se doit de représenter au cœur de la population avant tout.
Si aujourd'hui, la presse n'apparaît plus comme le quatrième pouvoir qui ferait trembler l'état, c'est que quelque part elle a dérogé à son devoir. Mediapart qui se distingue autant que le Canard enchaîné par des révélations insoupçonnées, demeure une nouvelle valeur sûre dans l'information ; quand bien même pouvons-nous critiquer la forme de travail adoptée : pour exemple l'introspection journalistique auprès du Premier Ministre, Philippe Édouard, reçu dans les locaux de la rédaction. Une forme d'inquisition intellectuelle s'éloignant des pratiques de rhétorique de toute évidence ignorées par les inquisiteurs en question. La recherche d'une vérité de polichinelle appauvrit le sens profond de l'enquête politique au détriment qui du journal, qui du lectorat !
L'audiovisuel a tendance à se diversifier selon l'audimat. C'est le spectateur qui fait sa télévision ! C'est pour cette raison que les chaînes de télés françaises produisent 90% d'abrutissement général afin de maintenir une partie de la population dans le marasme intellectuel, culturel et informationnel... La chaîne autrefois culturelle, ARTE, glisse lentement vers la diffusion de feuilletons à connotation thriller, de sorte à capter plus d'audience chez ceux qui ont besoin de divertissement culturel...
A titre purement indicatif, nous citons quelques journalistes nous apparaissant pertinents dans un travail d'intérêt général : Brice Couturier, Natacha Polonie, Aude Lancelin, Claude Askolovitch. Pardon si nous en avons oublié...
C'est un hommage à Séverine, Princesse du journalisme, que nous rendons, en l'occasion d'une rediffusion sur France Culture de la vie et la mort de la première journaliste femme, du XIX° siècle.   Jean Canal. 4 février 2018.

Fondation Gilles Caron
Les bonnes critiques des rédactions sont rares de nos jours. Et pourtant jamais la société et les hommes politiques ne furent autant critiqués qu'aujourd'hui. Virulence des propos tenus à leur encontre et diffamations foisonnent dans l'actualité, comme ce fut le cas durant les manifestations des Gilets Jaunes. L'art de critiquer sans décliner des noms d'oiseaux ou formuler des attaques haineuses sans fondement, se raréfient dans cette actualité où les dérapages médiatiques sont légion. Quand bien même appartiendrait-elle à la frange dure de la politique de Droite, Charlotte D'Ornellas ajoute au journalisme. Elle a le mérite d'énoncer clairement les problématiques de fond des conflits sociaux, entre autres, au sein-même des responsables qui fuient cette autre réalité ! C'est en France, pourtant, que la liberté d'expression fut la plus pratiquée, quand le vocabulaire vulgaire banni, laissait place à des joutes scripturaires inégalées jusqu'à ce jour : signe d'un recul de cette expression. Jean Canal. 16 janvier 2022.
Dans un encadrement formé exclusivement de Forces de l'Ordre, constituées particulièrement de policiers désormais aguerris aux révoltes plongées au cœur d'atmosphères délétères pour les valeurs républicaines de 1789, confirmant ainsi la perte effective de nos libertés, une énième manifestation populaire s'est tenue en France. Le Ministère de l'Intérieur reste affirmatif sur les chiffres qui totalisent le nombre exact de manifestants, lors des mouvements anti-passeport sanitaire : 204 090 ! Fichtre ! Si ça c'est pas du calcul, à qui pouvons-nous faire confiance ! -Les derniers événements auxquels ma Police prit part, nous ont prouvé qu'il fallait s'en méfier, comme la peste !- On sent que le préposé à cette opération a bel et bien obtenu son Certificat d'Etude Primaire ! Son prénom, s'il-vous-plaît ! - Gérald ! -Ah bé ! c'était le dernier de la classe ! Comment a-t-il fait pour ne pas se tromper..? La précision du  chiffre incite nonobstant à rester dubitatif sur "la méthode" comptable du nombre précisant les manifestants présents en France, ce jour-dit, à savoir samedi 31 juillet ! A t-on pris en compte les personnes momentanément absentées pour effectuer un besoin naturel ? (puisque nous sommes dans la farce digne de Molière, autant pousser le trait de l'ironie jusques aux lieux d'aisance...dont la fréquentation quotidienne, régulière, hors troubles digestifs empêchant d'aller à la selle, s'entend !). Il y a dans l'air comme un relent de condition métaphysique qui laisse croire que les français sont menés comme des bœufs aux abattoirs, avec leur consentement qui confirme, effectivement, que cette minorité évoquée par l'idylle gouvernementale en question, ne représente guère qu'une stricte minorité fantasque, face à une mobilisation importante de français favorables aux vaccinations ! Doit-on en déduire donc que la majorité de ce pays s'enfonce vers la servitude volontaire ?! Jean Canal. Revu & corrigé, selon la tradition littéraire... 03-04/08/2021. 04H 10mn.